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Show ectant de l'acid e s et très minces , itubles vaisseau x. MALADIES DE l..\ l‘l.lî\'lllî. 705 considérable résiste pendant quelque temps a tous les moyens ou provoque des accidents locaux et généraux graves; aussi ne la pratiquons- nous que rarement (1). . dans les même s ps beaucoup plus CHAPITRE II. cons albumiueux l)U PNEUMOTHOHAX, DE l.'llYl)li0'l‘ll()lldX l'll‘ lll'.S PRODUITS A(Itlll)li\"l‘lîl.5 DE LA l'l.Ï£\'ltl î. * ient trouvée plus % [. -llu pneumothorax. ; seulement, ainsi Nous avons déja parlé s1 souvent du pneumothorax comme termina ison de maladies variées, que nous n'aurons que quelques courtes remarques à ajouter à celles que nous avons déjà faites sur cette maladie. C'est surtout à l'occasion des tubercules pulmonaires que nous avons dû présenter les principales remarques sur ce sujet. Nous avons vu survenir en outre le pneumothorax dans les abcès pulmonaires métastatiques, dans la gangrènc pulmonaire, dans la dilatation des bronches , dans diverses formes de pleurésie. Nous avons cité des exemples d'apoplexie pulmonaire, d'hydatides parasitiques, 'ès MM. Rilliet et & avons noté l'âge noitié entre vingt a vie, tandis que numérique : d'abcès du foie qui avaient donné lieu à des pneumothorax; des perforations pleure-pulmonaires par des ruptures de l'estomac ou de l'œsophage ont aussi été observées. Nous avons mentionné enfin un fait dans lequel la perforation s'était produite au moyen d'une ulcération de dehors en dedans, ce dont ilexiste plusieurs exemples dans la science. On est même étonné, lorsqu'on pense a la fréquence de la carie des côtes, et en général à celle des ulcères divers qui peuvent avoir leur siège sur les parois tho- raciques, que la perforation de deh0rs en dedans n'ait pas lieu plus souvent; cependant j'ai vu qu'en cas pareil il se formait derrière les parois thoraciques un plastron de tissu cellulaire tellement épais que la rapentiques, nous perforation devenait, par cela même, impossible. La perforation pulmonaire est tantôt simple, tantôt multiple; nous l'avons vue varier entre l'étendue uleur intercostale 5 la pleurésie que l'air de pénétrer pendant un certain temps dans la cavité pleurale; nous voyons, en effet que, lorsque l'air pénètre dans la cavité thoracique par une plaie, cela n'offre pas de graves inconvénients, et même, , comme exclusive dans la perforation pulmonaire tuberculeuse, voyons-nous la vie se prolonger pendant plusieurs mois, it diminue en n'a lorsque l'accès de l'air est interrompu par des fausses membranes. Nous avons vu survenir la mort une fois au bout de quatre mois et demi seulement; les malades, dans ces circonstances, meurent plutôt par la pleurésie purulente et par la compression du poumon, survenue dans le courant (1 une tubercuh- ésie se complique ‘uit de frottement. it subir la confor- pneumonie. Une saignée et surtout on ne nous objects sation progressive, que par l'effet direct du pneumothorax. @ Il. - Dc l'liydrollmrnx. de cet ouvrage, que l'hydropisie é…" "" €…" Nous avons déjà vu plusieurs fois, dans le courant _ , ,} . ,, .' morbide et non une maladie; aussi n'avons-nous point observé ,1usqu a ce _]OUI‘ d y exemple (1 : hydrothotax ne en les saignant vetes respi- essentiel ' tandis que nous l'avons vu survenir à la suite des maladies les plus differentes des lle-ci dans les cas dons avons vu en chez des individus .- " ' ' et en gci " iéral par des . . . , , ' ; : - de Bucrht dela. Cirrhose du foie, ratetres et du cœur, ainsi qu'a la suite de la m lld(ll€ o : est, en général, double; cependant il affections qui produisent une hydropisie gener ale. L'hydrothorax de l'épanchement pleurétique par l'absence peut être beaucoup plus prononcé d'un seul cote ; il se distingue leural, ainsi que par l'absence aussi des coagu- de toute altération de la plèvre et du tissu cellulaire sous-p occupe une partie dela plevre, lations fibrineuses et du liquide pur-ulent pleurétiqu€. LU",sque ce liquide tout à fait circon- ' nces, on voit quelquefOIS des collections séreuses clmsonnée par d'anc1' ennes adhere liquide, peuvent prendre un aspect transparent et scrites et les brides du tissu cellulaire, infiltrées de (1) Il il (ill "011 ('Il ÎSJÏl lellS lil Société ( l (‘s QS' ) ' . Q ( ':(1 * |… ]. l l I ' lu" ce Sllel, Ll lfl ]" llllllll.G pour des détails Plus fl…PI C5 5 D ll l'('SÎC, ll0l.lS l'tfll\'0V()llS, apport qui se trouve reproduit dans le premier volume . . ., ;-\l.Marotci‘ . ' médecins des hôpitaux de Paris7 et au rapport qui a ete fait sui u 5 net P " * dela cinquième série des Archives de mwclü€l71t‘- 471 . . ANAT. rxTuoi..-20° Livn. - A'"\:'A'_A- se à hautes doses, d'un s l'influence cau5 moxas et la e. jusque-là rebell . dernières annees d'un épanchement ' ita] de Zurich que _*...,. ut-. …. 4_. ,.-.ti-4u-U ,...-4- ….-..i.-.… .. s--» …. .311x1fi15 tence dans un cas AA.. mchophonie dans °°*AAAÂAAR s indiquées.Nous .or'Î udation, rendent '\/\ ... s abondants. Les d'un millimètre et celle d'un centimètre; tantôtelle est promptement oblitérée par des fausses membranes, tantôt elle persiste à l'état béant. Elle a constamment pour conséquence une pleurésie pui‘ulente. Nous doutons que le pneumothorax se produise d'une manière spontanée, c'est-à-dire que du gaz se développe dans une cavité thoracique à parois complétement intactes; au moins le fait n'est-il pas démontré par des observations suffisamment authentiques. Du reste, ce qui constitue la gravité du pneumothorax, ce n'est pas l'existence de l'air seul, mais la communication avec un endroit qui permet à " "‘.-ir». A"\A,\' aire, ainsi que la |