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Show . UE GENERALE THULOGlQ ANA'l'OMIE PA . ter ée par le changement du liquide al t es . n io it tr L a nu eur excrtée par nt la conséquence. troubles fonctionnels qui en so est modifiée. La doul e, rr la du an gl , l s'a n' d'un organe dans tl‘aussudé. La sécrétion, lorsqu'i °" s nerv eux, des troubles moteurs re nt ce les sur le éra gén ce uen infl des muscles organiques peut l'inflammation p…<lllll, ……" son t involontaire ent vem mou le e que les parties soumises à la volonte, de mêm ""'-t- ' > )'A ' q -\ ,.\ seme nt du coeur, et bien plus encore par un accrois on de la température. Un frisson, ou une sensati aller jusqu'à qui peut s cette at 1gmentation de chaleur prolongée de froid précède presque toujour D'après les travaux . ' de. Traube et \ de normale du corps. 6 ou 7 degrés au-dessus de la température ece ation dans les sources de la calorrhcatron, une-esp Bernhard, il est probable qu'il y a la une perturb de cette fonction, du pneumogastrrque et de paralysie ou de diminution d'action des nerfs modérateurs diminue ou disparait, et l'on observe une du sympathique. Dans la lièvre, la soif augmente, l'appétit le lit. altération notable des forces qui oblige le malade de garder rs de ces phénomènes entre eux. On peut se rendre compte, à la rigueur, de la corrélation de plusieu respiration, le trouble fonctionnel L'accélération de la circulation, accompagnée souvent (] e celle de la production du calorique, peuvent augmenter la chaleur; celle-ci à son tour des nerfs modérateurs de la de liquides. Les changements produit une évaporation plus rapide, et aubes oin plus grand de l'ingestion survenus dans l'innervation, la nutrition et l'assimilation, rendent compte de l'augmentation des parties ble de tous ces azotées, et des sels. en général, dans les urines, etc. Mais la r aison d'être de l'ensem phénomènes de la fièvre est bien autrement difficile a expliquer. L'augmentation de la fibrine dans le sang, chez les individus atteints d'une inflammation, ne saurait en rendre compte. Nous avons vu que cet accroissement du principe spontanément coagulable existait également, à l'état physiologique, dans la grossesse. Une quantité de fibrine exagérée pour l'homme est normale pour certains animaux, le cheval par exemple. Dans le scorbut, qui, a coup sûr, n'est point une phlegrnasie, la fibrine augmente, et n'est-il pas enfin démontré que, dans toutes les [lèvres dites essen- tielles, dans les pyrexies, même avec des localisations inflammatoires, la librine reste normale ou diminue? Si, d'un autre côté, nous jetons un coup d'oeil sur la généralité des cas dans lesquels nous voyons survenir le frisson initial, suivi de chaleur; si nous tenons compte en même temps des résultats de la pathologie expérimentale, nous pouvons dire, qu'en thèse générale, l'état fébrile arrive chaque fois qu'une alteratron survreut d'une manière prompte dans la composition normale du sang. Nous produisons artificrellernent le frisson, en injectant du pus dans le torrent de la circulation. Rien de plus frappant, en effet/, (lue ce frisson prolongé, qui suit immédiatement ces expériences chez le chien. Un miasme a-t-il pepqtre ddans 1 economie, la période prodromique se caractérise également par un frisson initial, suivi digg :Ëmgétout lappart;rl lebrrle. Lorsque, a la suite d'une grande opération, la fièvre traumatique est he…eux' un frisson suivi de chaleur n'est souvent que le SYiiil)liiiîéîfd liriæmier Lors( ne ……5 gb ‘ ..cî:llÎféîffblïihiif‘5Lii',a', ‘ . ( dt u que nous appelons infection purulente. -l …""… une lllflammaîmn, en apparence l(liopatlllqtt€, de quelque intensité, nous constatons. _‘OllYClll. le fl'läî(lll ., et le C0llllnell Celnent ‘ ' "J ‘ aVîlllt qu'un eXflnlel] HllClllll la flL\le (le ' ' Il () US éclaire ' sur la localisation de, la( mal*ame. "' Si " nous ' ' « …« . une saignee -. ‘. / au debut / p ,…«tthuons d , une phlegmasre, souvent nous ne trouvons )oint de cr , .. ' ' , en…)… … } tr P )UUIIIL mllammalorre. et l'analyse chimique nousdémontre que la librine n'a pas { »:"men e. ou… " . - Haut 1 "IlllldllllHdthH existe, et, quoi que trous fa5sions <uirm sa _ , elle , _ \ marche, et durera 1 )0ndant un tem ps‘ et yu.q ' ‘ u "'a 'un pornt ' ' donnés. La fiè VI‘€ alors (l'un" " dans '- ' . . .' ' emment indiqués ' ' ° ' inflammation comme '. ‘ preced , ne peut @ les etats _ ' tre que v._,-, .,. .__, ',;,‘:}._ :'y: ;,…;,;; «"'-"‘.u'z-«Âu‘LÎ,,. _‘ v<-»«,… -..;t.ç.,_, 4.1r,-q»,tu . A4.J_r.+u-3 \. 7 .» . ssron lesp1e d'un changement survenu dans toute 'v«r ,A-.u+u.\,+-;As+n_i , - - -- .,,ÿ,,,., +d,.+ is... : ND HAAA5A _ AA_A AAAA,AAAnAAfiÆÏ_ lammées. _ ortance des foncti_ ons de (: l'imp 1 r‘ ( lans les parties enl «‘ - ason tour,- la> douleu > ' nter, augme e av ct re di t en rappor mmation doit donc c tro crterons La gravité de ‘l'infla , . , _ pour établir le pronostic. Nous n en _ ments sont eny en éle s d'autre bien 15 10tllCi0 atteint. e de l'organ n de la membrane muqueuse et celle entre l'mll am … a [ io en e femm u'un exe… de: c'est la différence d e gravité une survenue chez asre d un organ hlegm d e "'t t mer iéral p la entre e; organ même la membrane séreuse d'un . ' ‘ 1 e i'1 l 1 ‘.l '1 1 . . .. une femme ans \ chez e organ meme du celle et ion gestat dehors de l'état de a‘ reflm *s * * @ P @ ares de "10l08"1U8…,…l: U…= - p11y5 . 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