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Show -v r-v-«vv- .* nv 'l fo}: \ .o….+-un0-u0- t?-'»‘ {; . .-*"" .. RALE. .\Ni\'l‘0Mllfi l'.\'l‘llOLOGIQUE GÉNÉ 'lli0 admettre . On ne sera pas étonné, d'un autre côté, de nous voir lence extér ieure que le vrai cancer du sein uente e sition particulière, lorsqu'on tiendra compte de l'absenc fréq pour le cancroïde aussi, une prédispo pté les lèvres et la toutes les autres régions du corps, exce de dc ro'i canc le pour extérieure de toute cause e …… sis et les pipes courtes eussent une valeur autr que le phimo verge, et, ici encore, il faudrait, pour qui sont atteints de phimosis pendant toute leur vie finissent celle de causes occasionnelles, que tous ceux de « brûle-gueule » arrivassent à avoir des par avoir des caner oïdes dela verge, et que tous les fumeurs caucroïdes à la lèvre. circonstances concomitantes et des causes ocea. Nous venons de voir que nous avons pu signaler des raide, nous avons déjà avoué, en admettant une prédissionnelles; mais, quant a la cause finale du cane sa nature intime. position particulière, que nous ignorions complétement épidermique Sul-‘em- tantôt sous forme d'hypertrophie Le cancroïde de la lèvre inférieure se montre vé€étant et framb0 ' surtout fréquent C p t cache tuellemen qui L'ulcération pliqué une fois com iaire ar l‘interméd yers de véritables fo gion rement la ré rale infection géné : Nous avons vu , 3 [ eancro‘ides, et trè qu'il est opéré des papilles. Quelquefois il naît d'emblée ciellc, tantôt, et c'est le cas le plus fréquent, comme affection qu'il peut s'étendre aux lames profondes du derme, comme infiltration épidermique du derme. C'est de là fondes, les muscles, l'os maxillaire inférieur et les gan- et alors nous l'avons vu atteindre les parties pro glions sublinguaux et sous-maxillaires. pendant bien lo les parties de l'or. Nos autopsies nou 5 ont fait reconnaitre l'intégrité des organes intérieurs et de toutes labiale, quoique les faits rapportés par Vll'CllOW et ganisme en dehors de la zone anatomiqu (3 de la région ve des exceptions, mais nullement une loi constante. Pagetprouventqu'il y a la plutôt unerègle dont on obser re quefois peut-êt de vastes pertes « d'une irritation locale, d'abord C'est à la lèvre inférieure que nous avons pu constater l'effet fâcheux aggravante, les attouchemems comme cause prédisposante, l'usage des pipes courtes, et comme cause que l'irritation, plus fâcheuse fréquents des malades, qui se gr attaient et qui arrachaient les croûtes, ainsi encore, produite par l'usage incomplet des caustiques. de la La tendance envahissante du caneroi‘de de la lèvre fait qu'il persiste souvent en germe autour partie qui est le siège de son développement complet. Aussi les récidives fréquentes sont-elles plus souvent incurable par sa grande la continuation du mal primitif qu'une vraie récidive. Lorsque l'ulcère est devenu et à la dégtuétendue, l'écoulement continuel de salive, ainsi que la difficulté apportée à la 1nastication tition, favorisent le dépérissement et accélèrent la terminaison fâcheuse. Nous avons vu que la durée moyenne est de 3 ans 2/5. L opération est devenue nécessane, dans nos observations, dans un laps de temps qu1 a varié entre 6 mms et treis ans apres le debut, quelquefois au bout d'un temps beaucoup plus long. Il en est de même pour les l‘éClleES. Nous avons observe cependant des guérisons tout à fait durables après une ou plusieurs opérations. L'âge moyen de nos malades a été de 45 ans 6/7. Le cancrmde de la face se montre bien plus souvent sur le nez et les paupières que dans les autres regions. Siii layoue, il offre de prefércncc la forme papillaire et ép1derrmque. Sur la paupière, son aspect est egalement papillnire, mais nous y avons trouvé plusieurs fois ces papilles composées d'éléments fusi- formes ressemblant beaucoup a ceux du tissu fibre-plastique. C'est au nez principalement que l'on observe l ulccre rongeant de la face. Partout le debut de la maladie se caractérise par l'apparition d'une saillie ou d une tumeur verruqueuse ou ressemblant à une simple induration de la peau. Il v a d'abord exce- " ' ' "\ une grande ' qui etendue sans amener beaucoup de douleurs ‘ ' peut attemd1c ' riation , p uis une ulcéra non et sans compromettre sen51blementla santé générale. ‘ba marche est tres lente, et des faits non douteux attestent qu'il est susceptible d'une guérison com- pl()ete et durable. La duree moyenne a été de 9 ans 7/12; 14 fois sur 18 elle a été au delà de 3 ans et c . ., r .; . ' ° - . L "iigc' note, chez. fois ,dsur cesd 1465casl,\ au delà d e '10 ans ces 21 malades a eté, dans,la meme 'des as, au' q un' nt '10 ans comme moyenne de duiee, _ " . Fndefal , -' b moyen de, 69- au"set10/li … essus : 1. ée _ d, 'afre ngt mi pendant les pre len est déjà passab Le cancer des 7‘( bonne heure et ] < douteuse. Aband Le cancro'ide c débutant par les l comme principa tard sa surface (] quer, ] peutprovo (lu petit bassin. Sa marche est moitié de la vie n'enlève pas de scrofuleux est de plication syphi… Le cancro‘ide fois atteindre j… tout un nid de membres nous ; 60 ans et 7/8_ N au delà de 70 a; Le cancro'ide est cependant il confondu avec [. auxquels une 0} Le plus imp0 un soin parti… onze cas de Cet on arme a a p rio e moyenne du debut. . Il est très im p ortant " ' ‘ ue1 ' ces ca ncr01des ent, pa1. des exc1s10ns applicatio . 1 d'attfa qd energ1quem complètes, par des un simple eng… composée de P? ns arsemca es. pro en es et ré p étées , par ' la combinaiso ' ' n, enfin, des deux methodes, ' selon les de choux-fleuœ: . ' mrcenstances. ces végétations ‘ : - ,. interne ‘ , du [p ems ' ' )debut N Le cancroïde } . ' e, le plus souvent, peu° la face du prepuce ou par le bord du gland. "'éqUentes, Un ous ] avons observe une 101s tout le long de la surface externe dec l‘a vuge. Il offre ordinairem ent l ' aspect ‘ ' . ce degré, l'Opé uw, ……L - :4-.,v-ç \.74.|Î…_,.., , |