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Show z.9a ANATOMIE PATHOLOGIQUE SPÉCIALE. de ce genre conduisent aux effets combinés de l'insuf. culaire. On comprend aisément que les altérations fisance et du rétrécissement. [huæahéraüon plus rare,conduisant nécessahernent à Finocclnäorn est Padhérence parüeHe de m valvule, qui peut avoir lieu avec les parois ventriculaires, l'un des chefs étant ainsi fixé et immobile. Cet culaire qu'il y oudû rentrh quelb étatestrare,etje conqnends que Fon fimseinhuwenirlïnflannnalku1pourlëxphquer.Je ne smuah même m'en rendre compte autrement. Quant aux adhérences des valvules entre elles, elles résulte… de det Nous: ordinairement d'un changement si compliqué de tout l'orifice, qu'il est quelquefois bien difficile de faire lïnsuf la part exacte de l'inflammation, de la rétraction, de l'épaississement fibreux, de l'athérome, des cain… fibrineux, toutes causes qui peuvent y contribuer. Parmi les adhérences de la valvule mitrale, une des l'élarg "'*"AA sñfi'ñA A trOuv< plus remarquables dont nous ayons connaissance est un fait signalé par Hope, qui a trouvé une fois un des chefs de la valvule mitrale et une des valvules aortiques soudées ensemble. Une autre forme d'altération de la valvule mitrale est le dépôt fibrineux. Il se forme alors une coagu_ ation sanguine, probablement, dans le principe, enchevêtrée dans les filaments des attaches tendineuses. Ce sontlà des végétaüons n10Hes, disposées surles deux faces,;flutôt à la supérieure cependant,granu_ Le lescæ valve] des p" rente leuses, globuleuses, mùrif0rmes, de consistance molle, élastique ou plus ferme et fibreuse. Parfois leur larger adhérence est intime, et alors on ne saurait les décoller sans enlever un feuillet de l'endocarde valvulaire; danüesfifison pmülesenæveraùénæntavecfonge. Une forme beaucoup plus rare d'altération valvulaire est une hémorrhagie interstitielle à la base doigt les m Bient fibreuse. C'est ainsi que nous avons trouvé une fois, à la base d'un des chefs de la valvule bicuspide, une matière d'un rouge brun, dure et sèche, qui était due à un ancien foyer sanguin. sond( Yasp( L'examen microscopique démontre dans l'épaississement fibreux une augmentation considérable des en n fibres simples et élastiques, avec quelques éléments nucléaires et cellulaires incomplètement développés, et avec beaucoup de granules moléculaires. Dans les plaques ou masses ostéo'ides, on rencontre surtout des sels calcaires amorphes; jainais nous n'y avons vu de corpuscules ni cartilagineux ni osseux. Les coagulations fibrineuses ne renferment que des éléments fibro‘ides et granuleux, sans éléments cellulaires quelconques. Nous avons trouvé quelquefois, accidentellement collés à leur surface, quelques débris épühéhaux de Pendocarde. N‘ayant donc point rencontré les éléments d'une exsudation phlegmasique, nous persistons à envisager ces lésions de la valvule mitrale comme dues, la plupart du temps, à une altération nutritive, soit à un épaississement fibreux, soit à un dépôt calcaire avec hypertr0phie fibreuse; ou enfin les altérations sont un simple effet de coagulations sanguines avec décoloration, comme l'a déjà établi Laënnec, sans exclure calcü sente teHes « Les inett dont tête. cuve de St H toutefiñs Yinflanunaüon connue une deleurscauses Toutes les diverses altérations sont plus fréquentes à la base et au bord libre que dans le milieu ou dans la totalité. pren rapp Les tendons prennent part aux altérations valvulaires; c'est ainsi que nous les avons trouvés épaissis dans l'hypertrophie fibreuse simple, et raccourcis dans la rétraction valvulaire générale. L'épaississement fibreux s'étend quelquefois aux muscles papillaires. Nous avons vu, comme Hope, les cordons tendineux disparaître complétement, et les muscles s'insérer, pour ainsi dire, au bord raccourci de l'orifice déformé. L'hypertrophie et le raccourcissement s'étendent aussi quelquefois aux muscles releveurs. Quant aux ce & lesqt leve voya bleu L' vices de position des muscles, ils nous paraissent indépendants des maladies acquises. Dans un fait observé par M. Bardinet (1), il existe un rétrécissement considérable de l'orifice auriculo-ventriculaire avai gauche, de 9 a 12 millimètres sur 5; les bords en sont blancs, épais. M. Bardinet pense que ce rétrécisse- coeu une ment est congénital, parce que les colonnes charnues qui reçoivent les tendons qui partent des valvules sont toutes deux placées sur la paroi postérieure du ventricule, à 12 ou 15 millimètres de distance, tandis que, dans l'état normal, l'une est placée en arrière, et l'autre sur la paroi antérieure. Pendant la lahe qu'a enc< vie,ily avan un brun de souffle aux deux Kunps, dyspnée, asphyxie. Siles détafls dans lesquels nous venons (Ventrer ont un intérêtsurtout pathogénique,il efi phfi valv important encore, sous le rapport clinique, de voir de quelle façon se modifie l'orifice auriculo-ventri- Tou ordi (t, l!ullctms ne la boucle analomzque, 1. My, p. (37. - Beau, ]7'tltll‘ c.cpcrzmcntal et clinique d'auscultahou apphÿuæ " [etude des maladzes du poumon et du cœur. Paris, 1856. Ul |