OCR Text |
Show $ïv$'Ÿ"'."l"fi*s .. MALADIES DES BRONCHES. te dans les tuyaux qŸ-'. a'-" M 'w‘.‘N':'>Ë«", 651 gite cérébro-spmale avec exsudation purulente et pseudo-membraneuse. Il est bon que le praticien ne e pleurésie. A l'au- ans la partie gauche : volumineuses, en- tie chronique. Dans ge tuberculeux. Les ntiennent également confonde continu, maux; (] c tête, bientôt suivis de coma de la … S _ pas le délire . les violents . . , . . mé mngtte ' ' ; avec ‘ le a délire imple de la pneumonie ou avec le dcffl‘?um [1‘07ne715 qui se dévelop pe fréquemment chez les ivrognes lorsqu'ils sont atteints d'une inflammation pulmonaire. Nous avons déjà vu, à l'occasion des maladies du cœur, qu'il n'était pas très rare de rencon trer ensemble la périeardite etla pneumonie. La lièvre tvphoïde se complique rarement de la vérit able pneumonie lobaire; cependant j'en ai observé des eitemples indubitables. . Si . l'anatomh ' - differences . , c‘ pathologique ne montre pas de grandes entre les diverses formes de pneu… meme, Il est tres important cepend er. Le tissu pulmo- res, séparés par des tuent. Quelques glo- e et sont le siège de ‘onique. Le liquide an" pour le praticien, de distinguer ces formes, et ici l'on voit de :, nouveau qu " ne faut. pas inger trop exclusivement la nature des maladies d'après la phénoménologi,. anatomique: NOUS distinguons surtout trois formes: la pneumonie franche, d'intensité moyenne, la pneumonie & caractere inflammatoire franc, mais très intense, et la troisième à caractère typhoïde … yphoïde adynamlque. Toutefois la seconde Peut Offrir, par son intensité même, une apparence pseudo-t fl… se dl55iPe quelquefois promptement sous l'influence des émissions sanguines et du tartre stibiéà 3, d'un jaune pâle, t de plus beaucoup dense laisse voir un haute dose. On ne sam-ait cependant nier qu'il existe plus d'une forme de pneu…ç…ie à caractères typhoïdes d'emblée et pendant toute la durée de la maladie. Je l'ai aussi observée d'une manière sporadique, et l'histoire des épidémies offre de nombreux exemples, dont je connais plusieurs en Suisse, i'exsudation. Nulle se et plus résistant tent interstitiel sont ancienne pleurésie : poumon de dedans euleux, parasitique, une entre autres qui a régné en 1829 dans la partie supérieure de l'Entremont, entre le Saint-Bernard et Sembl‘ancher, et 5… laquelle j'ai eu beaucoup de détails par les médecins qui l'ont traitée et par les témoins OCuluires des diverses localités qui en ont été atteintes. Pendant que je faisais mes études à d'Urseren pour une épidémie de pneu- Zurich, en 1833' M' de Schœnlein a été appelé dans la vallée monie lyphoïde dont il nous a ensuite très bien tracé l'histoire dans ses leçons; mais je ne crois pas que l'on soit en droit d'admettre avec lui cette pneumonie comme propre aux Alpes. J'ai démontré dans couleur grise tirant "…" "'3V3Îl sur Conrad Gessner, que l'affection qu'il décrit comme ayant régné à Zurich en 156Æ n'était nullement une pneumonie, mais une pleurésie épidémique sous l'influence du génie épidémique té considérablement pestilentiel. Ozanam (l) rapporte des détails qui prouvent que des épidémies de pneumonie à caractère nee en une couche éléments fibreux ou à 1719 t)'PhOÏde 0… régné en 1557 et 1561 dans le Brabant, en 1632 dans les États romains, de [708 ées, et plusieurs fois lies sont oblitérées, Le pigment noir est 1765, à RDmc, avec une intensité variable, et à la même époque en Piémont et dans le Languedoc, en affection peut régner épidémiquement dans 1766 e' 1773 en Normandie (2): etc. En un mot, cette a décrit sous ce nom les pays les plus divers. NOUS n'admettons pas de pneumonie bilieuse; ce que l'on et provient proba- rement une propagation de "" une Complication avec un ictère idiopathique qui n'est pas nécessai chez des individus chez lesquels la l'lnfl'àmmalion pulmonaire, puisque nous l'avons aussi observée ‘ouvons avant tout, pneumonie était hornée au côté gauche. Dans ces cas toutes les sécrétions, jusqu'aux épithéliums et sur la aux cellules du pus, étaient colorées en jaune. Nous ne possédons pas d'observations personnelles .atineux, mêlés avec forme pneumonique de la fièvre intermittente, larvée et pernicieuse. JlS qui s'élendaient :aillots bronchiques au pseudo-membraplusieurs fois que, circonstances dans lesquelles la Si nous cherchons à nous rendre compte de quelques-unes des que la pneumonie est pneumonie se développe, nous arrivons avant tout au résultat assez curieux s ement devenait plu lorsque la pleurésie une : à la pleurésie, serait de deux à beaucoup plus fréquente chez l'homme que c hez la femme. D'après M. Grisolle, elle de pneumonie, dont il y avait quatre fois plus commune chez les premiers. J'ai fait un r elevé de 87 cas mes relevés, qui portent du 6l hommes et 26 femmes, ainsi à peu près la proportion de 5 à 2 . D'après fréquenc c entre 15 et 30 ans, les reste peu sur les enfants et les vieillards, j'ai trouvé la plus grande après les 2/11", mais encore une ass ez forte proportion 5/11", une très grande fréquence entre 40 et 45, cet. âge. Voici, du reste, ce tableau (page 652) : frétion bien moins que .t bien plus rare tomac, amant de l'es ut être M. Louis, pe la compli cations de_ ]monfllf9; hysème P" , ala des d'une mêniu- t. II, p. 156. (l) Histoire médicale des maladies épz'de'miques. Paris, 1835, tutions épri/emzqztes. [l…-|s, consti et ies malad (?) Lepeeq de lu (llt‘iltit‘t‘, Observations sur les ]" siecle. Paris. 185!t. pratique rétrospective c/ cumpuwfie sm‘ le !raitement (les ëpzdwnzes au X 1. / Simon, [1/m/v 1770-1778, ?; \ul. iii-'t. -- \îu\ |