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Show AN A'l‘OMIE PATHOLOGIQUE SPECIALE. . Report. . . 12 1 l i 1 '] ' lie/15 a 50 ans. . . . . . . . . 50Ê15521l15......... compte de 1 bien chercl nerveux et « 3 } 55à60ans..……... 65 a 70 ans ......... 75 a 80 ans ......... 80 a 85 ans ......... ti ‘2 languissant< bonne hygi 1 dyspnée, et TOT.\L. . . ‘25 ammoniaca De 5 a tt) ans........... !; 10 a 15 ans ........... tôà‘20ans....….... 25a30ans ........... 30 a 35 ans 35 a 110 ans........... 2 2 1 1 [10 a 155 ans Report. . . 12 est souvent , nous dirons Sans vouloir entrer dans des détails symptomatologiques sur la dilatation des bronches n est plus dilatatio la lorsque et que, seulement que des légers degrés passent ordinairement iuaperçus, ophonie, du gargouillement même, s‘il existe forte, on entend une respir ation bronchique, de la bronch ; tous ces symptômes ne des cavernes; sans cela on perçoit des râles humides à grosses bulles même que le mal siège des deux côtés, et on les s'entendent ordinairement que d'un seul côté, lors praticien d bronches u ionnellement plus abondante, entend aussi bien a la base qu'au sommet. L'expectoration est proport Nous av peut exister plus fétide, tandis que les autres symptômes de la phthisie manquent, et en général la toux chique po surviennent. pendant longtemps avec expectoration abondante, sans que des symptômes de marasme l'existence de Toutefois quelques malades maigrissent et s'affaiblissent au point de pouvoir faire croire à longtemps, pendant que, tubercules. Cependant, en examinant attentivement les antécédents, on voit couvre de existé, ce qui, ordinairement, des alternatives de dépérissement et d'un état meilleur de la santé ont semblable , et même n'est pas le cas dans la phthisie pulmonaire. On observe quelquefois des crachats sanglants nombreus< un dépédeux de nos malades ont offert une assez forte pneumorrhagie. Dans un autre cas j'ai observé e rissement très rapide. Ainsi le diagnostic est possible dans la majorité des cas, mais il est parfois impossibl ou au moins bien difficile. Si nous cherchons, d'après ces caractères anatomiques et cliniques, a nous rendre compte de la pathogénie de la dilatation des bronches, nous trouvons surtout deux éléments essentiels, dont l'un est les aurait la bronchite prolongée et l'autre la conséquence probable de la première, une diminution dans la tonicité des muscles, et nous admettons sous ce rapport l'explication de Stokes, qui dit qu'en cas pareil il y a diminution de l'élasticité et de la contractilité des fibres longitudinales et circulaires. Il y a évidemment dans les bronches un mouvement péristaltique dû à leur muscularité, et de même que individu q trouvé un< Dans le préférence jaunàtres poumon « avaient d( Les brc pourle croup, le spasme de la glotte et la coqueluche, nous admettons un état spasmodique, de même aussi croyons-nous qu'une altération musculaire paralysiforme est le point de départ de ces dilatations, des gland qui se font en vertu d'une résistance moindre de la paroi que dans l'état physiologique. Ce point de d'abord et départ serait donc sous l'influence du système nerveux, ou peut-être pourrait-on admettre que, par suite des secousses et des efforts, l'action musculaire ait été directement affaiblie, d'abord d'unemanière passagère, puis d'une façon plus permanente. Une fois ce point de départ, névro ou myopathique, hydatique peut auss claire, lor donné, il survientdes altérations dans la nutrition; nous observons alors un afflux sanguin exagéré, un que c'est la muquc véritable travail hypertrophique de tous les éléments qui entrent dans la composition des bronches, ce qui s'explique en partie par ce fait qu'au-devant des parties dilatées, il y a ordinairement des tuyaux Parmi les hronchiques relativement rétrécis. L'emphysème vésiculaire peut aussi, d'après les recherches de fréquents ingénieus MM. Rilliet et Barthez, jouer un certain rôle dans la production des vacuoles pulmonaires. L'oblité- petit cali] ration d'un certain nombre de vésicules pulmonaires et de bronches, capillaires ou plus volumineuses, peut aussi avoir sa part dans la dilatation que nous observons autour des parties du tissu pulmonaire, devenues imperméables, soit par suite de tubercules guéris, soit par une pneumonie chronique avec développement considérable du tissu cellulaire. La pneumonie a peu d'influence sur la dilatation des bronches. On observe plus souvent la dilatation bronchique dans la coqueluche, bien quele catarrhe en soit la cause la plus fréquente. La stagnation du mucus bronchique est généralement plutôt l'effet que la cause de la dilatation. Une longue compression du tissu pulmonaire par un épanchement pleurétiquù enfin, favorise assez souvent la dilatation des bronches en rendant un certain nombre d'entre elles imper- La pen dedans; ] par la pe dedans e chiques, de la plè méables et en condensant le tissu pulmonaire environnant. Notre traitement contre cette maladie est évidemment encore palliatif, et cela parce que, dans le ") Pr"…"Ct traitement de la bronchite et des affections des voies respiratoires en général, ou ne tient presque aucun (2) JM)… |