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Show . -y- . "') "- affaire ici, comme dans le momplet à l'état d'éléments DE LA l‘RtlDL‘CTIÛN l'ATHOLUGIQIII-É DE LA GRAISSE. "."Y }. V'.‘. ".‘.'l'.'. t‘. ".'.' l‘ '. a'.y.-'o contenu autre que des gra- .e longueur. Quelques-unes .ttl. ou de fuseaux allongés 123 Bertasi, le Canu, Virchow, etc. Ce dernier observateur indique aussi l'état graisseux du sang comme normal pendant les derniers mois de la grossesse. J'ai vu souvent le sérum du sang des chiens ren- fermer, pendant la digestion, beaucoup de graisse, et être trouble eomme du chyle. L'état laiteux du irons trouvé leurs éléments sérum a été désigné sous le nom de piarrhémz'c. Dans les produits de la sécrétion muqueuse des fosses ;uer chez le cheval que chez nasales et des bronches, Simon a trouvé jusqu'à 6 pour 100 de cholestérine. Outre l'abondance des matières grasses dans les tumeurs enk_vstées d'origine sébacée, on observe quelquefois une hv persécréti on générale de tous les follicules sébacés, état désigné sous le nom de sle'olorrlm'e ou se'b0ï‘l'haqfc‘, et par Vilson sous le nom d'ichthyose sc'lzacc'c. Les follicules de Graff contiennent de la graisse lorsque leurs épithéliums subissent la métamorphose graisseuse et lorsqu'ils deviennent des kystes. On sait en outre que les kystes de l'ovaire renfermentquelquefois des quantités considérables d'une graisse comme butyreuse, mêlée de beaucoup de poils. Le con- tenu butyreux du lait est sujet a de grandes oscillations qui, d'après Simon, varient selon l'abondance GRAISSEUSES. as plus importants de anules, des vésicules renferment une forte leuse, tandis que les ‘encontre dans toutes 'origine de la graisse se, la mise en liberté ou la pénurie des aliments, entre 8 et 37 pour 100. Ce même observateur a trouvé des traces d'acide butyrique dans la sueur. Dans les urines, Elliostou a trouvé des quantités si considérables de graisse, qu'une couche épaisse de ce liquide en recouvrait la surface. J'ai, pour ma part, rencontré plusieurs fois de la cholestérine dans les urines des dyspeptiques. Les quantités considérables de graisse observées dans les matières fécales tenaient, dans les cas de ce genre qui existent dans la science, a une maladie du pancréas, qui, ne remplissant plus ses fonctions, ne pouvait plus émulsionner la graisse des aliments. .l Cependant j'ai rencontré une fois beaucoup de graisse dans les matières fécales d'une fennne atteinte d'une hypertrophie considérable du foie. Les conduits hépatique, cholédoque et pancréatique étaient parfaitement perméahles. Le pancréas n'était pas malade. de transformation de _5 Il. - lle la graisse dans les: cellules normales et pathologiques. ar les recherches de derniers temps, par ules, de la chair mus- contenu graisseux du wait, après l'expé- ue y a fait constater i ; l'auteur n'y a point considérable dans la omcn des oiseaux, ne ou. Les testicules de tt de 5 a 15 après un vait, dans l'espace de t un morceau de cire. suisse, renfermant de Toute espèce de cellules, des épithéliums, des cellules du cartilage, les corpuscules de l'os même, et, parmi les produits morbides, les cellules du pus, du cancer, laissent voir, après un certain temps de leur extsience, quelques granules ou vésicules d'apparence graisseuse dans leur intérieur. Bientôt leur nombre augmente tellement, que le noyau et le nucléole en sont complétement masqués et que la cellule n'offre plus que l'aspect d'une sphère grenue et agminée. D'après Virchow, cette graisse naitrait, la plupart du temps, par la transformation directe d'une substance albuminoïde en une sub- stance grasse. Peut-être n'y a-t-il, dans un certain nombre de ces cas, qu'une espèce de séparation d'une combinaison auparavant intime entre la graisse et les substances protéiques. Outre l'infiltration granulo- graisseuse des cellules, nous avons assez souvent observé leur infiltration par une graisse homogène. Cette infiltration s'était probablement opérée quelquefois de dehors en dedans, connue dans le squirrhede la rnamellc entouré de beaucoup de tissu adipeux. D'autres fois, connue dans des tumeurs épidermiques éloignées de toute source de graisse, dans le eancroïde du gland par exemple, il m'a paru plus probable que cette graisse tirait son origine intra-cellulaire d'un dédoublement ou d'une transformation. Les observateurs qui, les premiers, ont étudié avec soin la métamorphose granulo-graisseusc, Reinhardt et Virchow, l'ont envisagée connue un développement rétrograde, une véritable involution. Ce dernier est évidennnent allé trop loin en voyant dans ce fait une tendance curative de toute la maladie. Dans le cancer, entre autres, ;raisseuses. nous avons vu mainte et mainte fois des masses considérables de cellules a l'état granulo-graisseux, tandis qu'un grand nombre d'autres cellules étaient à l'état de développement [outil fait commençant et fraicherélion. un liquide très gras, ment formé. Comme phase de développement de la cellule, nous y voyons avant tout une altération des- tructive. Cette opinion est attaquée par Schultzc (I), qui n'y voit qu'une augmentation de l'action vitale des cellules. L'augmentation de volume lui paraît militer en faveur de cette opinion. Nous ne pouvons discuter longuement ici cette question, mais tout ce que nous cmtnaissons des phases d'évolution des quide et formation de cellules parle en faveur de l'action destructive et de la valeur rétrograde de l'infiltration granulo- mm du sang renferme gnalé par Zannarelli, graisseuse. Il nous a paru qu'un trouble local ou général dela nutrition accompagnait bien souventcette :ltze (3)- surla forma- 7 pour 100 de graisse détérioration cellulaire. (tl Op. cit.. p. 51. _: r possibilité chimique |