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Show :es, fait analogue à ce ions de MM. Rilliet et e du péritoine que la le rapport del à 3 ; la lomiuale. On voit alors s tuberculeuses plus ou [ assez étendue, que de tielle, qui se présente le neaucoup plus rare que aloppement partiel des MALADlES DES BRONCIIES _ . ess farm de tubercules dans toute sa substa nce, ce. ux-ci peuvent mê mc acquérir des dimensions considérables, et, dans un cas, nous avo ns observé une caver ne tuber culeuse de grandes dimensions au milie u d'un dépôt tuberculeux du foie. On observe fréquemment aussi les tubercules d u foie chezl'enfant, et MM. Rilliet et Barthez les ont notés chez le quart de leurs sujets . tuberculeux. Quant à la grande raret é de la tuberculisation étendue du foie chez l'adulte, elle ne saur att etre mec. Pour faciliter le diagnostic, nous insistons sur les points suivants : 1° Les tubercules du foie ne saur aient être méconnus lorsqu'il En l'absence de celles-ci , le, et la tuberculisation côté des tubercules jaunes on trouve des granulations grises; c'est ce qui nous . , . est arrive une fois. Le doute n'est pas permis non plus lorsque le foie est parsemé de granulations tuber culeuses jaunes, comme j'en ai observé réce mment un exemple. Il faut tenir compte de la position des tuber cules plus superficiels; ceux- ci forment ordinairement une saillie convexe, tandis que les masses encéphaloïdes offrent le plus souvent un rebord légère ment sadlant, avec une rétraction assez notable en forme de godetvers le milieu de leur hypérémie qui peut se surface. pas rare d'observer un ir jusqu'à 1 centimètre 20 Sur une coupe fraîche, le tubercule offre l'aspect granul eux et caséiforme, tandis que le cancer présente un aspect plus lisse, un suc trouble et lactescent, et fréquemment des épanchements sanguins : celle qui produitune dans sa substance. d collées ensemble et 3° Au moyen du microsc0pe on distingue aisément, dans la majorité des cas, les corpuscules du tubercule des cellules cancéreuses; m ais ici il peut se présenter une difficulté: le cancer du foie subit quelquefots une infiltration graisseuse et grumeleuse telle, qu'il ressemb le, à l'œil nu, à la matière tu- rche lente de celle plus berculeuse, en se ratatinant et en s'infiltrant de graisse. Mais en examinant attentivement cette matière, ntestinale. Du reste. les prise sur un grand nombre de points, on retrouvera presque toujours des éléments cancéreux non péritonéale, sont loin douteux, soit microscopiques, soit de dimensions plus notables, qui, alors, lèveront tous les doutes; 'une exhalation séreuse c'est dans ces cas qu'il sera bon desc servir en même temps des réactifs chimiques, et surtout de l'éther 1ts tuberculeux ont une et de la potasse hydratée suffisamment diluée, qui, en dissolvant la graisse, font plus facilement reconnaître les éléments propres au cancer. cale le sujet d'un travail La tuberculisation étendue du foie s'accompagne toujours d'une augmentation notable de volume et Zurich j'ai en occasion d'un état hypérémique du tissu hépatique environnant. Nous ne l'avons point vue coïncider avec l‘état le, ce qui m'a apprisà ;ie de cette maladie. Un mgurale. Je ferai seule- gras du foie. Ordinairement le foie gras estaugmenté de volume, surtout dans son grand lobe; il est d'une consistance perdu de vue, le sujet pâteuse, d'une coloration jaunâtre, offrant un aspect anémique. ll graisse le scalpel qui le divise, pays. Toutefois des "cas ainsi que le papier sur lequel on le place et que l'on expose à une chaleur modérée. D'apres les obser- vations de M. Louis, il est quatre fois plus fréquent chez les femmes que chez les hommes, et est ont il s'agit, a consiste rarement accompagné d‘une véritable hypertrophie. Nous avons cependant rencontré(un cas de foie naleptique, de frictions signes du dépôt tuberdans la e développent surface, origine à la (lesAcas titre que, dans s meme it, quelquefoi int; mais renferment po foie eta1t 1teuse, que le gras chez une femme phthisique, chez laquelle cet organe était tellement hypertroplue, quil occupant environ les deux tiers de la cavité abdominale; il ne contenait du reste ni tubercules ni masses cancel‘eu5es. Il paraît que, chez les enfants, l'hypertrophie du foie accompagne plus souvent la tUbCFCUlISHUOU que chez l'adulte. chanpoint deent cependnant des é aississem . , es, ne subit La bile, quoique souvent de couleur et de consistance anormal gements spécifiques chez les tuberculeux. M. Louis a constate, dans P1U51€urs cas, " P 15 de la . . . ]. l€SlCul6 dveC ulCélat10n. l 5 . 0 , f ] 3 1/2 ANAT. l‘ATlltlL.-ÛU° LIVE. .+.t-0-" -. n .. \..- .. .. _ç…_ _. ,....i.‘-w ..'_.,....,.-,u .-.u- ‘_»-«- mns, a guéri et a quitté ,s;;çs»v …essæ f_\ AasaAAn constitutionnelle, et chez laquelle il n'y avait ni des tubercules dans les poumons, ni phlegmasie gastro-intestinale; plusieurs fois nous l'avons constaté dans des entérites chroniques avec ulcération. &\_D"_‘ les nde, atteint de tous avons rencontré dernièrement un état gras du foie chez une femme qui avait succombé à une syphilis A "\,A‘ ine. Quatre fois j'ai vu :r complétement : ainsi, ale m'a paru primitive _,A_A_A A 5ñs 5 organes de la cavité trouvés cependant ordi- L'infiltration graisseuse du foie est surtout fréquente chez les phthisiques adultes, à tel point que M. Louis l'a rencontrée dans un tiers des cas. Il en est tout différemment pour les enfants, chez lesquels le foie gras manque dans beaucoup de cas de phthisie, et se rencontre même tout aussi souvent à la suite de maladies non tuberculeuses, par exemple chez des sujets qui ont succombé soit à une phlegmasie chronique du tube digestif, soit à des fièvres éruptives ou à la fièvre typhoïde. Nous AAAAâ ‘ité qui s'y établit. Une épanchement purulent, |