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Show l B. Un e sorte de tumet RALE. ANATOMIE PATHOLOGIQUE GÉNÉ 450 subd1v ision, tanées constituent une premiere A. Les tumeurs sou s-cu et ici nous avons encore trois qui preiinen MAMM AMT " re. sortes de tumeurs bien distinctes à décri faisant relief à la sur face de la peau, Ol'dlna1rement a. Les petites tumeurs molles et él astiques, s, dans leur inté_ et lisse de derme e t d'épiderme, et composée pédiculées, entourées d'une couche mince été décrites sous les noms de . Ce sont ces tumeurs qui ont rieur, d'un tissu connectif mou et homogène oerrues mol/cs ou t‘eï‘î‘tt65 charmes. ent pas p e de tumeurs fibroïdes sous-cutanées ne pouss b. Les productions appartenant au second grou mais s, molle pour ainsi dire, comme le font les verrues au-devant d'elles le derme pour s'en coiffer, fqu'après ndes du tissu ce llulaire sous-cutané et ne font relie elles se développent dans les couches plus profo ' .' . ' "‘n- ..- qui ne dépassent gué re le VOlum€ d un hallCOt0u d une avoir pris un certain accrmsscment. Ces tumeurs, rence chez les rs tres vives. se rencontrent de préfé petite amande, donnent lieu à des accès de douleu inférieurs, et ont, en un mot, des caractères si tranchés, femmes, occupent plus volontiers les membres C'est bien à tort qu'on les a confondues avec que leur pathologie a une physionomie des plus distinctes. les névromes. des précédentes par l'absence d'un siége c. Les tumeurs fibreuses sous-cutanées ordinaires se distinguent bien plus considérable, par l'absence de prédilection aussi constant, par la possibilité d'un accroissement presque complète de douleurs. tout en offrant une structure histoVoilà donc déjà trois sortes de tumeurs (1 c structure analogue qui, cliniques bien différents, nouvelle logique semblable, offrent cependant des caractères anatomique s et trop exclusive dans la preuve de l'insuffisance de la classification histologique, lorsqu'on lui fait une part détermination des produits morbides. B. Les tumeurs fibroïdes sous-muqueuses se rencontrent avec quelques conditions analogues à celles du tissu sous-cutané. Nous voyons : a. Des petites hypertrophies locales du tissu sous-muqueux se coiffer de la muqueuse distendue, et aux verrues molles et charnues. constituer ainsi une es èce de 01 YP es analomes :: s -. une substance locales tendent à s'accroître bien «lavantaoe b. Les mêmes etites li ertroahies } gélatineuse abondante est interposée entre les fibres, la muqueuse, bientôt, est usée à leur niveau, et ces tumeurs se développent librement en devenant ordinairement plus épaisses &. leur extrémité libre fi men ordinaire fibrenx. e fibreu 0pp C. L'enve1 ique ( anatom disposition offrent à leur névromes, cal progress loppement le oupe de tu au (:un autre gr dépasser multipl es peut de que nous connaissons lib… …. -- Les corps plus je les étudie, moins 01 tions si remarquables aberration de la nutritir bien plus une aberration opinion quej'ai hésité pe suffisamment nombreuse: réserve pour le moment de les appeler tumeurs moment, cette dénomin quantité variable «le tissu IV. - Nous voyons le avançons dans cette esqr le plus inexpliqué de toi comme corps étrangers de ses productions, mai bien étonné d'apprenrh membranes séreuses et l y' qu ila leurs points (Implantation, qui se péd10u1entde plus en plus. Les sortes de tumeurs se rencontrent surtout dans les fosses nasales et dans la cavité du col utérin; dans la cavité du corps de l'utérus, elles prennent un tout autre aspect. Nous reviendrons, du reste, sur toutes ces particularités, en parlant plus poignet; on sera plus fr spécialement des polypes. tissu flbl‘0ld€ d'une mer . . . . , . . . bolithes, et pourtant un ils'agit d'un même mot . Il. - L hypertroph1e des tissus fibreux, qui, en realité, ne sont constitués que par un tissu connect1f . .. . , . ‘ . _; \ a son tour, le peint de depart de tumeurs fibreuses bien diffépeut devenir, condense, tres ferme et tres membrane synoviale, cui rentes les unes des autres. Nous y distinguons surtout trois grands groupes. . . _ . . . / _ du pénoste ou de plans libreux dans le veismage libreuse par une hypertroplne A. Tumeurs constituées chaque localité sur laque" de développement d'un Après avoir établi ain: ' 7 - . \ des os. ' 1 1 v , " ‘ l séreuses, la tunique into a. Les tumeu1s fih1euses du peuoste proprement dites sont frequentes dans les fosses nasales et y et avoir prouvé déjà que prennent leur peint de depart le plus fréquent sur le périoste des cornets ou du vomer, plus rarement nombre de tumeurs dire ' ' ' . egalement . . . rencont1e - ou les " ' int e rne du smus sur le p érioste où elles dewennent dans l'orbite, maullane, , la cause frequente de l exophthalnne. . / ' . . . l nasales celles bien autrementgraves des fosses de ces tumeurs_ permstales croyons devou'. separe1 l). l\ous Leur forme est ordir pédiculé€ë elle devient & qui prennent leur point de depart dans les plansfibreux de la partie antérieure et supérieure du pharynx que les tumeurs libreuse saillies osseuses de l'os ( Odee la base du crane, tumeurs qui s'insinuent dans un bien plus grand nombre de cavités que les pré- lorsqu'on veut les enlever . plus graves de la chirurgie, $* ' ,. opuat10ns e entes , et nécessitent p eut-ê tre les les complétement. -- - elle est diffuse, . mais " … pctllCul€ô, -- le…-'implantati' on u est pas nencoreu et bien peut, p . 1 u % roueà some… de '- s s p' ic n 05 et des parties molles, ou il reste quelque plae maxillaires, l‘rontam et ' » v' ' , surtout de la màchmre . ‘ ps‘ des maxilla1res \ du e0i 5"' c. Les ttumeurs fibreuses du pouoste inférieure, constitue . ‘ ‘ es osseuses pénetrent ces tumeuis., dans toute leur étendue. .-. . . . - J‘ ; 9- -û.Ë'ËJ,…"ÂÜÂ. t leur point eu t des tum .… ...-,., ., .,ÿ .",4 _À,_‘_.Â_+_A _ ... ,u+ 'i-.'"J»J "It!4-J'lsq ". " -_t,h4-J,tç4.-f,.s+»Ït:+u,}54up:4£);\=+M,-!4lt,"!A'.!+>tu ' " ' liiiîlîiiÏ'e"t pédicul. mince de 1 des fosses nasalc s et de |