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Show ANATOMIE PATllOLOGIQUE SPÉCIALE. 5110 avant t0 persisté M. Devoir; dès lors, d'après M. Boudin (l.), l‘infection purulente y a disparu, tandis qu'elle a ion des opérations d'une manière propordans l'autre. Toutefois j'ai observé cette cruelle complicat à cette époque, les nombre"X tionnellement fréquente en 1844, à l'hôpital de Lavey, où j'avais recueilli, d'une construction tout àf… blessés de la guerre civile du Valais. A l'hôpital de Zurich, qui est , récente, et qui est un des mieux or ganisés et des mieux aérés que je connaisse l'infection purulente é n, est également assez fréquente. Dans l'esp ace d'un an et demi, j'en ai observ 14 cas dans ma divisio t encore doiven cas ces ois dans laquelle, pourtant, les cas de chirurgie sont tout à fait en minorité. Toutef ières, puisque, après ces Ut cas, dépendre d'une constitution atmosphérique ou d'autres causes particul là encore des causes je n'en ai observé que trois depuis bientôt trois ans. Il faut donc admettre qu'il y a à des recherches futures. inconnues dont la détermination est réservée uflmsc (les veines. @ II.-Dc l'olnlitérafiou ou (le la. lln-0 phlébite, l'une exsuNous avons déjà vu plus haut que l'on admettait généralement deux formes de point essentiel et dative, l'autre adhésive. Dans cette affection cependant, la coagulation du sang est le delà de l'induration peut l'altération primitive; un travail phlegmasique de la surface n'allant pas au soin 13 ‘ métrite, Ici encc La tl subit, « mêmes en com 4 fois 5 l'esp301 M. Vel parait opmmr Puzos origine Boyer, diverses maladies aiguës s'ensuivre, mais y manque souvent. Elle survient lorsque, sous l'influence de ai observé surtout ou chroniques, le sang a été profondément altéré. Parmi les affections aiguës, j'en gnentv ois des douleurs dans la convalescence de la fièvre typho'ide, pendant laquelle elle provoque quelquef avec cl rhumatoïdes avec gonflement dans l'un des membres. J'en ai observé une fois àla suite d'une pneumonie grave qui, du reste, a guéri. Le gonflement douloureux est survenu successivement dans les deux membresinférieurs et dans un supérieur; les cordons durs qui correspondaient aux veines obstruées, la survenir la disparition graduelle des symptômes, autorisaient au moins cette supposition. J'ai vu aussi thrombose dans la convalescence d'une pleurésie aiguë. Parmi les maladies chroniques, ce sont surtout les états dans lesquels le sang est pauvre en cellules que la thrombose se montre, soit qu'il y ait simplement diminution, comme dans la chlorose et dans canl'anémie, soit qu'il existe un état cachectique général, comme dans les affections tuberculeuses et - céreuses avancées; il y a là, outre l'état altéré du sang, un autre élément prédisposant, c'est l'affaiblis alors la sement de la force du cœur. Des tumeurs peuvent produire la thrombose par compression, mais externe, est veine, au lieu d'être distendue par le caillot, et au lieu d'être hypérémiée dans sa tunique ve plutôt comprimée, apialie, revenue sur elle-même. Cependant l'obstruction des veines caves, consécuti siège, à l'anévrysme de l'aorte, s'observe ordinairement avec conservation du calibre, et produit, selon son les. un œdème des parties supérieures ou inférieures du corps, avec développement des veines superficiel pas encore On rencontre quelquefois l'obstruction des veines rénales dans la maladie de Bright, et il n'est démontré si, dans ces cas, elle est le point de départ ou l'effet de la maladie des reins; je serais plutôt disposé à n'y voir qu'une altération consécutive, vu que les deux reins sont malades en même temps, lors même que la thrombose n'existe que d'un seul côté. Dans les maladies organiques du cœur, la thrombose qui survient subitement est probablement causée par un caillot embolique. Parmi les causes teuse, qui s'observe rares de la thrombose des veines, on pourrait aussi admettre leur altération athéroma surtout la où les veines des membres sont en contact avec les artères athéromateuses. Plus du tiss Beiter fenvk C'est ] primiî portic parfui Po entou cellul ni la adhét lorsq se dé rame quelr veine l'obs a lie par pour L'oblitération des veines est en elle-même une affection bien moins grave que celle des artères, mais lymr gonflement sa complication avec celle-ci peut devenir fâcheuse. En elle-même, elle ne produit qu'un ovai œdémateux douloureux et passager qui disparaît par suite de la circulation veineuse collatérale qui mal e qu'à d'autres: s'établit très facilement. Il parait qu'à certaines époques elle est beaucoup plus fréquent de ma vie médicale je n'en ai vu autant que pendant l'été de 1853. c'est ainsi qu'à aucun moment des caractère des maladies régnantes? Voilà E‘L‘Ce "" Simple hasard, ou y a-t-il là quelque rapport avec le et C. ce qu'il sera difficile de décider. Nous allons décrire avec quelques détails les altérations produites par l'obstruction des veines des membres inférieurs chez les femmes en couches, comme un type de ce genre d'affection. NO"S dirons Si pue] plus (1) il) Amin/03 al'/zygi/qw publique. Paris. "1852. t. XL\'ll, p. "2157. |