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Show ons noutrmxrtoas CONGÉUITALES on C0Nl‘onuxriox, -' degres les pl u*? )mplé- avancés fera " ' a . . - … ), le… '_h"m"llh‘f)d'sme transversal, dans lequel les organes externes ont l'apparence dorganes mâles, tandis que les internes ressemblent a ceux de la fem… ou, en sens €, . . féminine inverse, apparence ' _ externe et masculine inter ne. Ce dernier cas est plus fréquent que le pre- mier, parce qu'Il ne nécessite qu'un arrêt pour produire le type féminin, tandis que pOur le résultat ur le inverse, les organes externes doivent subir un excès de développement. re plus 3" Existence d'un organe semblable à l'utérus dans le sexe mâle, ou défaut de l'utérus chez la femme, ou enfin fissuration plus ou moins marquée de cet organe. En voici l'explication. L'extrémité terminale des conduits excréteurs des organes germipares et de leur embouchure dans la paroi postérieure de l'allan- t‘o'ide donne naissance, dans le sexe masculin, aux vésicules séminales, à la prostate, aux glandes de Cooper, et dans le sexe féminin, à l'utérus et au fond du vagin. Ce sont les premiers rudiments de ces organes qui, chez l'homme, peuvent former un organe semblable a l'utérus, tandis qu'un arrêt dans il") , foie ou l'embryon féminin donne lieu à la division en plusieurs parties ou à l'absence de l'utérus. Le second genre est l'hermaphrodisme latéral, dans lequel on trouverait, si tous ces cas n'étaient pas plus ou moins douteux, un testicule, son canal déférent et une vésicule séminale d'un côté du corps, tandis que l'autre offrirait un ovaire avec sa trompe et l'utérus. Le troisième genre est celui des androgynes, des l1er1napluodites 21 sexe double; il y aurait dans ces cas, qui tous sont plus ou moins douteux, les organes des deux sexes du même côté. ition de lUSSl les BischofT fait suivre sa classification de quelques remarques générales dont plusieurs nous ont paru utiles pour compléter notre aperçu des anomalies. En voici quelques-unes : Les organes du feuillet animal du germe ne naissentjamais du feuillet \égétatif, et réciproquement. D'un autre côté, la plupart des organes quisubissent une transposition occupent primitivement le plan médian. Fleischmann (l) a établi sur ces faits sa loi du lieu, law topicorunz. Le même auteur a insisté sur ce fait que, dans les réunions anomales, celles-ci ont toujours lieu par des parties homogènes ou qui ont :s reins, entre elles une certaine affinité. C'est sa loi de propriété, lex proprietatis, qui, au fond, n'est autre que u cœur. celle si bien établie par Geoffroy Saint-Hilaire, a savoir que la réunion n'a lieu qu'entre parties similaires. La loi de balancement, déjà établie par Meckel et exposée avec beaucoup de détails par Geoffroy Saint- la cœur monaire faorte à scolaires Hilaire (2), loi en vertu de laquelle il y aurait une certaine compensation entre l'excès de développement et le défaut, soit chez le même individu, soit chez les enfants des mêmes parents, est développée par des exemples intéressants; mais Bischofl‘ insiste sur la fréquence des exceptions, fréquence telle que cette loi n'est en réalité qu'un fait peu rare, plutôt applicable aux cas dans lesquels il y a eu anomalie de force plastique, mais inapplicable lorsque le vice de conformation reconnaît pour cause des influences accidentelles. D'après Meckel, les organes qui reçoivent leurs nerfs du cerveau et de la moelle épinière offriraient Il y a prédilection de certaines anomalies pour l'un ou pourl'autre côté du corps, pour sa partie supé- mais les rieure ou inférieure. C'est ainsi que, d'après Meckel, la fissure de la lèvre supérieure et du palais est Surtout fréquente à droite. La duplicité est plus fréquente a la partie supérieure du corps qu'aux extré- . mités inférieures; on observe plus souvent les doigts que les orteils surnuméraires. exiguïté herma- ;esticules : plus ou il] vagin, dans le sexe En général, tous les observateurs sont d'accord sur la fréquence plus grande des anomalies féminin que! dans le masculin. D'après Otto (3), les fissures congénitales ofl'riraient l'exception la plus marquée (33 : 17). \ ‘ Bischofl‘ achève enfin par l'étude de l'hérédité par le père aussi bien que par la mere, quant a ce ‘… a rapport, non-seulement aux anomalies en général, mais aux mêmes anomalies dans les mêmes familles (à). ;en le des Bildungs-lzemmungen aler Meme/zen und 7712‘ere. Nuerenberg, 1833. et les (uiimfltix. Paris, l83‘2, t. I, p. 276. @) His£oire des anomalies de l'organisation che: l'homme nation 59 (3) .llonstrorum sca:cenlorum descripio anatomica. Breslau. i, à leurs ( l) P. Lucas (Trailép/u'lu.s‘up/1[que ('l ]»lt_ljslolu- M le docteur . t. ], p. hifi?) et suw ) tique de l'hérédilé naturelle dans l'état de saule' cl de maladie, Paris, 1850, tu7 (ü) Cette question de l'hérédité a été traiter: avec une grande supériorité par ANAT. parue}… -- 18° LlVR. _,,. - l‘.'. lu déve- A. à *.A " -‘Ü\ A:RV:« ,. ablances La duplicité ou l'excès de développement sont bien plus fréquents dans les parties qui proviennent du feuillet animal que dans celles qui naissent du feuillet végétatif vasculaire. . ÛAÀ AAAÂfiF.AA»7 bien moins d'anomalies que ceux qui reçoivent des nerfs du grand sympathique. t ovaires |