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Show …».&\,Mt'lw\:rv -'n+. .+.' ...»... .. .,. ‘, V(y_+, "‘-% >-r‘$'; »» ; .; _» a dans ces tubes cap illaires, peut facilement dépl acer ou 3 Berlin) a trouvé à peu prè s unie, fait dont j'ai eu occasi on ms tubuleuses des bronch es nées, bien plus filameuteuses , pas être confondues avec les ation entre les deux feutres : que l'on pourrait le croire le ces eoncrétions, tous les pti existent entre elles. Nonre de la pneumonie se prons des bronches plus volumi- ) biologie par M. Gubler. Les ions reviendrons ailleurs sur yngo-bronchite et de la bronnt les petites bronches; il en premiere offre encore deux formes distinctes, la bronchite pseudo- membra neuse essentielle, et celle qui accompagne la pneumonie. Cette dernière a été observée par moi plusieurs fois et s'est aussi rencontrée dans les faits ,de_l\l. Gul>ler. Il y avait plutôt une inflammation broncho-vésiculaire dans les faits observés par M. Nonat en 1837, dansl'épidémie de grippe. Mais la forme la plus importante sous le rapport clinique est la forme chronique. Dans celle-ci on trouve la membrane muqueu se bronchique peu altérée, et la meilleure preuve qu'il y a la une exsudation successive et répétée est fournie, même en dehors de la demonstration anatomique, par le fait que ces malade 5 expectorent pendant longtemps des fausses membranes tubuleuses et capillaires, tout en ne présentant de signes physiques que dans …… portion restreinte du poumon. Aussi la durée, qui peut varier entre cinq, quinze et vingtjours pour les affections aiguës, peut-elle être de plusieurs mois; d'après l'analyse de M. Thierfelder, elle a été même une fois de seize mois, et une fois de sept ans, avec de longues interruptions et avec retour de l'expectoration pseudo»membraneuse a des intervalles irréguliers. Un cas en tout semblable a été rapporté dans le travail déjà cité de M. de Gournoëns. La femme qui en faisait le sujet, âgée de soixante- douze ans, avait depuis sept à huit ans, de temps en temps, des attaques de catarrhe avec cnrouement, toux et oppression, et chaque fois elle s'est promptement rétablie après l'expulsion de la fausse mem- brane bronchique. Cette expulsion, même dans les cas chroniques, est précédée quelquefois d'opprcssion et d'accès de sufl'ocation. La quantité des fausses membranes ainsi rendues avec le temps peut être très considérable. Un autre cas de croup bronchique, tout à fait en dehors de ce que l'on observe ordinairement, a été également rapporté par M. de Goumoëus . Un jeune homme âgé de vingt-huit ans avait présenté pen- egmasie. dant longtemps les symptômes d'une affection bronche-pulmonaire grave, et dont le diagnostic avait mis en défaut le talent et la sagacité de plusieurs des praticiens les plus distingués de l'Allemagne. A l'autopsie, on a trouvé, outre l'empbysème pulmonaire, des adhérences pleurales, de l'œdème des poumons, une s, mais des caillots tubuleux ulcération située au-dessus de la bifurcation de la trachée, ou plutôt une série d'ulcérations qui s'éten- t, une obstruction vésiculaire les du même lobe, établit le an. Si les fausses membranes -trachéal peut, de son côté, daient dans les grosses bronches jusqu'à un travers de main au delà de la bifurcation, en sorte que l'ulcération avait à peu près 13 centimètres de longueur et s'étendait dans les ramifications secondaires et tertiaires. Les cartilages étaient érodés sur plusieurs places. L'endroit de la bifurcation était rétréci, mais immédiatement au-dessous il y avait une dilatation de 7 centimètres de longueur sur 3 de largeur, puis venait de nouveau un rétrécissement et une seconde dilatation. Les petites bronches étaient également dilatées. La muqueuse était rouge et ramollie, surtout autour des ulcères. Ce même malade avait rendu, pendant la vie, plusieurs fois des fausses membranes larges, plates, correspondant à l'ulcération, et en outre, à différentes reprises aussi, des fausses membranes tubuleuses qui provenaient stion, carnification et ressem- plutôt d'une manière passive, que le croup laryngo-trachéal er irc, on voit qu'il peut enst sent ie et d'exsudation se pas nflamles sont le siège de l'i r épi3urs parois et dans leu uses de mé me que de nombre aires, et des vaissea ux pulmon taires, et aux bronches capil esquisse re pas voir dans cette si diverses asics en appare nee de iront être. i des distinctions 1l ions broncho -pulmonaires, même plus que. Nous verre ns sontà anneaux q ni ncorc des "& ÂÂA AFFoAÀÈ . [_]usqu a 1 centimètre . Sauf terieur, un canal par leq uel évidemment des bronches d'un petit calibre, ets'étendaient au moins dans celles-ci. Ce cas est complexe, et et il y avait à la fois bronchite pseudo-membraneuse et tranchée-bronchite chronique, dipbthéritiquc que la dilatation ulcéreuse; mais c'est un nouvel exemple en faveur de la thèse que nous soutenons, bronchoaffections des bronches peut résulter detente espèce de bronchite prolongée, et que ces diverses pulmonaires peuvent se combiner entre elles d'une manière très variée. la bronchite pseudo-membra- ' Nous pensons qu'il faut une disposition particulière pour que . - . . '.r … , forme - . tout a«‘ fait une neuse pursse se développer, car c'est une affection rare, et, par consequcnt, on plastique dans les bronches insolite de la bronchite. A part les cas de pneumonie avec exsudali , . .22 observations . - il' y a- eu 'lar h 0 mmcs. et en tout. Sur ce nombre capillaires, nous n'avons pu reunir que . , , ' dans la p ro- que chez les- femmes 9 femmes. Cette affection est donc plus lrequente chez les hommes '* au mo ins p eu ' - ' rare, - une maladie ' ' note' chez 21 malades. Il parait que c ' est portion de 5 a 3. L'âge a ete ."} [aeine ,ilet ‘ parlent en . ' ' de lenfance ' des maladies ' classiques 'observée dans le' jeune âge, car les traités ment entre 10 et 20 , tant rs " . ' et 9- seule . .. < avant 10 ans, ' cas "‘ *.A " A‘A F' t)dll‘ttll€Î\0lll de 8 à 12 centi. 619 dans cette espèce de coagulum tubuleux une quantité mnombrable de cellules du pus des mieux , . . caracter1sées. leur surface est r couverte c ' ' par-- ci' par-la ' ‘ ‘ de quelques‘ cellules o'épühehum ‘ ' ' ' et de globules du sam. il faut distinguer deux formes de bronchite pseudo-membraneusc, l'aiguë et la chronique; et la ° nsonflà"t d"'° ‘lu 0" qu'il y en a déjà 6 entre 20 et 30, et 13 après 30 ans, dont 5 entre 35 et …. 00 Peu{ d‘…" A dans notre relevé nous ne trouvons pornt de fibro* ancre dune :-u bstance_ . \ ncentriques, 91 €… "tîiê-Îîâ. - < petits tubes. Il est impossible MALADIES mas Bnoucltns. A . ÂÀAFŒ )tomiques, ils sont ter minésà |