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Show DES TUMEURS CARTILAGINEIÎSES. elles, ce qui ms en ro…) » 15 en tout, & ethmoidæfl, âne. u Squelette; . fournissent 5 pour l'hu_ iportion soit ni 23 de Ces 1ver de type t nulle part pour la sta- ablir la fré- du sein dans tr, 9 pour la Lulu-rl. 0 anni… 1 Ficlitt. 0 Puget. 7 Jambe....…......….…. 1 Os du pied ............... 0 3 2 3 9 0 2 0 2 lllainsetpicds....…........….….…. Côtes ............................ Cuissesetpieds...…................. tl _1 1 2 0 t) 0 tt 0 (l () 0 2 1 1 Deux mains, un pied et un tibia .............. 1 0 0 0 1 Deuxmains......................... Omop_late7 partie supérieure et partie inférieure de l'linméi‘us. llumérus ctrécidive dans le moignon. . . . . . . . . . . . () lt 0 0 0 () 1 t) U ‘2 1 1 & 1 1 Mains, pieds, tibia ........... . . . . . . . . . . . 0 t) 0 1 1 Parotide .......................... 0 1 l 3 5 Glande sous-maxillaire. . . . . . . . . . . . . . . Glande mammaire . . . . . . . . . . . . . 'l‘esticule .......................... t) 2 2 0 1 ‘). 2 t) U (l 0 ‘1 2 3 5 A" Membres inférieurs. Fémur .................. 'nmm. 8 5" Ene/mmlz'omes multiples des os. II.-Pannes normes : 21 (l/5‘f. l'oumons .......................... 1 0 1 0 2 N6L '] () ll () 1 2 Cuisses ........................... 1 0 t) 1 Tissu cellulaire sous-cutané ................ U 0 t t) 1 'l‘or.xux. . . . . . . . . . . :>Ê &? -2Î 37 125 ' les enchanombre total. Les phases de développement des tumeurs cartilagineuses sont, comme pour toutes les tumeurs, assez rue pas, pour variables. La première, la plus fréquente peut-être, est celle de l'ossification, dont nous avons décrit de. Voici la plus haut le mécanisme moléculaire. Sous le rapport anatomique, il faut distinguer l'ossification péri- phérique et l'ossification intrinsèque. La première s'observe surtout dans l'enchondrome. qui prend at des pieds, sur un pied et la partie tation, 1 fois tous en trounaire, 5 pour son origine dans les parties profondes de os longs, dans les plialangés des doigts et des orteils, ainsi que dans les os métacarpiens. Le cartilage de nouvelle formation produit non seulement une dilatation de l‘os, mais évidemment aussi une nouvelle formation d'os, carla masse de la coque osseuse d'un enchondrome du volume d'un citron siégeant sur une phalange est évidemment bien supérieure à ce qu'elle serait s'il n'y avait eu que simple distension vésiculaire de la substance corticale de l'os. Il doit, par conséquent, y avoir accroissement de nutrition dans cette coque osseuse, mais nous serions plutôt disposé àcroire qu'il y a dansl'accroissement de cette coque une ossification cartilagineuse. Dans l'enchondrome qui provient sous-cutané. :artilagineuse nt le passage des parties plus superficielles de l'os, nous voyons un double travail d'ossification; les lamelles osseuses longitudinales paraissent comme soulevées et s'épanouissent pour ainsi dire dans la tumeur, a partir de sa base; mais, en outre, on y trouve une multitude de centres séparés et indépendants qui rappellent tout me générali- tS indiquer ni à fait les points d'ossification de la vie fœtale. On trouve enfin tous les degrés intermédiaires entre une ossiiication bistologiqu@ment parfaite et un simple dépôt salin, une espèce de calcifrcation. re de 1 pour La substance cartilagineuse peut, comme nous l'avons vu, être déposée sous des formes différentes. Généralement assez molle dans le commencement, elle devient, par la suite, plus ferme et plus solide, ci, à présent: quoiqu'elle puisse persister à l'état gélatiniforme ou à l'état cbarnu. Mais dans la majorité des cas, le cartilage très mon dénote déjà une phase de développement rétrograde, une altération de l'enchondrome. Cette substance perd d'abord son élasticité, elle devient plus friable, plus facile à écraser, on obtient plus facilement même des lames très minces pour l'examen microscopique que la compression permet d'étaler entre deux lames de verre; déjà, à ce moment, on constate au microscope l'altération granulograisseuse des cellules du cartilage. { Le ramollissement fait des progrès, et bientôt.on trouve, au centre d'un des lobes cartilagineux, une masse molle de la consistance du miel; le même travail a lieu ensuite dans un grand nombre de ces lobules, qui, peu a peu, renferment d'abord des vacuoles, ensuite des cavités plus spacieuses, et qui finissent par être transformés en véritables kystes auxquels la paroi cartilagineuse ne constitue plus qu'une coque de quelques millimètres d'épaisseur. Nous avons trés bien pu étudier"tons les détails de cette altération dans une tumeur earlilagincuse du thorax présentée a la Société anatomique par M. l)ucluzcaux. Le nombre des espaces kystenx y était considérable, et au sommet de la tumeur existait un kyste si volumiANAT. PATnoi.. -T° HH"… a. " _:Ç'rJ. .: ‘ -‘.'5 J-. 86 ._1" @ :» ausa<-°*"‘"‘*"°"° TonuL |
