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Show ANATOMIE PATHOLOGIQUE SPÉCIALE. 1182 réserve dans .les conclusions de ce genre ' toutefois mettre une. certaine ulcèreuse de la cloison. Il faudrait . . congénitale, par cela même qu'elle comme et l'on ne serait pas en dmit de regarder la communication d'indiquer. Nous citons ici comme un fait des plus serait lisse et exempte des caractè res que nous venons remarquables des communications interventriculaires accidentelles, celui du fils de Pareut-Duchâtelet savoir - communiqué par M. Cruveilhier (l), et ofl‘rant le fait clinique caractéristique. des cas de ce genre, ‘ . . Je auparavant portante bien ' l'invasion subite des accidents graves chez une personne en apparence textuellement ce passage. Cite ! 1a . SI qll par la mère sur son état antérieur. « Voici, dit M. Cruveilhier, les renseignements qui m'ont été donnés « '. ( % ( J£ : :( : , ( A ph . , . . . … . de l'activité; il n'aimait pas a monter les » Il se livrait aux Jeux de son âge, mais il n etait pas turbulent, et avait cependant de la ga1ete, d'accidents syncopaux escaliers, mais on l'a vu souvent courir. Dix mois avant sa mort, à l'âge de huit ans. cet enfant fut pris subitement nous adniiiiistràmes le sulfate que et syncopale, pernicieusc lièvre d'une possibilité la ii crùme5 nous que persistants, et tellement graves . . . un bit dans la convalescence, son père, qui était un médecin de qninine51 fortes doses. Cet enfant se remit un peu, mais jamais complètement; faisait entendre un bruit de souffle très prononcéenfant son de des plus honorables et des plus distingués, s'apercut qucla poitrine SOI , premier temps. L'enfant conserva une anllélation facile et une disposic'était un bruit de ràpe extrèmement fort, extrêmement grave, au d € , Y gr; tion syncopale qui se manifestnient sans prodromes. un peu » Un soir il se trouva plus fatigué que de coutume, et perdit un moment connaissance; son père lui lance, suivant son usage, s'endormit Une demi-heure après il se il où lit, au mit le on sucrée: l'eau de but lui, ii bien très revint L‘enfant face. d‘eau froide a la ce n'était plus qu'un cadavre. réveilla, eut une nouvelle syncope, et mourut dans les bras de ses parents. .l'arrivai, aurait admis une plume d'oie » A l'ouverture, je trouvai une perforation de la base de la cloison interventriculaire. Cette perforation, qui ne de] 8" de prononcé. » ordinaire, présentait, à son pourtour, un tissu fibreux cicatriciel très l'e ' ‘ ' i C i est presque toujours a la base de la clmson ventriculaire, et par conséquent immédiatement au- m( dessous de la cloison interauriculaire, qu'a lieu cette communication, qui se présente sous l'aspect d'une échancrure ou demi-lune plus ou moins considérable, à concavité supérieure, et qui se moule en général co sur le bord adhérent d'une valvule sigmoïde de l'aorte. Quelquefois, au lieu d'une échancrure, cette va d'une ellipse, d'un triangle curviligue. ouverture de communication présente la forme d'un trou ovale, _ _ . da pet: Nous ne pouvons terminer ces remarques sur les communications anormales du cœur sans dire deux vai mots sur la cyanose. Pendant longtemps on l'a regardée comme intimement liée à la non-occlusion des ouvertures fœtales; aujourd'hui on est généralement revenu de cette erreur, et l'on regarde la cyanose comme un symptome d une nature bien munis spécmle, qm surment chaque f015 qu'une gêne considérable a eu lieu dans la circulation ou dans la re5piration. La cyanose est donc, comme l'hydropisie, cm A ! . . . . . . . . . . , . réduite au rôle d un Simple symptôme sans valeur pathognomomque, et ne saurait être env15agée comme une maladie particulière dans l'état actuel de la science. cai … …] ( où t01 , CHAPI'IRE Ill. co: MALADIES DE L'ENI)OCARDE ET DES V.\LVULES DU COEUR. m" ex . , . . . ' .. résultant, 501t des progres de l'âge, smtde ‘ de ] : endocarde cawta1re, des alte1at10ns Nou s allons traiter ' ' ' qu'un certain et bien ‘ ' à tracerle tableau de l'endocard1te, l ' aux- ons ensuite ' l\ous morb1des. (] uel q nes afl'ections ' ' ° ' nous exposerons cependant ' inflammatoire, . d'origine ' du coeur sment dess maladies nombre des\ valvules d' qu ' ' ' des valvules. Non-seulement ' ' "' tout- ce qu1' se rapporte aux alterahons une mani‘r et deta111ée e e s pec1ale ' \ ' large dans leur production, " - ' ' en attribuant une part extrêmement on . est allé tro p le… a-‘ lmflammahon pa . qu , t beaucoup trop grande à cette question. Il est nous mais qu ‘ on a. attache' une importance d-fi» cro yons meme b. …! ' ' ' étiu-' ‘ »" ' dans« un grand nombre de cas, quelle a éte' la veritable de demder, meme 1 mn_ d1 mile ; im p0551ble ' ' ' '-‘a quel p01nt ' y est intervenu, suit d'une o € ie_\ es ma adies des valvules, et Ju5qu un travail- phlegma51que et ' ' et la thérapeuthue ‘ outre, la pathologie ' ' etaccessmre. . En ' d ' une façon maniere secondaire ff essentie lle, SOit d qu ° pour laquelle beaucoup ' - par la solution ' valvul" de cette question, es a ections aires' sont peu influencees t d'él' . . . . r . . consequent emen 5 nous … anquent. Il est pal plus rationnel de décrire avec som et exactitude les . _ , . diverses lési ons » et de s ' abstemr - de dogmat15er et par cela même, nnparfade. prématurée, d'une manière " JdL (i) Traité d'anatomie pathologique générale, I. II, p. (189. . , . ;m‘\.æJuîfi. . 4 …,- . 00 T° d'i |