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Show l""1")" ‘2ttî s vaisseaux, très aient irrégulière. alors ordinairement des adhérences avec l'ovaire. Ce sont ces sortes de kystes qui se sont ouverts quel- quefois dans la matrice. Lorsque les trompes sont le siége de plusieurs kystes, on rencoaurc «les étrangle- ments entre chacune de ces collections. En these générale, ces kystes constituent a peine une lt‘.;alettlltt de - I‘l"1".‘.‘l '}: w. w,» [DES KYSTES. 3sition, un aspect rédominer. trois auraientété quelque importance, vu qu'il est rare que leurs dimensions deviennent assez notables pour genet- des fonctions importantes Cependant j'en ai observé qui avaient atteint les proportions de véritables hydro- pisies abdominales. Il existe un certain nombre de faits qui prouvent que la fornmtion kystruse peut avoir lieu dans les deux trompes ;) la fois. En thèse générale, l'hydropisie des trompes a fait le sujet de trop peu de recherches exactes, pour que son histoire, tant anatomique que clinique, puisse etre tracée unulo-graisseuse, aujourd'hui avec quelque certitude. … aréolaire régi]. iche; il les trouve parait tout a fait ' eaux se répandre Ilya un autre genre de kystes qui est très fréquent chez les vieilles femmes, que j'ai souvent observé concorde avec la pour mon compte, et qui a été depuis longtemps signalé par les observateurs : ce sont ces amas de petits kystes connue gélatiniformes, ovoïdes plutôt que parfaitement ronds, que l'on trouve dans les ligaments larges des vieilles femmes. Ils ne dépassent presque jamais le volume d'un petit haricot. Nous y avons trouvé un liquide tantôt séreux, tantôt gélatineux, renfermant quelques corps granuleux et des débris d'épithélium. Il résulte des belles recherches de M. Follin (1) que ces kystes ont pour siégé les débris des corps de Wolff, qui, sous forme de tubes flexueux disposés en forme de peigne, se trouvent dans l'épaisseur ttre que cette dis- :eloppement. Plus on primitive pour nd des dimensions ! ponction devient ile. Non-seulement de l'aileron moyen du ligament large, et qui y constituent l'organe de Rosenmiiller. t marche fatale de \»isie. Leur volume est connue sous le nom de nulle hydalz‘que, et qui, en réalité, n'est constituée que par une véritable hydro- pisie des villosités du chorion. En étudiant d'abord celles-ci à leurs divers degrés d'évolution, et en leur comparant ensuite des :-, leur contenu est mâles hydatiques en première voie de formation, et d'autres tout à fait développées, j'ai retrouvé dans ans des kystes très toutes les mêmes éléments, savoir : une couche extérieure transparente, presque amorphe, et une couche interne d'épithélium pavimenteux; de la sérosité y existe aussi a l'étatnormal, mais en très petite quantité. , on trouve tantôt 1scitc. Ce n'estque piide d'une couleur née et comme chaau ds kystes existent diaphragmes. C'est infiltration comme t la surface interne; ‘s kvsteuses variant J on y rencontre une ;é. Un constate une nacité, qu'il faut le e es trainées de cett de très tr rencontrer autres les unes des interne revêt la face 110 noix. Nous avons couche 1 kyste et 1 a et re…&ransparente, tout, nous me. Avant vus q que no us avons Nous devons dire deux mots enfin de cette altération particulière du placenta, qui, depuis longtemps, La dilatation dans les môles hydatiques, sur lesquelles on voit encore des vaisseaux, a lieu non seulement dans les vésicules terminales en forme de grappes, mais aussi sur les tiges qui les supportent. Ï.cur forme est tantôt sphérique, tantôt ovoïde, souvent piriforme; leur volume varie entre la \‘illosité simplement un peu élargie et celui d'un grain de raisin. Le contenu de ces vésicules est séreux et trés souvent teint en rose ou en rouge, ce qui tient tout simplement a l'imbibition de la matière colorante du sang. A" Voici maintenant un ordre de kystes qui esta la fois de la plus haute importance chirurgicale et d‘un grand intérêt pour laphysiologie pathologique. Nous voulonsparler de ceux qui prennent leur point de départ. i . s péri- dans les bourses séreuses ou synoviales, qui, à l'état normal, tirent leur origine de bourses :.auquc articulaires, et sont clos de toutes parts, ou de ces follicules synoviaux si bien décrits dans vos derniers temps par M. Gosselin (2), ou enfin des bourses synoviales tendineuses. La fréquence de ces petites tumeurs, les divers modes de traitement qui ont été proposés pour leur guérison, les«reud .… doublement intéressantes pour le praticien. Pour le pathologiste, ils offrent ce point curieux de leur formation nou- velle fréquente, due généralement 51 un frottement fréquemment répété; aussi les trouve-tam a des en- droits fixes chez un bon nombre d'ouvriers de certains états. Cette formation nouvelle Hutt- montre que des kystes autogènes constitués par une membrane fibreuse entourée de vaisseaux, revètn.- antérieurement (] eprtheltum, contenant un liquide gluant et comme synovral, en un mot, (les organes deya passablement compliqués peuvent se former de toutes pièces sousl'influence d'une action hypérémiante ira-ipuanps pro- fi-r' _ . !, . , , . ' ' I . Les bourses séreuses ou svnovrales sous-cutanées ont ete bien t‘!lttilt‘tîs, dans non continue mais lougee, i'éitnies.eu un 068 derniers temps, par plusieurs chirurgiens. Padieu, dans sa thèse, les a, le premier, tableau dans lequel il sépare celles que l'on trouve à l'état normal et celles qui sont anormale-. tc tableau '*lt‘lldc) .t.'a l "‘ "'" "'-. ' v/ . . . , ! o…i..j_c a 451€ compléte plus tard dans les traités de chirurgie de MM. l\claton et Vidal .\J,r. (. es. ce dernier auteur que nous empruntons le tableau suivant : resque abdominale ll ration (le l'ouvel‘l"re_ il 5'établll pavillon ? (l ) "(fixe sur [cs Cor/[sde Wifi/[‘. Paris, 1850, p. 35. .!) ;llrhnoiwes r/c l'!l'l‘/Itft"//t[l* (le //zé(/0(JUH‘. Paris, 1852, t. XVI, p. 367 et suiv. (ii) Villîll, "'/‘ltitfl' r/0 ,:atholoqiu celerne vf r/n 77117d1'r-ful' u/uî/wtuiwe, I4'«‘ édition. Paris, 'lS.‘…, t. jÏ"'!‘f"îfîl?' :L.i. ‘ '.‘t‘. ‘I (Ni. |