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Show ‘ fi , . ANATOMIE PA'flltlLOGlüî'li GÉNÉRALE … ant le sang a absorbé un venin qui va bientôt. s'adresser , point de changements bien appréciables, et pourt r ' ' es, du v1scer des e, cutan aire , cellul tissu du uses, muque des àla nutrition des plans fibreux, de la peau, temps le mercure en quantité suffisante, vous neutralisez système osseux. Si, au contraire, vous donnez a * « - « A " * A A"‘""‘Af\ * ""MMHÀAMN‘É‘ è _ bien remarquable, 51 vous n etes con- l'action du venm, sans le faire entierement disparaitre, et, chose venin est bien plus efficacement neutralisé sulté qu'au moment où les accidents tertiaire s se manifestent, ce ra1t a juste titre l'anatonnste qui croirait trouver par l'10dure de potassium que par le mercure. Ou blanre ,,, _ iQ,__, .. , les avons toutes etud1ees, et le caractere specrfique de la syplnhs dans les altérations palpable… bons . . érosion, ou blastème d£ blement la blastème ce du cancer ] position pri venues s'en element specrfique au microscope. nous n'avons pas trouvé d'élément spécml. Le pus n offre aucun en vertu de épithéliaux. Les ulcères Les végétations de la peau et des muqueuses ne renferment que des éléments s se composent, seules peut-être, de montrent les caractères des ulcères simples, les tumeur s gommeuse reproduit ; simple ou un travail hyperquelque élément particulier; dans l'affection (les 05, vous trouvez une ostéite l'absorptior reux dans l / v . / l ' ons consécutives aux trophique. Par conséquent, on n'a affaire, dans ces investigations, qu'à des altérati à la masse effets du principe sypliilitiqué constitutionnel, et ] a nature du venin vénérien, sa transmission , en ce sens que l'iodure de entière du sang, sa persistance dans celle-Ci, les modifications qu'il éprouve dont la déduction logique montre potassium guérit mieux ses effets tardifs que le mercure, tous ces faits, la réalité, se passent complétement à l'insu del'anatomie pathologique. Nous pourrions multiplier beaucoup ces exemples, mais cela nous éloignerait trop du sujet que nous avons à démontrer. Voici donc pourquoi nous admettons l'infection générale dans le cancer, dans sa période terminale, là où les dépôts secondaires manquent : 'l° Nous voyons le cancer conduire à la terminaison funeste aussi bien lorsque l'autcpsie ne révèle aucun cancer secondaire, que lorsque ceux-Ci existent en masse. 2" On nous objectera peut-être que cette mort peut survenir par des causes étrangères à l'infection générale, telles que les troubles fm1ctionnels considérables d'un organe indispensable à l'entretien de la vie, du cerveau, de l'estomac, du poumon; on nous objectera de plus que, dans d'autres circonstances, des pertes considérables de substance ou de sang entraînentla mort, telles que les hémorrhagies répétées dans un cancer utérin, une suppuration abondante dans un cancer du sein. Mais ces objections, nous augmente « du sang, ql N'observ d'une phlél jours anpe foyers puri remplies, (] tion de ces mériter la ‘ direct du ; formation cancéreuse tante ; mai etmultiplit avons commencé par nous les faire nous-même, et nous n'avons pas laissé échapper une seule occasion, lorsqu'un individu avait succombé aux progrès d'un cancer unique qui avait suivi sa marche naturelle, sans examiner attentivement si la mort était due a une altération locale où a une maladie intercurrente. Eli bien! nous avons rencontré un si grand nombre de cas dans lesquels il n'y avait ni suppuration suffisante, ni hémorrhagies répétées, ni troubles fonctionnels très graves qui auraient pu entraîner la mort, que nous sommes arrivé a cette conviction que le cancer tuait après une certaine durée, par une mort tion ou à ] générale et non par une affection purement locale, par l'infection de toute l'économie, et non par des troubles accidentels seuls de quelque organe important. Le cancer tue par l'impossibilité dans laquelle il met le sang d'entretenir la vie, et non par la déperdition du sang en nature ou du sang altéré par l'exsudation. Ce que nous avancons ici, nous en trouvons la preuve dans les cas mêmes d'infection matérielle, car celle-ci est souvent si insignifiante et placée dans des parties si peu importantes, que réellement elle n'est pas capable de rendre compte de la mort. La réaction svmptomatologique du cancer secondaire, même ment appr organes. b comparati grave, est souvent si peu patente, que quelle que soit l'attention qu'on ait mise à étudier le malade pendant la vie, on constate souvent, a l'autopsie, des dépôts secondaires dans des organes où l'on ne se sera1tpas attendu à en trouver. Prenez ensuite deux cadavres d'individus qui, l'un et l'autre, auront succombe ann cancer non troublé dans sa marche naturelle, l'un offrant un cancer unique, l'autre de nombreux depots secondaires, et certainement vous ne trouverez pas une grande différence dans les deux il donne li corps, quant a la décoloration, a l'émaciation, a l'atrophie des tissus et à l'appauvrissement du sang. En un mot, pour nous, le cancer tend à conduire à l'infection, et c'est à l'infection plus qu'au mal longée, ou au point q ment? Voi servir la 11 Après c. L'utéru: de cas d'in on confom cancer. Le \'Oque des les maladt le cancer sans que lt sans que, l'irradiatit local qu'est due la fin funeste. Vessie, dat ‘ N…: avonsacr une autre question a débattre, c'est d'indiquer de quelle façon nous nous rendons les poumo compte du mccamsme et de l'action de cette infection. Malheureusement nous nous trouvons ici de nouveau sur un terrain où la démonstration et les preuves directes nous manquent. Nous avons v que le cancer, dans sa propagation locale et irradiante, pouvait entrer directement par L L u . ' " î ' . 085 cas, ] ñprès tout . des afl‘eeti ANAT |