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La mort a toujours été immédiate lorsque la rupture avait lieu hors du péricarde; lorsque celle-ci loppement. s'était efl'ectuée dans le péricarde au moyen d'une petite déchirure, la mortaété plus tardive, 1 fois après l:\'1"Ï\"L"‘.; mptomatologie a ,. .‘-.-"1‘ où il n'y en a que 12 rapportés avec quelque détail. La rupture s'est trouvée 19 fois chez des hommes A ,_ A [\ ;énéral, ces ané- [\ 5‘2'J \..y. il.- MALADIES DES VAlSSEAUX SANGUINS ET LYMPHATIQUES. . 1 fois après un repas copieux, 7 fois après un subit et violent efîort, et 7 fois après une violence exté- vingt-quatre heures, 1 autre fois après quarante-cinq heures, 1 fois après quatorze jours, et, dans les autres cas, entre un quart d'heure et plusieurs heures; et comme ces malades s'étaient un peu remis après les premiers accidents et avant la mort, il est possible que la rupture se soit faite en plusieurs fois. e premier travail ins important et 5 V. - llu rétrécissmncut (les artères. missences sur ce Nous avons déjà parlé des rétrécissements des artères par suite du progrès de l'athérome. Parmi ceux ar M. Leudet (3). qui reconnaissent une autre cause, le plus intéressant est celui qui a lieu dansl'aorte, au niveau du canal ec amincissement tiS€ des tuniques ne est, la plupart artériel, et qui, ordinairement, est congénital; les cas de ce genre se comptent dans la science. Dans le peuvent encore siège est ordinairement l'endroit de l'embouchure même du canal artériel, quelquefois un peu plus cas le sang peut rurale du cheval. haut, d'autres fois plus bas. Le degré du rétrécissement varie entre un demi et un centimètre de largeur, qui reste pour le passage du sang; l'artère n'offre plus guère alors que les deux cinquièmes de sa largeur peu près dans les normale, quelquefois même moins. Dans quelques cas, le rétrécissement approche de l'oblitération rs rarement dans presque complète; le plus souvent il est circulaire, d'autres fois il n'occupe qu'une partie de sa circon- art ou la moitié, férence; il peut être irrégulier, plissé et rugueux. La longueur du rétrécissement dépasse rarement s de la longueur, quelques millimètres ou un centimètre; au-devant du rétrécissement, l'aorte est ordinairement dilatée; nt ordinairement dans quelques cas, le conduit artériel était resté béaut. Au delà de la partie rétrécie, l'aorte offre une ur est ordinairele, plus rarement diminution de calibre, quelquefois elle reste normale, et même dans une de mes observations, elle était dilatée, fait des plus curieux. Fréquemment ici on rencontre l'altération athéromateuse. Le plus souvent tent et l'apoplexie €. Comme l'ané1u'après l'âge de travail que j'ai publié à ce sujet dans le quatrième volume des Archires de Virchow, j'en ai analysé 18 cas; Bokitansky, dans son ouvrage récent sur les maladies des artères, porte leur nombre à 26. Leur les tuniques artérielles sont épaissies au-devant; cependant je les ai trouvées une fois amincies. Dans la plupart des cas, le cœur était hypertrophié et dilaté, surtout dans le ventricule gauche, avec altération variable des orifices et traces de péricardite. Dans un cas, il y avait un abcès près de l'origine de l'aorte; . de GOUpil. ‘t"i ansky décrit deux de la déchirure à sujet est celui de ? M. Destouches à de 29taus ma" les artères etles sous-clavières qui en sont le siège, et de nombreuses anastomoses s'établissent soit entre e maunnair la sous-clavières, soit entre les iliaqueS- Les artères que l'on trouve surtout dilatées sont se du cou et la interne avec l'épigastrique supérieure, la thyroïdienue inférieure avec l'artère transver intercostales et l'épigas- première intercostale, puis, au-dessous du point rétréci de l'aorte, les artères un aspect Heureux, trique inférieure. Les artères dilatées sont ordinairement hypertrophiées et présentent ement lorsque aussi peut-on les sentir battre superficiellernent. Cette circulation collatérale s' établit égal ssion au moyen le rétrécissement est causé par des obstructions au moyen de caillots ou par la CO…l"'€ de tumeurs. mps l'équilibre ; Dans le rétrécissement congénital, la circulation collaté rale maintient pendant longte cependant, Peu à Peu, on voit se développer les signes d'une maladie organ"lue du cœur, _ surtout avec ' \: altération de l'orifice aortique. Les battements des artères supérieures du …"l‘5 50… " une g'dnde ' . , . , . ‘, . ‘ ' ) tales se voient et se sentent, et souvent incominodes pour les malades; ceux des dl tetes intc rcos lntensrte - , . .: '; ‘ ' " _ _ ' "'em que le: b‘……'e"'s de 13") """" que ceux des artères superficielles du thorax et de l'abdomen, tandis ann. PATROL. * 15" mrc. à ttes dans la région iprès Peacok. La que de quelques colla- Un des faits les plus remarquables dans ces rétrécissements, est l'établissement d'une circulation brachio-céplmliques térale qui tend à annuler les efi'ets fâcheux de la sténose. (le sont surtout les troncs - A" :' , \» . .:- t ;:r..: "FJ?! dyspnée subite et R'»? '-\àf5 ARÂAÂAnA.A‘Ü la rupture du cœur avait eu lieu 4 fois sur 18 cas, et 6 fois sur les 26 de Rokitansky. |