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Show s plusieurs années déjà, d'u ne et qui s'est considérablemem La glande thyroïde est hypertrophiée et renferme plusieurs kystes gélatine ux. Le péricarde contient environ aude quantité. Pendant (… 120 grammes d'un liquide citrin. Le cœur est normal et renferme, surtout a droite, des eaillots fibrineux is cinq jours l'oppression est ivision, à l'hôpital de Zuri ch, e, mais nous sommes frappé e ses veines jugulaires. L'oppouls est petit, serré, à 121. e et dont les espaces inter- droite et de la dans toutela et : dans tout le reste elle est it fait vomir six fois et aller êment. Toutefois, pendant la ves au-dessous du mamelon 10 en avant et en arrière, tiques qui entourentla veine porte sont très développée s et atteignent jusqu'au volume d'une noix; ou y trouve des tubercules crétacés. Ce mé me développement anormal avec d'anciens tubercules se trouve dans les glandes mésentériques et lombaires; rien d'anormal dans le tube digestif. Le foie est abaissé et plus volumineux qu'à l'état normal: il a 30 centimètres de largeur, ZI de hauteur à droite, 17 à gauche, et 8 centimètres dans sa plus grande épaisseur. La surface présente par places une vive injection, elle est décolorée dans d'autres; même état dans son intérieur. La vésicule du fie], pointue à son extrémité inférieure, offre un épaississement de sa tunique externe; la bile est d'unjaune foncé. La rate est molle, marbrée, et montre des granulations grisâtres, bien développées; elle a M centimètres de longueur sur 9 de largeur et 3 d'épaisseur. La dure-mère est très adhérente au crâne, le cerveau est congestionné, la glande pituitaire est deux fois plus grosse qu'à l'état normal, et le reste du cerveau est tout a fait normal. ion va en augmentant, le son droit, à partir du mamelon Si nous cherchons à nous rendre compte de la cause de cette perforation pulmonaire, il nous paraît probable que la pleurésie récente et aiguë a été pour quelque chose dans son développement, et peut- être l'action du vomitif n'a-belle pas été étrangère {'t la production de la rupture, qui était toute pré- parée par l'amincissement du tissu pulmonaire; celui-ci était a peu près résorbé par places jusqu'à la surface de la plèvre, dont la consistance était tout naturellement très diminuée par le travail inflamma- n mat. L'oppression devient toire et la macération dans un liquide séro-purulent; il est en effet très probable qu'ici la pleurésie a été e, très accéléré, et le malade antérieure au pneumothorax, car le malade a été alité par suite d'une affection fébrile et de douleurs de 5 flc‘ÿï‘c's. - Putréfaetion peu côté depuis cinq jours, tandis que le pneumothorax ne s'est déclaré que soixante heures avant la mort, d'une manière subite, avec douleurs vives et oppression extrême. les espaces intercostaux dis- Un fait qui est digne de toute l'attention des pathologistes est l'aifaissement de tout un côté du thorax, ant, et en ouvrant le thorax, mêlé de flocons et entouré de eur fétide, ressemblantà celle tri-ci est tellement revenu sur lorsque la dilatation des bronches a produit l'affaissement du poumon correspondant. Toutefois, comme dans ces circonstances nous avons trouvé la plèvre très épaissie, on peut se demander quelle a été la part de la pleurésie dans ce retrait thoracique. che supérieur est à peu près Le tissu pulmonaire de la altérations, telles que des maladies cancéreuses, la dégénération graisseuse du cœur, d'autres affections organiques de cet organe, etc. Toutefois ces lésions ne nous ont pas paru offrir de rapport direct avec elle. La dilatation des bronches offre peu de différences par rapport au sexe. Sur 27 cas, il y avait .ussi du tintement métallique, distension du côté droit a érieur. Absence de tubercules de et le l'existence d'une gran 'e, ir du larynx et de la traehe ! liquide nmco-purulent.Lcs matfi rormal (] ans leur calibre, cylindrique, 5011 elles cependant l'une d'ent. re une manièr e d'un hes dilatées est épaissre,. je part il n' y a d'utcératrons :y.» :Y" 'Y"}_' 'uY ‘ " ‘ -z. volumineux mêlés d'une gelée noirâtre. L'aorte parait proportionnellem ent étroite. Les glandes lympha- " "‘…t , "* ‘-f*î" aaA AaaeA* , Dans les autopsies de malades atteints de dilatation des bronches, nous avons trouvé aussi d'autres 12 hommes et 15 femmes. Quant à l'influence de l'âge, voici ce que l'observation nous a appris. Elle n'est pas très rare pendant l'enfance : elle a existé d'après nos relevés 4 fois avant 10 ans; tandis qu'elle n'a existé que 10 fois entre 10 et 55 ans, mais 10 fois aussi dans l'espace bien meurs long de on a 80 ans. Nous sommes frappé de la corrélation qu'on trouve ici entre la fréquence proper"onnellement plus grande de la dilatation des bronches pendant l'enfance et pendant la vieillesse, comme cest le cas pour la broncho-pneumonie. Voici, du reste, le tableau de nos 2" cas ' qui, dans une aude caverne: ann. mrnon. - 18° mvn. , 1 (. ,.:4. ..Y.,- monarre et le pneu mothorax "Y" _ l' .' bien la possibil ité du passau ' en av l r et at de gangrène. D ns la cavité thor acique, a la ,. psie n'ayant affection, n ous ne pourro ns ararantns nes anoncnus. 6'35 bonne partie de son étendue, atte int presque la surface de la plè\i‘e, ne renferme point de liquide, et à sa surface postérieure et supérie are se trouve une perf oration arrondie d'environ 3 millimètres de largeur. Le tissu P ulmonaire a ……"' de ces cavernes est condensé , ne montrant presque plus ni' vesrcu ' ' les ni' petites bronches. Le poumon gauche est de volume normal , il renferme une multitude de petites places d'un brun noirâtre, du volume d'un grain de chenevis, qui paraissent correspondre à d'anciens petits épanchem0nts apoplectiques ; son tissu, du reste, est partout crépitant. Le lobe inférieur est couvert d'une exsudat10n pseudo-membraneuse récente , qui cependant commence déjà à se vasculariser. Les glandes bronchrques sont très dilatées, et plusieurs d'entre elles renferment des tubercules crétacés. «\,-A dans Aññaflfimfinf vat‘ ion de M, Spengler, . 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