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Show t€Ü]€ÜtS considérables, mment, dans les pleu- & quantité varie entre irement d'une couleur 5 un tube, on observe =5dupuS-Quunœns rme que l'on a décrite )nsidérable. Parfois ce la fibrine qu'après sa ne jument par Massot, a jours, a donné lieuà :st déposé un nouveau. . L'exsudation, dans le aps un nombre plus ou purulente et purulente pyoïdes. Bien souvent Jrésie survient dans le ancéreuse avancée, etc. résorbée que le liquide par la résorption, une n tout à fait concret; et il ne reste en dernent, ou même il reste la liquide pleurétique composer ‘ .de deux. os, dont l'un, de formation nouvelle ,aétésu ersos'*àl ' ' ' ' voit tres bien la limite entre l'os ancien et l'os nouveau. Ce tissu oîsei1x ilouvîaîuïïîaîît‘ftaïéï " 0" tantôt plus dense; on peut y distinguer quelquefois plusieurs couches superposées. L'os ancienanaeti contraire, paraît raréfié et plus vasculaire; le périoste, épaissi. est très adhérent; la plèvre corres 'on- dante est couverte de pseudo-membranes en voie de transformation inodulaire: le thorax est rétracîé et d6formé' Dans le qualr'e'"e d3gl‘é, la fusion est devenue 05 (] complète; la côte est devenue prismatMue, et des couches superposées ne forment plus qu'un seul ans lequel les limites entre le tissu ancien et la formation nouvelle s'efface… de plus , en plus , pour ne former qu'un seul os prismatique, plus volumineux, ff o rant ‘une surface couverte de reseaux osseux, trouée, que j'ai décrite, dans mes notes, comme madré- pore'g, 3 Causeyde sa ressemblance avec certains pOUpiers. Du reste, cet état n'est pas toujours en rapport avec lantensfle de l'inflammation ni avec sa durée. Je l'ai vu manquer dans des pleuré5ieg très anc1ennes, et je l'ai trouvé très développé, au contraire, dans des pleurésies qui ne dataient que de deux à trors mois. Dans ce cas j'ai trouvé aussi les muscles intercostaux en voie de transformation fibreuse ou même graisseuse, tandis que, dans la pleurésie ordinaire aiguë, j'ai trouvé plusieurs fois les muscles, et même le tissu cellulaire extérieur aux muscles intercostaux et sous-cutanés, injectés et infiltrés d'une exsudation séreuse. Il est intéressant d'étudier ainsi les divers modes de propagation de la pleurésie, qui, d'un côté, ne se transmet presque jamais d'une manière profonde et étendue aux poumons, tandis qu'au contraire elle tend à se propager aux côtes et au tissu cellulaire externe, de même qu'à son tour la pleurésie peut naître d'une inflammation propagée à la suite d'opérations pra- tiquées sur le sein et à l'aisselle, fait qui a été mis hors de toute contestation par les belles recherches de M. Broca (l). La transformation ultérieure des fausses membranes, dans la pleurésie chronique, a de l'intérêt non- seulement par elle-même, mais aussi par la déformation du thorax qu‘elle entraîne. Nous avons déjà parlé de l'épaississement fibreux et de l'aspect presque cartilagineux des résidus pleurétiques. Ordinai- rement cet état survient à la surface des poumons; il peut aussi avoir lieu dans les fausses membranes adhérentes à la plèvre costale, mais dans celles-ci la contraction cicatricielle et inodulaire est beaucoup plus prononcée, et l'on voit des brides saillantes, de véritables arêtes ordinairement obliques ou transversales, quelquefois presque verticales. d'une grande densité. Ce sont surtout ces condensations toutà avec contraction inodulaire des tissus qui déforment les côtes, point sur lequel nous reviendrons pleu- l'heure. Nous avons observé plusieurs fois une altération fort remarquable des fausses membranes depuis plusieurs mois. La rétiques, surtout chez des tuberculeux chez lesquels la maladie avait persisté plèvre costale, était devenue charnue, fausse membrane, qui était devenue intimement adhérente à la plis saillants, irréguliers, parcourus tl‘abéCulaire, d'un rouge grisâtre ou violacé, avec de nombreux enflammée et très de vaisseaux multipliés, et ressemblant à la membrane muqueuse chroniquement trabéculaire ou le épaissie de l'estomac ou du gro s intestin. Lorsqu'on rencontre cette transformation '.t ssu cellulaire à forme èvre avec le cartilage, vu qu'il n'y a ni une eut un épaississemeut blancheur lactesceute 699 nmation occupe surtout ioste est injecté, rouge» ueux; la partie corres)ns osseuses. Au second à , demi-osseuse, facile réseau, elle est passaogue au substance anal estionnée. Au très cong couve rte : de la côte est t les espaces intercostaux, retrait cicatriciel avec brides et cordes fibr euses qui, souvent, longen t nombre et très étendues, dans leur substance. des plaques ossiformes irrégulières, disséminées ou en peti de lamelles dures entre lesquelles Ces conerétions sont compactes, plus ou moins épaisses ou comp osées ces masses, existe bien en quantit é notable dans on trouve une bouil lie crétacée. Le phosphate calcaire . Dans un aucune sans structure esse use mais jamais je n'y ai vu autre 0 hose que des concrétions calcaires mation yse un certain nombre de cas de transfor bon travail sur l'ossification de la plèvre, Bosselt (2) anal e on douz fers a Sur 27 cas, il a trouvé l'altérati , . crétacée et ostéoïde des fausses membranes pleurales. seulement. Jar femmes 4 et hommes 30 eu a droite et quinze fois à gauche; sur 34 malades il y d une ostéoïd e, une quantité assez constderable et rencontré une fois, outre l'aspect cartilaginiforme en détails de structure, je m'en vais et comme ce fait renferme quelques matière gélatineuse rougeâtre, rapporter un court résumé. | '] , ô pl'tal de la Pitié d es tables d'autopsie de l'amphithéâtre de une sur vai trou je 3, 184 Le 6 janvier (1) Archives de médecine, h° série, t. XXII, p. 385, (2) De pleuræ ossificatz‘one. Heidelberg, 1832. «-,Ant_"::_A on trouve périoste costal, tout en cellulaire sous-pleuraiëté bien décrite surtout l-, ! encore des vaisse aux MALADIES DE LA PLÊVRE. par une production osseuse nouvelle, blanche et comp acte, et sur les coupes la côte a l'air de se NS «ÂRAAA.n._,, idhérences qui sont la apparence de rése aux, multiples, tantôt de 5 compartiments. Ces |