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Show ERALE. ANATOMIE l'.\THOLOGIQUE GEN L'at dans 1‘ CHAPITRE iv. …,"… lil-‘. l.".\'l‘ltttl'llllî. et …" , l'hypertrophie avant celle de latroph1e, Il aurait été plus rationnel, sans doute, de placer l'étude de qu'un grand nombre de produ1ts ac01dentels, mais nos travaux des dernières années nous ayant appris réell0 …aqu pl‘0l'0‘. glandula1res, nous parlerons plus classés parmi les tumeurs, n'étaient autre chose que des hypertrophies rationi etabltnam51 le passage tard de l'hypertrophie, après avoir exposé nes doctrines sur l'atrophie, pour reconnaissent une autre naturel entre les produits aeeitlentels simplement hypertl‘0phlques et ceux q… _ , … ' , origine. dans le jusqu'a par latroph1e L'atroplii0 pathologique se retrouve, avec la plupart de ses types, representee deja l'alr0ph pendant la Vie toetale et pen- physiologique que nous observons surtout aux deux termes de l'existence, de certaines voies circulat01res du dant la vieillesse. Sans compter l'atmphie qui résulte de l'oblitération ainsi que les corps de Wolff dis- fœtus, nous voyons des organes entiers subir la même altération. C'est absorbée sans laisser de vestige; paraissent sans presque laisser de traces; la membrane pupillaire est déyelOp colorali Cependt quel'lly encore au moment de la les capsules surrénales sont considérablement réduites; le thymus, volumineux foncée£ Quant à l'atrophie naissance, s'atrophie de plus en plus, pour disparaître aussi à peu près complétement. sur le testicule, et bien plus sénile, nous la voyons avant tout porter sur les organes de la génération, ontcess anales diminuent notablement de encore sur la glande mammaire; la matrice, les ovaires, les corps caverneux bpeujpä sont périodiques, ces volume avec l'âge. Chez les animaux, chez lesquels les fonctions de la génération les époques du rut. organes subissent une espèce d'atrophie périodique dans les intervalles qui séparent à une espèce La chute des cheveux et leur couleur grise chez les vieillards sont, l'une et l'autre, dues des nerfs. Les d'atrophie. La diminution des forces tient, en bonne partie, à l'atrophie des muscles et de muscles du mouvement volontaire, ainsi que la substance charnue du cœur, s'infiltrent volontiers toutefois le graisse, ou même temps que les valvules du coeur et les membranes des artères s'incrustent; cœur ne diminue pas de volume par les progrès de l'âge. Les os deviennent plus légers, plus fragiles, la s'aplatis- colonne vertébrale même diminue de longueur, les angles saillants s'arrondissent, les condyles u… gril Nous essentie mentde pourno de tenir Les et appar "mug… les nerfs des vieillards sent, certaines cavités glénoïdes deviennent plus spacieuses. D'après Lobstein (l), elœdén Des corps mêmes sont plus secs, état marqué surtout dans les vaisseaux du grand nerf sympathique. Lesc amyloïdesbfÏrant des réactions chimiques semblables à la cellulose végétale se développent dans le tissu tion des d'après connectif des nerfs. Si nous jetons un coup d'œil sur les organes internes, nous trouvons, Desmoulins, que la substance cérébrale a diminué de ‘l/"l5° à 1,20" par rapport au volume de l'âge exempt moyen. Non-seulement les poumons diminuent de poids, mais les rameaux bronchiques deviennent plus minces, ainsi que les vésicules pulmonaires, en même temps que leur cavité s'agrandit; une partie des cellule type d, éléments du poumon disparait complétement, et une autre subitbne espèce d'altération libreuse avec diminution de la vascularité. La rate diminue de volume, les glandes lymphatiques diminuent ou dispa- raissent, les muscles de la vie organique subissent également une espèce d'amincissement. Dès à présent nous pouvons mettre en parallèle avec cette atrophie, dont le principal caractère est une diminution de un état de cha]. volume, cette autre forme sur laquelle M. Paget (2) a insisté, savoir: l'atrophie avec développement Au cl considérable des éléments graisseux. L'augmentation apparente du volume, dans ces cas , ne fait que masquer une diminution des plus marquées de la nutrition. L'atrophie consiste, avant tout, en une diminution des parties constituantes et essentielles d'un tissu ou d'un organe. On peut l'expliquer, ou par une diminution de l'assimilation, ou par une augmentation C0ï15équ m0tion, de l'absorption. Cette définition n'exclut pas l'augmentation de volume par suite de l'altération graisseuse, Organes ni celle par le dépôt d'un produit accidentel, car, dans ces cas, les éléments essentiels sont également absorbés pour faire place aux produits nouveaux. l<'ülr ""lÏUS ( laires . histolog les trou l‘ÉCente5 l€S loue ma…t‘t‘t ill T'"""'-' d""…0miûpul/mlogiqm. l'aii5. 1829, t. I, p. 70. (2) Lectures en nuh'z‘tiuu, lig/p0)‘h'(rphg (uzd {drop/11] (London medical Un:ctle, 18H). il) Paz! AN .; _æ'- g. -. 4 " v't so-va ' " 4.‘J uç-1, " ‘ ' ' … .,., ...... .. 1 . 4 .1 v' . _14u «çu_l- +.-J_\-4d :+_\941_\q+u_:M*d-C}‘quÀ!4-u\!*lt,u?',1\{+ ., _ts+u,u+u,g*u- , 4 4 |