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Show , , QUE GENERALE. ANATOMIE PATHOLOGI 611 l, lorsque . , ' ti tuantes se sont séparees. En genéra homogene, et la seconde, celle où ses diverses parties cons ptemcnt résorbé, il se forme tout _ " le produit d'une hémorrhagie est placé de faç on à ne pas être prom a la formation autour du caillot un état hypérémique, une 0011 densation des tissus qui peut aller jusqu mais lentement. Dans l'hémorrhagie qui , < _ _ __ _r_ ) . ‘lOI‘5 570 él‘ er encore, d un pseudo kyste. La résorption peut & P kystes de la mamelle ou de la glande thyroïde, « ‘ ' ' ainsi que dans certaines liéiiior'rliagies qui s'entoutent d un kyste, e e utérines on trouve le sang é anché à l'état de pulp e 8\'( pêll l'€( ne le" hémorrha0ies ré…) t |] se fait dans les cavités closes accidentelles, telles que les 001 S ( 1 ' _ s 's 1_ ° . homogene, d une consrstance pon seise, Slrupeuse , (1 un r " ord inairement de couleur de chocolat, U p . de ces epanchemenls ou plus ,dense encore. La coloration C°t . . ‘ consistance d' une1 ce 0b l'ce . 1 muqueuse rouge brun: on dirait que les substances fibro-albummeuses ont pris la ly montre d'autres eléments que des g 0 n es sangums en restant mêlées aux globules. Le microscope n _ la matière colorante s'est réunie complétement décolorés, dont les membranes seules restent, t andis que en globulins dont les agminations s'entourent de membranes et constituent C e que j'appelle des globules hématiques. et alors on observe des Mais, le plus souvent, le sang épanché ne conserve p0i nt cette homogénéité, . . . croscopique. changements assez variés de consistance, de coloration et de compostllon ml " La coagulation des parties fibro-albumineuses ayant heu de bonne heure, les glf'b"195î avec la matiere colorante, peuvent se liquéfier et être seuls résorbés. Il reste alors un résrdu fibr1neux jaunatre, n ayant presque plus la coloration hématique et affectant des formes diverses, su1v ant l'endroit où a lieu le travail et plus amorphe de résorption, la forme membraneuse dans les cavités séreuses, un aspect plus compacte ' . dans les organes parenchymateux. Ce résidu fibrineux coagulé peut encore ultérieurement seramOlllr, 59 liquélier et être résorbé. S'il ne subit pas ce travail, il survient, avec le temps, une séparation entre les éléments gras, les sels et la matière spontanément coagulable; cette dernière peut constituer une coque bu] librineuse, coriace, comme cela s'ohserve dans certaines hémorrhagies anciennes et traumatiqu85 à la gra surface interne du crâne et de la dure-mère. Cette coque coriace elle-même peut ëineruster de résidus salins , le contenu de ces amas se compose de grumeaux et de concrétions sablonneuses ou plus com- pacles, et au microscope on y reconnaît beaucoup de grumeaux amorphes, de granules et de vésicules de graisse, et une quantité considérable de cristaux cholestériqucs. Tous ces éléments peuvent former un magma diffus, lorsque l'hémorrhagie a eu lieu dans le parenchyme d'un organe. On rencontre très souvent cette dernière forme de résidu hémorrhagique dans les tumeurs cancéreuses. Les changements les plus intéressants du sang épanché sont ceux qu'il subit dans ses globules, dans sa matière colorante et dans les caillots qui comprennent la plupart des éléments de ce liquide, sans sépa- ration préalable dela fibrine. _ Les changements qui frappent le plus pour ces caillots, dans lesquels tous les éléments sanguins sont englobés comme dans une espèce de pulpe, sont ceux de la coloration. A l'état frais, celle-ci est d'un rouge foncé tirant sur le brun, ou d'un rouge-cerise, ou d'un rouge bleuâtre violacé. Cette teinte peut devenir plus foncée encore et être presque noire, état qui constitue ce que nous appelons la PSEUdÛ' mélanose; ce changement est à peu près constant dans les hémorrhagies qui ont lieu dans l'estomac et les intestins, dont les sécrétions acides sont probablement la cause de cette coloration foncée. Elle s'ob- serve également, quoique plus rarement, dans le cerveau, ainsi que dans les corps jaunes de l'ovaire; nous l'avons rencontrée presque constamment dans ceux de la jument. Nous avons aussi trouvé la pseudo- mélanose dans les épanchements sanguins superficiels sous-cutanés et dans ceux de plusieurs tumeurs eancéreuses d'une consistance molle et d'une vascularité abondante. Le changement le plus fréquent de couleur est celui qui consiste en une teinte jaune. Le rouge f0"0é devient alors d'un rouge vif couleur de cinabre, pour passer peu à peu au jaune d'oct'e, au jaune orange et au . jaune plus pâle encore; cej anne cependant a toujours une teinte rougeâtre et n'atteint pas la dé°°' loratton jaune-paille, que l'on observe plutô tdans les r ésidus fibrineux. La consistance ne subit pas de modifie attons moins nombreuses. L'épanchement sanguin récent, dans lequel tous les ,.élé ments sont englobés, offre l'aspect et l'élasticité molle de la gelée de groseille; h΀nlÔt cette homog . énéité disparaît, le caillot dev tent plus pulp eux, plus consrstants. Ce n'est que be aucoup : .;4 . ": «w-uuî‘… i‘.: a ._ . y-, …. 4 .i.._ . .. .14 < . A-'hl\14-)v._.u]i_. «; ":' '4, . >>». . … .._._,. 4 …, +J_--4.J,u44u+u «.. u,\g@-f\-r-feaç5>{#'4.l94-d=lx 4.qu+ ….4 a »A-. plus mon, tenant en suspension des €…meaux plus tard que les éléments salins peuvent constituer de véritables GUI dat 0nn est |