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Show . v……4...,v-..p »… " MALADIES DES VAISSEAl"X SANGUINS ET LY)ll'lli\TlQUlüS. , les frictions . Des frictions utérieur étant )tre.thérapeu- 5/13 qu'une dilatation des veines d'une ou de plusieurs parties du corps puisse tenir à une disposition générale, sans cause mécanique quelconque, que l'on peutchercher (] ans une nutrition altérée du systéme _ ; 7 r - veineux, etat que lon désignait autre f015 sous le nom de treiit05ilé. C'est ainsi que nous trouvons, en . ' _ _ _ \ r . . examinant de ces veines malades, les eléments counect1fs, élastique s et musculaires troublés dans leur plications qui nutrition, non-seulement chez un individu, mais même par disposition héréditaire, dans toute une famille dontquelques membres sont atteints de préférence de var ices des membres inférieurs, tandis que d'autres ns reproduire en présentent sur le trajet du cordon spermatique, et d'autres encore dans les veines liéniorrhoïdales. dirons ensuite J'ai vu même ces divers états coïncider chez le même individu. Une des preuves que, dans la majorité des cas, les varices même des membres tiennent plutôt à une cause générale qu'à un état purement :elle que nous ans la conva- local, est le fait qui résulte des recherches sur le traitement des varices des membres par les caustiques, généralement abandonné aujourd'hui, quoique les veines sur le trajet desquelles on les applique soient i, 3° celle par souvent oblitérée$; mais ordinairement le mal s'est ensuite développé sur d'autres veines qui présen- saignée, celle ; les vaisseaux taient bientôt de nouvelles varices plus étendues et plus nombreuses, en sorte que les malades n'y ont rien gagné. Le même reproche s'adresse a touteles cures dites radicales des varices. ordinairement : la grossesse; La dilatation des veines des membres, auxquelles on donne de préférence le nom de varices, com- mence par une dilatation cylindrique, et, à ce moment, les parois sont plutôt un peu hypertrophiées; anatique. Les ; ou diphthé- bientôt la dilatation s'accompagne d'allongement, ce qui produit l'aspect tortueux et serpentant des rs est maran- s'atrophier d'abord partiellement, en produisant des dilatations latérales qui occupent la circonférence it encore être Îaisant sur les tout entière ou en partie seulement, qui se multiplient de plus en plus, et finalement les paquets de veines ainsi altérées peuvent constituer des amas multiloculaires. Toutefois on rencontre encore des enfin, peuvent parties épaissies a côté de beaucoup d'autres qui sont amincies. C'est a l'atrophie croissante, enfin, que varices des membres. Les veines ainsi distendues s'amincissent , et leurs parois commencent par sont dues la rupture des varices et les hémorrhagies qui en sont la conséquence, hémorrhagies qui ne es; le volume sont qu'exceptionnellement graves par leur abondance, parce que le plus souvent elles n'évacuentqu'une l'obstruction certaine quantité d'un sang presque stagnant. Aussi cette stagnation produit-elle souvent des coagula- r celles dans tions. On observe quelquefois des pl‘ilébulithé5 dans les varices. Le tissu cellulaire ambiant peut s'épaissir, s'indurer, un travail ulcèreux peut s'établir sur un ou plusieurs points de la peau, et se transformer en aisément, et eau, œil, rate, nous, cerveau. et des ligaments de la matrice, où les veines dilatées deviennent volontiers le siège de phlébolitlies; et enfin les varices de la région inguinale, qui peuvent simuler des hernies. Quant aux plilél)0lithes, je me suis déjà expliqué, dans la partie générale de cet ouvrage, sur leur mode de formation, quej'attnbue bien plutôt à une excroissance de la membrane interne ou du tissu sous-jacent, qui se forme par couches concentriques, se pédiculise et se détache ensuite, et je ne crois pas a leur origine comme une snnple écevForganeâ- forme de caillots. ësie, affections Cœur, rate); dont nous L'espèce de varices de beaucoup la plus importante a connaitre, ce sont les liéiimi‘rlioïdes, malades; allons parler avec plus de détail. Ce mal a de tout temps attiré l'attention des médecins et des souvent ces derniers s'estimaient heureux de les avoir, et croyant qu'il y avait la iii i grand bénéfice de_ reulation, par idiés du Cœur, inférieurs, l‘a" que les lois de l pas douteux d'autres maladies. On croyait. nature, ils s'en vantaient plutôt au lieu de le dissimuler, comme pour tant ' « ,,, . , ' ' m «du), mais leur utilité tellement grande, qu'on leur av ait donné le nom populaire de corne d or (goldc ] , _ ‘ , . , les , malades. , . « Loisqu … ' en ; i 0)ssrve un [)a '- c po… que medecms les pour plutôt bien été l'a elle cas tout en - , r " , -‘ .. 'on ( ] ne t ! ] ‘beau- t1alement un certain nombre de sujets atteints d liéiiiOi‘i'hOides, ou …une a cette conv1ct1 , , ', :ai'tue es Coup de malades qui, au commencement, semblent heureux de les aveu, Ul €P…"‘e… l'…" t R‘fiûñ _ -°*AÂÂ is la substance Q,<‘c ,.v» lmonaire, par «,. A_,<-KÂALS en un certain embolie sont : AA Zurich, de l'estomac, de la pro.-tate, du col de la vessie, où elles soutrares cependant; celles des ovaires provoquer des sta-assÂA euse, carotide _‘e coronaire; cheux que la 4._,XÂÂA8 l'.'ï ulcères très rebelles, La description plus détaillée de ces sortes de varices est, du reste, du domaine de la chirurgie. . La dilatation des veines du cordon spermatique est connue sous le nom de t:aricocêle. On l'observe plus souvent du côté gauche que du côté droit, et de préférence à partir de la puberté, dans la premiére moitié de la vie. Quoique cette dilatation puisse aller très loin, devenir fort incommode pour le malade, altérer même la nutrition du testicule correspondant, ces altérations offrent cependant bien moins d'intérêt sous le rapport anatomique que sous celui de la partie chirurgicale. Nous mentionnons comme des varices plus rares celles de la langue, de l'œsophage, dont j'ai observé un exemple remarquable à |