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Show ""' ""'" ‘l-V"l-+-.n MALADIES DU COEUR. =yr.+-w..… V.-‘.,\v" . _(4.r_+_. _ htt7 iufles d'un cœpr moitié plus grand qu'a l'état normal, ou doublé, ou triplé même de volume; ils indiquent t aussi de combien lorganedépasse les dimensions approximatives du poing de l'individu, et lorsque le coeur 651 très volumineux, 115 le comparent il CB]… de QuelCIue animal Plus grand que l'homme. C'est ainSi que ets des les termes de cœur de beau/(cor bovzmrm ou laurinum) sont devenus populaires dans le langage médical. *er des On ne pouvait guere s'exprimer avec plus de précision, puisqu'on manquait d'un coeur étalon. C'est ici cavités c dila- que nous pouvons retirer tout le bénéfice des notions plus précises de la science moderne, et surtout des e avec l'exactitude au moins approximative de ces recherches, pour ainsi dire auatomo-phvsiologiques; mais 1ement depuis longtemps auss1 nous avons pris l'habitude de toujours mesurer les cœurs malades. Voici les vtricule résultats de nos recherches sur l'hypertrophie cardiaque : ut-être belles recherches de MM. Blzot et Bouillaud. Pour notre compte, nous avons non-seulement pu vérifier Nous avons vu la hauteur totale du cœur hypertrophié varier entre 12 et 17 centimètres, et avoir, en moyenne, 13 a 15, dont 3 à 4 seulement pour les oreillettes, le reste pour les ventricules. La largeur àla antes a . pointe base était, dans nos observations, égale à la hauteur totale; quelquefois elle lui était supérieure. Nous l'avons vue varier entre 14 et 17 centimètres. La circonférence du cœur à la base a varié entre 28 et 32 centimètres. M. Bouillaud l'a même vue atteindre 336 millimètres et au delà. L'épaisseur du ventricule la base. gauche a été généralement mesurée par nous dans sa partie la plus large entre la base et le milieu. Nous triculo- avons bien quelquefois mesuré dans plusieurs points, à l'exemple de M. Bizot, mais nous nous contentons muscles ragérée, de la largeur moyenne pour le maximum, vu qu'un trop grand nombre de chiffres ne ferait qu'embrouiller. Nous avons généralement mesuré l'épaisseur sans les muscles releveurs; nous avons trouvé l'épaisseur du ventricule gauche, dans les hypertrophies ordinaires, de 15 à 20 millimètres, mesure prise avec veut on le compas d'épaisseur. Nous avons trouvé 20 a 25 millimètres, lorsque le mal avait atteint un plus haut :ut être efois le degré; une seule fois nous avons vu l'épaisseur de 28 millimètres. M. Bouillaud indique, dans ces cas, rtrophie 1e noix ; in doigt. pas de arement que peut rtrophie, un peu poumons l'épaisseur de ce ventricule de 16 a 32 millimètres. Le ventricule droit a été normal ou aminci dans plusieurs cas d'épaississement considérable à gauche; nous l'avons trouvé, en moyenne, de 5 a 10 millimètres d'épaisseur dans les hypertrophies générales. L'épaisseur a été beaucoup plus considérable, de 1 à 2 centimètres, dans les cas de rétrécissement de l'orifice de l'artère pulmonaire, surtout lorsque le mal, congénital, n'avait entraîné la mort qu'à l'âge de la force. M. Bouillaud a vu le ventricule droit atteindrejusqu'à 28 millimètres. Des cas d'une épaisseur extraordinaire se trouvent également cités dans le beau travail de M. Louis (1) sur les communications anormales entre les cavités droites et gauches du cœur. La plus grande épaisseur dans le ventricule droit rse de la se trouve ordinairement vers la base. L'épaisseur de la cloison interventriculaire n'a été mesurée qu'un petit nombre de fois; nous l'avons trouvée variant entre 5 et 7 millimètres. L'or-eillette gauche n'atteignait a guère au delà de 3 à & millimètres, et encore une bonne partie de cette épaisseur était-elle due de l'endocarde, que nous avons vu atteindre, dans une de nos observations, l'épaisseur considérable 2 millimètres. L'épaisseur de l'oreillette, enfin, a varié entre 2 et 3 millimètres. Les ouvertures ‘a comme pulmonaire a atteint ventriculo-artérielles étaient plusieurs fois fort dilatées; la circonférence de l'orifice sd'byper- jusqu'à 11, et celui de l'aorte jusqu'à 8 et même 9 Centimètres. lace plus uence de .rties ma- ni sur la longueur des Nous ne possédons pas de mesures exactes sur les orifices auriculo-ventriculaires, physème. valvules; mais nous pouvons dire qu'en général l'hypertrophie qui occupe le cœur toutentier pr0dUlt "Il désordres ‘SBS part1€5 -mt/mlo(Ji q nes. Paris , 1826 , ' r) 101 'es ana!fl 4 - 1tec/mco _ . , dans « , gauches du cww ræm- avce les comtes … De la communica!ion des cavités droites du arge, plus )inte sont ur devient ormale ou nt alors se »le lorsque [fi . :wcilcr T/zeil. Wien, 1832. ('Il Die Kr‘ankkeiten (ler Neugcbornen und bitt(ylrizyt‘ - P- 301 et suiv, ils parlent «"'Â'AA fi'fl__AÂñ en et des valvules, élargissement des orifices, mais en mé me temps une nutrition exagérée de l'endocarde de toute insuffisance. 50rte que lorsque l'hypertrophie était essentielle, nous avons constaté l'absence . en moyenne, dans 250 grammes, a été Le poids total du cœur, qui, en moyenne, varie entre 200 et 1000, bien'entendu le cœpr les cœurs hypertrophiés, de 350 à 600 grammes, et a atteintjusqu'à Chez les nouveau-nes, M. Bednar (2)- débarrassé de ses caillots. Hope l'a vu atteindre 1250 grammes. qui ou aortique congénital, le pouls du cœur, & trOllVé, dans les cas de rétrécissement pulmonaire même de 40; le ventricule gauche avait, dans ces àl'état normal est d'environ 16 grammes, de 30 et d'épaisseur. Cas, jusqu'à 10, et le droitjusqu'à 7 millimètres : l'organe |
