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Show urne l'observatio n, même autre ces deux espèces de res distinctifs tout à fait 5 petits que ceux du pus; aractères différentiel du s, ion et n'existent pas dans ouslituer deux espèces de nasales, du larynx, de la t'elles deviennent le siége cularrlre de ces diverses il est vrai, superficielle et s globules du pus, mêlés […5 Sut‘ ces membranes l'intensité des symptômes ni la gravité qu'offre la muqueuses est intimement surfaces qui le sécrètent, rritaut, est versé sur une e et ne donne pointlieuà tes muqueuses est accom- 3t ordinairement des sym- rhes ne sont donc qu'une une élévation notable du gré d'intensité. rique doit tenir compte de mgaue dans lesquels elle a vives et prolongées, tandis ir la membrane muqueuse le et ne jette souvent pas est dans l‘un des cas le pas euses; cette inflammation et dons et dansle périoste, la jeté de l'organisme avec fection, sont identiquemënt . "_ nguer le pu se tlemucnsne irritees, roues muqueuses, t10nd e pr-opor" fférences de . ‘- le 'expectoratrorn " apre.» lens le cat arrhe bronchlq"e t une grande tséquent poill rrxr.xunas ons BRONCHES. 60‘ . . _, .c. Ce resultat, . valeur,. ni‘ pour le. diagnostic , , ni [)0url e pronosti tout négatif qu'il est, est pourtant bien - _ e. En genéral, les globules du …le. sont essentiel bien distincts et offrent leurs caractères les _ , ‘ a connaitr . ements … avec des grossrss , plus normaux dans les ,cracbats Deja, . . ‘ Les c"l0bules p y oïde-s y son t p | us rares. , de -rOO d1arnetres, on reconna:it ] cnrs noyaux sans qu ' on ait - ' d'v ajouter ' besorn de force moyenne de _ " . , _ llacrde l t ; ils en 1 Nrenferment ordinai ' ‘ trors, acetrquc ( rement un ou deux, quelquefors raremen't quatre, et . - _ . . un ‘ seu. ous insist ons sur. ce e]Pb us‘ souven dernier fait, parce qu'il a ‘ ' ‘ ‘ ent qu'une des diverses absolum ] u e sont a00 . nosé a un seud no Yy'iu ; (Ill . , , . 11°)… artic comme L iras dont le noyau se dur.-art, par ]? ‘ 1 ;0 obules d es [mle5 lon denvrsaÜ 1. . outre ' on, " o. esr'ex>udatr e"ou ‘! et . u prétend ' a. lon , . donne lieu à des erreurs, et ces ‘ de ceux du pus, ont été formes _ _ la suite, en plusieurs. On leur et que, par la division d'un seul noyau en plusreurs, rls donnaient naissance aux véritables globules du pus. Il n'est pas rare de rencontrer des ' , '. . !es dans leur. contour , et ayant perdu leur forme sphérique. Elles ont diminué de cellules_ de pus deforme / ' . ' , ' leurs noyaux sont rnorns evrdeuts et ne se voreut que lorsqu'on les traite par l'acide acétique. Ce volume, sont des globules du pus en voie de dessiccation, pour avoir plus ou moins longtemps séjourné à la surface des muqueuses. lr° L eprthelrum se trouve dans les crachats sous des formes diverses. Dans la salive, qui accompagne . , . _ _ _ ois en quantité assez ,! . - l sr souvent les prodmts de lexpectoratrou, et, comme nous l'avons vu, quelquef notable, on trouve surtout de grands feuillets d'épithélium pavirnenteux, de forme lamelleuse, variant 75 à entre 0""",05 et 0""",07, et renfermant des noyaux proportionnellement très petits, de 0""",00 0""",015 de longueur sur 0‘""‘,01 de largeur. Ces noyaux contiennent beaucoup de granules dans leur interieur. On vort, de plus, beaucoup dejeunes cellules épithéliales, ayant en moyenne 0‘""‘,015, a aspect ces celpâle, et avec un noyau excentrique dont le diamètre a en moyenne 0""",0075; ajoutons que l'on y voit un lulcs sont beaucoup plus pales et beaucoup plus aplatres que les globules du pus, que ge aux globules du pus, certain nombre de noyaux de grandes cellules qui ressemblent encore davanta leurs nucléoles. Quel- mais que l'on distingue a leur aspect. granuleux, à leur absence de noyaux et à ce qui n'a rien de surprenant, quefois on rencontre de véritables globules du pus dans le mucus buccal, congestionnée et sécrétant du vu que beaucoup de personnes ont habituellement la muqueuse nasale mum-pus, dont une partie peut facilement se mêler au mucus buccal. encore plus en évidence la facilité L'étude de cet épilhéliurn buccal est plutôt intéress ante pour mettre aux développés avec les globules du pus. avec laquelle on pourrait confondre sesjeunes cellules ou ses uoy d'é pithélium qu'on a sous les yeux, parce ll est important, en outre, de bien faire attention à la forme jeunes cellules finement ponctuées, proviennent qu'elle peut servir au diagnostic. Les grands feuillets, les cylindrique à noyau bien visible vient plutôt de plutôt de l'épithélium buccal, tandis qu'un épithélium sur des malades, et même leur médecin, trèsinquiets l'arrière-bouche et du larynx. J'ai vu plusieurs fois tion ats muco-purulents et teints de sang. L'apprécia une espèce d'expectoration habituelle de crach s; doute des t sur la voie du diagnostic, mais il me restar clinique des symptômes m'avait déjà mis buccal et é taient surtout composés de mucus trouvant par l'examerr microscopique que ces crachats pu rassurer les malades , qui étaient atteints d'une d'épithéliurn cylindrique de l'arrière -bouche, j'ai et mauvais a mygdales, gonflement de la muqueuse pharyngite chronique, avec plus forte sécrétion des et mêlait des ait a la rupture de quelques-uns, état des capillaires : cette dernière circonstance dispos copique dé- s que chez ces malades l'exarnen micros globules du sang aux produits de sécrétion, tandi nde et plus grave. montrerait l'absence detente affection plus profo en effet que je pendant plusi cnrs années; j'ai vu es malad les e suivr pu j'ai , genre e Dans deux cas de c erculeuse, comme on ut point d'une affectior itub ne m'étais pas trompé, et qu'il ne s'agissait surto membrane muqueuse trouve principalement sur la l'avait d'abord supposé. L'épitliéliurn vibr utile se ts bronclnques montrent qu'elle sécrète; les cracha muco-pus le dans l aussi ou et le, nasa e rencontre y trouve quelont de 0""",02 a 0""",03; on un épithélium pavimeuteux, granuleux, dont les cellules beaucoup plus grande vibratiles, mais toujours en quefois des épithéliums cylindriques e t même es montrant le passage entre la forme | .A ‘ , . ' ' ' des formes intermédiair quantité. Quelquefuis nous avons tr'OliVé cylindrique et la forme pavimeuteuse. très es finement granuleuses et de espèce de crach ats, des matièr 152 5° On trouve souvent, dans toute ANAT. PATHOL. --18° LIVR. -QQ RAAAFAAAg5rfiîñfl x volumineux de grands rcuher que l'on a dési«1né ne la sécrétion épi thélfale re le développemen et t la celle de l'épithéli um. La que l'on a décrit co mme v:=a-0nr_+.'.+. .' ». ._ MVNV£T$fi 1ÿ‘1" ‘t"Îv‘Y'.‘t* t"_î".'V" - ' |