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Show GIQUE GÉNÉRALE. ANATOMIE P.\THOLO rhag voisi CHAPITRE lil. lïest L' viole AtllE. DE L'llÉ)l(tltllll dant s des organes qui le renferment c'est la sortie d u sang hor e, simpl bien est gie orrha l'hém de tion défini La ,. des états , xpression peut être l'e ce fait local identique leurs parois; mais à l'état normal, après rupture de incomplète e sortie cependant peut n être qu les plus variés et des causes les plus diverses. Cett organiques une espèce e ment de la tunique celluleuse, décoll e simpl un s, artère s petite les dans et produire, même ion est le typ , e phy de Pestalozzi (l) . La menstruat . rches reche les par tré démon uant, disséq d'attévrysme de congestion, la ré "C…… S…' ' ensemble siologique de l'hémorrhagie; elle en représente les s ignes locaux fisante jusqu'à depui s la menstruation rare et insuf de l'organisme, les degrés les plus variés d'abondance, son émis- nom peut de l'« soHt d%ûr LU tuüo s les plus V ariées du sang pendant de véritables pertes. Nous y observons également les qualité t le résultat de la exacte les corps jaunes qui son sion, et lorsque nous soumettons a une inv estigation dantt nuances anim aux, nous y saisissons encore toutes les menstruation chez la femme et celui du rut chez les [niqu des diverses transformations que peut subir le sang épanché. des artères, des veines, OU des vaisseaux L'hémorrhagie est dili‘érente selon qu'elle provient du cœur, pour les petits vaisseaux et capillaires. Quant a son mécanisme, on peut le sui vre sons le microscope perte nues a été etqu (membrane interdigitalc, langue, pour les capillaires. Une des membranes transparentes de ] a grenouille une 4 avec une aigu ille à cataracte bien méseutère) étant étendue sous le microscope, il est facile de couper bien isolée, le sang sort d'abord tranchante les divers ordres de *aisseaux. Si l'on divise une petite artère d'elle se crispent, se froncent et ne avec tous ses éléments, mais bientôt les parois, au niveau de la section, flghh x collatéraux qui naissent laissent plus sortir le sang, qui ne tarde pas à se jeter dans les pr entiers vaisseau . Si l'artère est plus dessous située au- au-dessus de la section, et arrive ainsi dans la partie de l'artère qui sort par secousses volumineuse, cette contraction spasmodique ne suffit pas po ur arrêterle flux du sang ar l'atnas du sang qui se correspomlantes aux contractions du cœur. L'hémorrhagie finit par s'arrêter p atérale s'établit. La sec- coagule autour de la plaie et dans l'artère, en même temps que la circulation col] énergique; tion d'une veine produit un effet analogue : une contraction spasmodique a lieu, mais moins la sortie du sang se fait d'une façon plus continue, mais l'arrêt est beaucoup plus prompt, lors même gaw hnsq leslu Hgah exeni ruph ordir ranu pour que la veine est d'un certain calibre; le sang ne tarde pas à remonter par les veines collatérales, adipt rejoindre la portion située au-dessus de la section. Lorsqu'on coupe un vaisseau capillaire, le sang sort d'abord a travers la petite ouverture par globules isolés; mais il se forme bientôt une petite ecchymose, les réseaux collatéraux rétablissent la circulation, et le petit capillaire coupé est oblitéré jusqu'à une certaine distance de la section et se remplit de sang coagulé. Ordinairement on coupe alors plusieurs capillaires a la fois. Nous observons ainsi en petit, et par l'expérimentation physiologique, ce que l'observation clinique et l'anatomie pathologique nous ont démontré d'une manière moins directe. Ajoutons settlement que la pathologie comparée montre de grandes différences sous le rapport de l'arrêt spontané des hét'norrhagies. Chez le chien, entre autres, après l'ouverture d'artères d'un certain calibre, l'hémorrhagie cesse fréquem- ment saps ligature, et nous avons vu souvent chez ces animaux la saignée par la veine jugulaire s'arrêter N( (Hip espa Forg L' du s: etlb La lorsq Sïl) lesva spontanement des qu'on cessait la constriction au-dessus, tandis que chez l'homme le sang s'arrête plus diflicdentent. puhn bonn ' '> .. ( 's ‘ _, - …Jt'LZÏ'ÎÇ'LÎÎÏLÊÎËÊÊ…ÎÈÏÏÎÂÏÈZÏQÀÎÏîÏÎÎÎËÀÎ î'i"" "' ""'" """ "'-" "'" ""' "'"""°" ""'" obset (Fun membranes muqueuses, dans la couche sods-épiderniÎdbs…d'…le surfîce' ""'"e' telle que "' peau "_" les stices du l)arençhÿ'nœ des orvanes D'interstitiell. e, e N'e 'de" dnssouvent "ne "…le Close' 0" dans en les foyer, '"'e"' up,-ès ;1\‘0i1‘ rom}… les élémenîs hi-q-LOIOÜi( ev1en\t confluente et enfin se réunit … sont sang g lues qu1s opposatent a sa confluence. Quelquet'ois même l'hémorLa l' » , ,,. . _. (. _ . . {l'/) ?" (Hil‘ u /7"V(Nl/((I ,'\ /J//I'It/ ':' "/Il?' ‘ ?? / H ‘ //l ' I/"/‘ /\ ' [MN/‘;] ' ‘ "I! U. D]. \‘ Sf‘l'i. ."Hill,". .. \\ Ul'Zhlll‘g ' , 18£l9- - "'w: .'-Î,"i 4-1‘4>J\04-;Mç-._w'v‘ '".tw +-A..*…. . +4 .w; . 4 +1_-+J_u .u,n...J i-,--t,… ' -*\- ' 7 ' u.\:+-J ----., "4- \-4-1 + '.4, ' + : . ')…,'_l _ ,…. A _ æud4u , ÎA…uÎh- tout |