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Show èvre. J'ai appris plus :le quarante an s, sur ait été atteint d‘ une nt ses derniers jours, MALADIES ne LA rcr‘zvua. 701 b'ten plus profondes, lorsqu ,.il est comprime . , par un épanchement abondant, refoulé en haut vers la col onnde vert . ébral e, et lorsqu "Il n ' est pas fixé dans une autre p051 ' tion par d'anciennes adhé- rences. Son tis su ev1ent plus dense et comme _ . carnifié, ses divers lobes paraissent réunis entre eux par les des altérations nt subi une altératio n Ces diverses lésions fausses membranes qui en recouv rent aussi la surface; son tissu est flasque, dense, d‘un gris rougeâtre, comme carnifié. I1 0rsque d'anciennes adhérences existent , on peut trouver certaines parties du poumon non comprimées eten contact avec les parois thoraci ques, tout en étant entourées du liquide : en détacher aisément existait des anciennes adhérences. Sur Æ3 cas de pleurésies, dont . 6 doubles, la compression a eu lieu et offrait dans plusieurs mienne qui offrait une lui donnait un aspect dant ne s'y trouvaient l'on pourrait désigner a renfermant beaucoup été remplacée par une 1 osseux. La substance .es creux de la fausse exsudé. Mohr a surtout étudié_les modifications consécutives à la compression pulmonaire lorsqu'il 1 f01s de haut en bas, "; fois d'arrière en avant, 4 fois d'avant en arrière, 4 fois de dedans en dehors 13 fois. de bas en haut et 23 fois de dehors en dedans. Lorsque la pleurésie suit la marche aiguë ou, peu pr olongée, le poumon reprend peu à peu sa forme et ses dimensions presque chronique . . normales. Mars sr la compression a été longue, si des adhérences et des épaississements pleuraux l'empêchent de s'étendre, si, par la longue durée de la pleurésie, un certain nombre de bronches et de vésicules se sont oblitérées, le poumon ne reprend ses fonctions que d'une façon fort incomplète, et dans ce cas le poumon du côté opposé peut subir une espèce d'hypertrophie qui fait qu'il peut suffire presque complé- tement à l'acte respiratoire. La pleurésie est tantôt répandue sur tout un côté de la poitrine, tantôt partielle, occupant de préférence la partie inférieure, postérieure et latérale de la poitrine; d'autres fois elle est essentiellement ur, à de la gélatine de interlobaire; elle peut occuper la partie médiastine ou diaphragmatique, elle est enfin, dans un certain nombre de cas, enkystée par des adhérences anciennes ou récentes, et dans ce cas elle peut lit dans ses mailles une occuper la partie supérieure de la cavité thoracique si les adhérences sont anciennes. On trouve ainsi artie de l'imbibition de norrhagies par rupture es parties constituantes nt le microscope faisait quelquefois de véritables abcès pleuraux circonscrits qui peuvent être très limités et se rencontrent même à côté d'une pleurésie plus étendue dans d'autres endroits. Ce sont ces foyers circonscrits qui produisent parfois la perforation et qui n'ont aucun siège fixe. La pleurésie purulente, enkystée ou non, peut provoquer des perforations dans des sens bien difiérents. J'ai vu plusieurs fois la collection purulente perforer le poumon de dehors en dedans, donner lieu subitement à un crachement purulent abondantqui, ensuite, continuait pendant un certain temps, et, chose curieuse, dans deux de mes cas, ambranes, et les granu- lè\‘re et d'une manière ts accidentels de cette le pus était évacué par les bronches, sans que l'air pénétrât dans la cavité pleurale. Dans le premier des deux cas cette évacuation abondante du pus cessa après que j'eus pratiqué la thoracentèse. Le pus, expectoré à la quantité de 250 a 300 grammes par jour, n'a plus reparu dans les crachalS, à partir "" es dans le courant dela 1ement abondant, il y a se trouvait dans le crachoir. Pendant longtemps le malade perdit par la plaie de l‘opération, pratiquée par la méthode sous-cutanée, 200 à 300 grammes de pus par jour; mais après ""0Îr dépéri C°"S'dém' foulé, et la mensuration eure du thorax, du côté mes que nous venons de blement, il se remit peu à peu, et il a finalement bien guéri. Le second cas était plus curieux encore, en v . . ; ' ‘ ‘ . ' ' " " ce sens qu ayant diagnostique, chez le malade, une pleure51e purulente a drone, et ayant ‘" paraitre d . cherchat. le pornt . par lequel la perforation . ' ' ieu , pouvait avonr eu l pus presque pur dans les crachats, JG on, j'enoù, un peu en dehors du mamel bien remarqué Laënncc. sieurs centimètres, mais les avons même vues se 1tercostaux. L'épaule du se qui diminue encore la côtes par les ostéophytes de l'épaule et de l'épine les idant on trouve tous de déCTII'C. nous venons poitrine peut reprendre moins difl'orme. aient ngem ents que subiss ons déjà sentiels. Nous av Il subit rois thoraciques' et je trouvai, entre la cinquième et la sixième côte, un endroit . . , . ' du p ne Um0' que les1 signes tendaisà chaque inspiration un bruit de glouglou. J ai pu me convaincre thorax manquaient. - pneumo constaté, à l'autopsie, l'absence de Le malade ayant succombé quelques jours plus tard, j'ai . t de glouglou avait eu lieu thorax, et j'ai trouvé la perforation pulmonaire à l'endroit même où le brai forme de forme d'entonnoir et prob abl. ement en La perforation s'était faite de dehors en dedans, en , , . ,. . Peut-être au551 le pus obstruait-il soupape, q… 5 ouvrait par ] msp 1rat ion et se fermait par l'expiration. s lesquels des non douteux dan . cas des cependant ste cette ouverture pendant cette dernière. Il exi aussi des ‘ J'ai observé plusieurs fors perforations de ce genre ont donné lieu au pneumothorax. . stules il des au dehors par s'évacuait que perforations cutanées au moyen desquelles le pus pleuréti cutanées. . . urésie dr01te, le Chez une femme âgée de cinquante-six ans, morte quinze mms apres début d'une ple de , il y avai t un certain nombre ' utt' ve la plus prononpee ' € consec présentant la déformati' on thoracrqu un …u à qu i donnaient lie ns fistules entr e les sixième et hu111eme côtes, pBiitS abcès intercostaux et tro ANAT. PATHOL. - 20° Livn. 'V‘NA Afifi.g,- moment où, par l'opération, j'eus évacué environ 1200 grammes d'un pus en tout semblable à celui qui |