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Show -…-tnr-+qy-+.i «Ÿ-i'r-V …. ».….vn,._+.J.-ÿ.,r.+»» » MALADIES nus VAISSEAUX SANGUINS‘ET LYMPHATIQUES. enfin, dans des primitive, sans ]guins peuvent ies infiltrations léveloppement. lcipale, la plus is cette époque, de Castelnau et le série d'expé: mes premières actions de pus, 537 . . . . _ A\ I \ ‘ sixième jour, nouve . _ lle. ÎDjGCÜOII de 4 grammes de pus; mêmes phénomènes avec diarrhée. Le septième . . " sembldble, jour, une autre . …JeCUOH mtmes phenomenes. L'animal ma igrit d'abord,,mais se remet peu . 'ai-'... r directement, »; ..-.-,-v..y- »-. àpeu. Le vmgt-cmqureme jour, on le tue en lui coupant la moelle allongée. A l'autopsie, on trouve un r. . . \. . épanche. ment se1eux dans la plu re gauche, plusreurs places emphysémateuses dans le poumon 7"?_11" ‘.v\ "el. ion que par la _- droit, un sang norrâtre et mou dans le cœur, mais nulle part des abcès. 3° On fait a un chien successrvement onze injections de pus, dont dix dans l'espace de sept jours, et . . jour; on prend chaque fois 6 grammes d'un épanchement pleurétique purulent. la onzième le onz1eme Les symptômes 1nd1qués plus haut surv1ennent chaque fois, mais passagèrement. Après la onzième injection, il vomit du sang, tombe dans un état syncopal, et meurt dans la nuit. A l'autopsie, nous trou- vous le lobe inférieur du poumon droit rouge, dense, carnifié, et beaucoup de petites places semblables lobulaireS, disséminées, entourées d'êmphysème, mais nulle part nous ne rencontrons d'abcès. L'estomac et les intestins sont dans un état de phlegmasie récente qui, dans le côlon présente un caractère dysentérique avec rongeur, tuméfaction, ramollissement, et de nombreuses ulcérations de la membrane muqueuse. L'estomac offre plusieurs ulcères du reste assez fréquents chez le chien. Æ" On injecte à un chien 14 grammes d'un pus épais de bonne qualité : agitation, dyspnée, frissons, 1 moins rapide, diarrhée, accélération du pouls, abattement. L'animal se remet peu a peu. Huitjours après, on injecte du pus putride; 20 grammes d'un pus épais, avec de petites coagulations. Les mêmes symptômes surviennent, auxquels que des cellules its durables des ; blancs du sang se joignent des vomissements, des selles sanglantes avec ténesme. L'animal meurt le lendemain. A cellules du pus :moses des pou- deux ulcères cicatrisés; dans le côlon un liquide muqueux et sanguinolent. Dans la partie supérieure de l'intestin grêle se trouve une ecchymose due probablement à la déchirure d'un vaisseau par un lobules sanguins fragment d'os. moniacale a été Il résulte de cette série d'expériences que les chiens supportent souvent sans inconvénient grave l'injection d'une certaine quantité de pus, et que, lors même qu'on entretient leur état de maladie pendant alle série en six plusieurs semaines, en multipliant les injections au point d'en faire dix, douze et même au delà, on ne l'autopsie, nous trouvons dans le lobe inférieur du poumon des ecchymoses et des petites apoplexies; dans l'estomac, des fragments pointus d'os et un liquide rougeâtre; dans le duodénum, près du pylore, produit assez souvent qu'une gêne mécanique dans la circulation pulmonaire, surtout des épanchements de sont injectés La troisième série de nos expériences se rapporte à des chiens auxquels du pus a été injecté, et chez lesquels des abcès secondaires se sont formés. le, on trouve les 1° On injecte à un chien de taille moyenne 6 grammes de pus bien lié : phénomènes ordinaires, ]d point sa coloproduit point de guérison au bout de trois jours. Le quatrième jour, on injecte fr grammes de pus délayé et trituré avec autant d'eau distillée, on irrite en même temps au moyen de l'ammoniaque caustique la veine par laquelle 6 gaz hydrogène l'injection a été faite: au bout de vingt-quatre heures, le chien est de nouveau bien. Le onzième et le use de pus. seizième jour, deux nouvelles injections suivies des malaises ordinaires, mais passagers; après la qua- trième injection, vomissement et diarrhée. Le chien, soudé une demi-heure après chaque injection, ne présente point d'albumine dans les urines. Après un mieux momentané, l'animal maigrit et offre la les dySpnée habituelle. Nous le tuons par hémorrhagie au trente-c…:rtrième jour, et nous trouvons dans tnt été faites sans dyspnée, accélée ll‘, on lui inject un liÛÎîll se remet des à l'autopsie abcès. n, e. Le lendemai . Le ours suivants poumons un certain nombre de petits abcès, dont quelques-uns entourés d'une infiltration sanguine; de emphysémateuses dans les poumons. Le cœur Plus, il y a beaucoup de petites ecchymoses et des places nntee est bouchée p drort renferme un caillot mou, et le coeur gauche un carllot fibrmeux, la veine un caillot, elle n'est point enflammée; le cæcum et le côlon sont llypél'ém'é5 6' ramollis dans leur membrane muqueuse. - 2° On injecte à un lapin 4 grammes de pus : l'animal tombe en état de mort apparente, " se remet . , Plusieurs abces sous-cutanes cePendant; pas d'albumine dans les urines, mort au bout de huit jUU"5' , . - '>d‘ . . autour des organes génitaux, hypérémie du cerveau et des méninges; poumon %‘…Che ""PdusL ‘…" °°" 135 ANAT. rnuon. -- 1tj‘ LIVE. ;‘ des convulsions. suite d'une permique? Voilà ce par de bons observateurs, vient à l'appui de la possibilité de la mort des hommes par une infection purulente sans dépôts secondaires, mais aussi à l'appui de sa curabilité, lors même qu'une certaine quan- tité de pus & circulé avec le sang; probablement aussi le danger est moindre, comme dans les cas pareils à ceux que nous venons de passer en revue, lorsque le pus est versé en petite quantité et lentement. AÂ-.L ] pus épais sont sanguins avec emphysème, sans provoquer d'abcès métastatiques. Ce résultat, conforme à celui obtenu ..6M & A ARÂÂÂA!Fça,-À»" ois : 1° Un lapin s, meurt immé- |