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Show DES CONCRÉTIONS. 367 . . . - ' presque transpar ente, dev1ent terne, opaque, rigide, , {ile, paifms , élastir [ , , é)aisse . lisse tard ce n e substance son par taches, 501t d une façon plus etendue. Bientôt ces plaques prennent un aspect et une consistance _ . , . - 1 ' 5 f terreux, peuven t u s e r 1'a ur ace mte1ne, v01ser un magma grenu dans le torrent de la Circulation, et se terminer par une érosion permanente ou une espèce de cicatrisation de la membrane interne. Mais le plus souvent la concrét10n s etend en profondeur et finit par occuper plus ou moins l'épaisseur des tuniques A 7 1,_ .' ,, . ‘) ' ' élastiques et musculaires des ai teres, et c est a10is que lon v0it naitre ces plaques d'apparence ossiforme, au niveau desquelles la membrane interne, ou plutôt son feuillet interne est intact ou déchiré, et . .--,J ‘ A ;:nÏ ; AAA. " -i )"",‘\"" , . dans lesquelles il est lac11e de constater la presence des principes gras, de la eholestérine principalement et des sels calcaires, sans structure toutefois qui rappellerait la composition des os. Ces concrétions, qu1 ne se rencontrent qu'exceptionnellement ailleurs que dans le système aortique, celles du frappent surtout par leur mult1p1101te, et se rencontrentaussi bien dans les petites artères, dans tion calcilica une plutôt là cerveau entre autres, que dans l'aorte et ses grandes divisions. Au fond il y a _., une dégénération graisseuse des tissus qui entrent dans la texture des artères. Æ" Concrélions des calculs dans les glandes. aux ine lise .us, ent le rant Œil… "'!‘J"Y‘ ,,],\fi_4,\_. "\A "‘m ‘ «A A.AA"..AA aA,w…\ . . . . . , . altération rétrograde, et une altération grasse d un produit liypértr0phique mcomplétement nourri qu'une Nous avons vu ailleurs que toute espèce de glande pouvait devenir le siège d'une hypertrophie. Nous a croyons ne pas aller trop loin en disant la même chose des concrétions. Celles-ci peuvent se former partir des conduits excréteurs, dilatés jusque dans leurs dernières ramifications vésiculaires, et avoir pour point de départ le liquide intercellulaire contenu dans ces cavités, ou les cellules épithéliales elles- bien que dans mêmes. Ce dernier point, d'une grande importance dans l'histoire des concrétions aussi e moderne. celle des cellules, n'a pas encore été apprécié à toute sa valeur par l'anatomie pathologiqu de la mamelle, nous Dans les tumeurs et les concrétions provenant de glandes sébacées des aniygdales, minéraux dans tous ses avons pu suivre cette altération cellulaire connue point de départ de dépôts biliaires, Bramson et détails, et c'est avec raison que plusieurs auteurs de travaux récents sur les calculs la vésicule du fie] dans Seifert entre autres, ont insisté sur le rôle que pouvaient jouer les épitliéliuiiis de leur production. Nous allons passer en revue les principales concrétions glandulaires. 1 face réduit tances 1rtères °*ÂÂÀ ial en tions un nom spécial, on pourrait les appeler sébOlz't/zes. sont ordinairement le moule b- Les amygdales hypertr0phiées renferment souvent des cone i‘étions qui v arie depuis celle d'une cire plus ou moins exact des cavités folliculaires. On en observe dont la consistance pendant l'extirpalion. On y trouve molle jusqu'à la dureté pierrense, capable d'ébrécher l'amygdalotome granulo-gl'üisseuse, 50" enfin également des épitbe'liums altérés, soit par diffusion, soit par infiltration 355 " les sels par infiltration calcaire, et dans le reste non épithélial de ces concrétions, on 0011513œ l'existence de se depas ne e volum Leur . reste point d'analyse exacte Calcaires et de cholestérine. Je n'en connais du ajeure généralement pas celui d'un petit poiSlocale siège dans les C_ Les concrétions de la mamelle, dans l'hypertrophie partielle. ont ordinairement leur ‘, sem- e les mêmes éléments que dans 10bules et vésicules des dernières ramifications glandulaires. On y trouv rs d'un petit volume, variant entre -,_ Plus ntré, mais toujou les cOIIGrétions précédentes. J'en ai souvent renco ire, des vu cependant. dans l'hypel‘tr0phie mammarhag1 et celui d'un petit pois;j'ai autre que. ""‘" d'un grain de milplus hemor reSidu un tuant espece, consti volumineuses, mais d'une , concrétions beaucoup : - r - » "Î. ! ',7 r: . ; soit granuleuse, incrustés ou remplis de sels calcaires da ns leur intérieur, de plus beaucoup de graisse, e de la margarine. soit cristalline, avec prédominance de la cholestérine. Val entin y a signalé l'existenc hate de chaux, ainsi que des La substance intercellulaire renferme surtout du carbonate et du phosp Si l'on voulait donner a ces concré- carbonatœ alcalius, des sels de sonde, de potasse et de magnésie. A. '--. A .\ tions '_r-» 4 . concrétions des épithéliums particulière de tumeurs sous le nom de gypse-sle'atomes. On trouve dans ces 1 as en e de AFA.AAAI‘A - mm à tous les degrés intermésouvent le siège de concrétions dures, connues depuis longtemps et existant a du sable mouillé, et de diaires entre quelques grains isolés qui font ressembl er le contenu de ces glandes de ces dernières une espèce véritables pierres qui en occupent toute la cavité; Schnltze a v oula faire à tort NA,... (1 e nouvelle formation sont a. Les glandes sébacées hypertrophiées et dilatées et les kystes sébacés |