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Show SPÉCIALE. ANATOMIE PATHOLOGlQUE ans e déjà, à l'œil un, des apparences diverses; pertrophie simple offr La structure du cœur dans l'hy rtrophie est encore de date rouge, même dure, lorsque l'hype ordinairement sa substance est ferme, ularité paraît généralement aug. quelquefois sur le brun, la vasc récente; plus tard la rongeur tire pés qu'à l'état normal. Nous n'avons pas ren. x coronaires sont plus dév elop mentée, et les vaisseau s caractérisés {**-M'AMAA' ... partie hype rtrophiée, ces résidus inflammatoire contré jusqu'à présent, au milieu de la dont parle Rokiineuses, fibrineuses, parulentes même, par de la rongeur et des exsudations gélat ré son épaisseur cas plus avancés, de trouver le Cœur, malg tansky (l). Il n'est pas très rare, dans les jaunàtre. C'est molle et flasque, et d'un rouge plutôt et ses grandes dimensions, d'une con sistancc é a s'infiltrer de granules graisseux. En général, les alors que les cylindres musculaires ont comme…: gnent le do uble et le triple de leur largeur ordinaire, cylindres primitifs augmentent de largeur et attei cœurs notablement jusqu'à 1/20t- et même 1/l0c de millimètre; mais comme plusieurs fois, dans des ent des Cylindres primitifs, je dois en conclure qu'il hypertrophiés, je n'ai point r encontré d'élargissem efois je n'ai pu, jusqu'à présent, surprendre s'en est formé une certaine quantité de nouveaux. Tout incom- AA ."-‘\ "'-\ primitives lisses, sans raies transversales, leur mode de formation, et je n'ai pas trouvé ces fibres a trouvé dans le tissu interstitiel, outre une plétement développées, dont parle Rokitansky. Wedl (2) de molécules de pigment, et même aussi des certaine quantité de graisse, une quantité considérable aux corpuseules amleïd(>s. Nous avons déjà dit corps, qu'il appelle colloïdes, et qui ressemblent trophié. Nous avons trouvé aussi, dans qu'outre l'élément musculaire, le tissu fibreux était 5 ouvent hyper érable d'éléments fibreux, et, parfois même, des l'interstice des fibres eliarnues, une quantité très consid noyaux allongés et des corps fusiformes et fibro-plastiques. anormalement développées, là où il Quelquefois toutes les parties fibreuses étaient épaissies, et même trouvé quelquefois aussi l'endocarde et n'en existe normalement qu'à l'état rudimentaire. Nous avons tres. L'accroissement simultané des les valvules épaissis, atteignant jusqu'à 1 et même 2 millimè dit plus haut, de favoriser la fermeture éléments fibreux en tous sens a pour effet, comme 110us l'avons insuffisantes, par suite d'un élargissement régulière des orifices. Toutefois les valvules peuvent devenir qui accompagne si sou- disproportionné des orifices ou par le re trait d'un des chefs d'une valvule, retrait quelquefois sur l'endocarde vent les épaississements fibreux. Les plaques ii'r égulièrcs que l'on rencontre s d'une endocardite, ou une sont indépendantes de l'hypertrophie, et constituent ou les der niers vestige gauch moms gène . ordhu sous-: casli muqu autou Da‘ habüt Dans cyfinc par 5 plusg apopl dence pr0di hd. céréh été & parei La quefi autel petit« dans park Le altération nutritive particulière de cette membr ane, ou enfin elles proviennent d'un fréquent, mais ne paraît pas j ouer L epaississement des anneaux fibreux de la base des Valvules est . f , r . . est - , _A. On trouve divers changements aus5i dans le permarde; ] adherence important. pathologique un 101e queh trophie. Les altérations dela d'autant moins rare qu'elle est quelquefois le point de départ de l'hyper fin ( dépôt fibrineux. un d gauc vu plus haut qu'une des causes de péricardite exsudative ne sont pas très rares non plus, car nous avons puln de, enfin, est quel- la péricardite secondaire était l'hypertrophie du cœur. Le feuillet viscéral du péricar quefois notablement épaissi au niveau des parties hypertrophiées. question à Quant aux altérations des orifices du cœur, qui provoquent l'hypertrophie, il en sera brun ' surtout les rétrémsl occasion des maladies valvula1res. Nous ferons seulement observer 101 que ce sont tendons valvul aires sements ventriculo-pulmonaires et ventricule-aortiques qui les occasionnent. Les : ! ' - . - et participent également à sont surtout épaissis, lorsque les muscles papillaires sont hypertrophiés L' un g pror perm sufii prée l'épaississenœnt fibreux général des valvules_ Les ca11lots que le cœur renferme n'offrent rien de particulier; ils sont noirs, de la consistance de la d; I ‘ Y . ' ' blant,elee de grosetlle, mous, avec une plus ou moins forte proportion de coagulat10ns fibrineuses, ' ' pur iforme, "' un liquide renfermment les caillots . - deux de nos observations, ‘ mon " Dans ' « ' - gelatunformes. ch"atres ou ramolhssement particulier des parties fibrineuses. . , _ ' ' ent que des troubles au551. profonds dans l'organe central de la Circulation dowent ' aisem On conç0. 1t . . - que sur un grand nombre de pomts de l'économie. Voici ce qi1el'obser. troph1- e cardia ' u entn"« lhypei fa'ire1ct , . . , , . _ \ ' anevrysmat1que s de * vatton nou 5 " "PP… à! ce Sujet. Le systeme arter1el presente, outre les dilatations 17 '… et qui,- a. leur tour, peuvent provoquer l . hypertroph.œ du venir… ule - . … (luelq ' aorte (u' uef0b, l 0" 015561" n'es d'un niet plat ordi dflm fhy (|) Op. cit., \\‘ien, tb‘ltà, t. ll, p. 1107. (2) Grundsucgc dcrpathologis‘E/mn l]istolugic. \\'icn, 18511, p. 228 .:.- .«fl.ä*..äm.‘ . . . étud |