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Show 82 ":it.\i.i5. .\NA'l‘tt)lllü l'.-\'l'll(tl.tttllt)Uli i'ii atrophie formes intermediaiies entie ] lisse et molle et l'atrophie dure Ct)… cepen- lles les granulations, tout en faisant relief, sont et granuleuse, et il y a des cirrhoses dans lesque con- tres peu . _ des autres par (l es sillons également dant d'une consistance molle, et séparées les unes ion ent diminuée qu'en r aison de la diminut sistants. La sécrétion de la bile dans ces cas n' est ordinairem nt ration de du bel, mais il y a souve infilt Ctlfl‘ des él…i55l'e- COandant on trouve ' de volume. Non-seulement on trouve de I a ' ' . \ ‘ w ' pag gra thC bile dans la vésicule son tissu, dans bien des cas, un aspect ses éléments dans les petites cellule s du foie, ce qui donne à de e porte, sont quelquefois remplis jaune foncé ou brunâtre. Les vaisseaux sanguins, surtout la vein mo la cirrhose dans presque toutes les caillotsjusque dans les ramifications lines. Nous avons rencontré lise atteints de syphilis constitutionnclle. autopsies que nous avons faites de malades nor foie par Horaczek, Rokitansky et d'autres, Dans la maladie désignée sous le nom d'alrop/o'c jaune du complete d un certain nombre de cellules du t0œ_ on observe quelquefois une destruction plus ou moins car actère anatomique et essentiel, comme on Toutefois, dans l'ictéi‘e grave, cette altération n'est pas le den éten Jusq a une altération générale dans la formation de la l'admet dans l'école de Vienne, mais bien un effet lié publié dans les Archives de Virchow. bile, fait dont la démonstration est le sujet d'un autre travail fréquentes, d'origine Les poumons sont également le si ége de formes variées d'atropbie. Une des plus Non-seulement le poumon tonte mécanique, est celle qui est consécutive a la pleurésie il marche lente. même il finit par être fixé à est refoulé et comprimé par la masse de l'é pauchement, mais ordinairement sa distension normale par sa place, notablement réduite, par des adhérenc es qui ne permettent plus vésiculaire des poumons nest pas, dans le l'air, une fois que l'epanchement a disparu. L'emphyseme acquis une certaine principe, une maladie atrophiante; mais après une certaine durée, après avoir ire et dans les vésicules, extension, il donne lieu a une atrophie telle, dans le tissu cellulaire pulmona se rapproche, pour l'aspect que, partiellement ou sur une plus grande étendue, le poumon de l'homme étendue deviennent et la structure, de celui des batraciens. Les poumons atteints de dilatation bronchique quelquefois le siége d'une atrophie telle que tout l'organe offre a peine 15 a 20 centimètres de hauteur et de largeur, sur quelques centimètres seulement d'épaisseur. Il y a alors hypertrophie de quelques yme pulbronches, dilatation en ampoules, mais atrophie et disparition d'une bonne partie du parench jour bi: l'ii iiiiitis‘ ‘ll jr Uppl‘t game llt', la un p A rein ; pena bride paru monaire. Les petites bronches disparaissent, les cellules pulmonaires ne constituent plus que de petites taches granuleuses microscopiques; le tissu aréolaire et caverneux des poumons devient un tissu libreux presque compacte, parcouru par des vaisseaux bien plus rares qu'à l'état normal. L'atrophie des reins est quelquefois essentielle, due à la compression, a une oblitération vasculaire; Ce i\[] «le la sont amp mais, le plus souvent, elle est la conséquence de cette infiltration granulo-graisseuse des tubes urinifères lt et du parenchyme rénal qui accompagne la maladie de Bright. Le rein, dans ces cas, se ratatine, et est …… réduit à la moitié et même au tiers de son volume naturel. \lais il arrive aussi qu'il y a un tel dévelop- pement adipeux et granulo-graisseux dans tout l'organe, que son volume parait notablement augmenté, tandis qu'en réalité ses parties essentielles et constituantes ont subi un travail atrophique considérable. obl' Les organes membraneux, tels que l'estomac et les intestins, subissent assez souvent l'atrophie, mais rarement d'une manière essentielle et idiopathique. Ordinairement celle-ci est causée par une all‘ection générale qui provoque le marasme, ou par un obstacle au cours libre des matières placé au-dessus du siégé de l'atrophie. La membrane muqueuse, le tissu sous-muqueux et les plans musculaires y parti- lllt‘, L‘ i llt‘l llt‘l il.\‘p ! ]? Illtll cipent également; le calibre et la capacité interne de ces organes sont alors également très réduits. Une des formes les plus intéressantes de l'atrophie est celle que l'on observe dans les cicatrices. On sait que celles-ci tendent à diminuer de plus en plus de volume, ce qui entraîne non-seulement une atrophie locale, mais une espèce de ratatinement des parties adhérentes du voisinage, avec changement des rapports anatomiques normaux, diminution consécutive des fonctions, et véritable atrophie irradiante consécutive. Des rétractions avec immobilité des membres, des rétrécissements qui gênent ou interceptent le cours des fluides, des urines ou des matières fécules, en sont la conséquence, et peuvent entraîner toute une série de lésions secondaires, comme le démontre l'étude anatomique des rétrécisse- l il'ii not Le lou tet] (lei que ments de l'urèti'é, et la mort inévitable que l'on observe dans le rétrécissement intestinal arrivé à un llttl) certain degré et inaccessible au secours de la chirurgie. ' ue sonventaccompagué de desséehement, . . -‘ '- un tiavail t 1 s e afin peu v*Ulthbll ati0phiq s s a c cide ne Le:s ti‘su‘ ,;_. -... +}:ïuÿ4.» :_ tl": _.À .4 ."4- ," +mu4-u.t;- q,\3..… isÊ;_i._u_ç. -, «{ que ils… |