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Show .. -; '.‘"'Î' -'-*'1'"'_'Vi‘.:l-Ÿ … '.Æ..îr-E$vi"bÇ.ràfi v ;,_J- =»Ar. v MALADIES DES BRONCHES. nos us le plus ordi nairement délimitée .de ,la. cavité, . qu1 n'est autre que la membrane qui entoure la vésicule; à sa surface interne on , liépatisé. ' ,. . . v01t un épithehum paumenteux a\ l , état d infiltrati. on granuleuse. Le contenu est liquide ou demi-concret; ‘ . . , , / _ . lité du tissu envi ronnant )is se réunissent le plus asolnment nécess aire. La m‘"5 on peut toujours 1 enlever completement, SOit avec la pomte du scalpel, soit avec un mince filet d'eau. On trouve au microscope des cellules de pus et des noyaux, ainsi que des granules. En comprimant noins indispensa ble, mais tout pres des vésicules enfiammées. Le tissu pulmonaire intervésiculaire, autour de la vésicule, montre usine se produit la dila- : tonte physique par la e poussées par les eff orts mort est survenue très une hypérémie marquée, et quelquefois une infiltration d'un sérum rougeâtre; elle est plus dense qu'à eillis nous ont confirmés liquer son influence p…des tuyaux bronchiques, ulaires de Reissessen, et i résulte de l'affaissement fl"R"‘ï'.‘_.' T"X" , confluence ' de plusieurs . vésicules enflammées. Sur une coupe fraîche on distingue la paroi nettement -‘I les préparations sous le microscope, on voit quelquefois des terminaisons bronchiqnes arriverju sqne l'état normal. Quelquefois la confluence de ces granulations vésiculaires enflammées peut produire des petits abcès dont MM. Rilliet et Barthez (l) citent un exemple curieux. Voici ce fait : «Garçon de deux ans, ayant succombé au vingt et unièine jour d'une Mouche-pneumonie. La coupe du lobe inférieur du poumon droit montre un tissu violacé, lisse, flasque, déprimé, sur lequel font saillie des taches jaunes, résistantes (granulations jaunes). Quelques-unes des plus grosses, en petit nombre, afiaissées, sont presque liquéfiées, et paraissent former une collection purulente. Cependant la section ne les a pas vidées, et la pression fait sortir le liquide par plusieurs petits points. Le poumon gauche présente, à l'extérieur, la même apparence que le poumon droit. L'insuffiation a distendu toutes les parties violettes, et a respecté le plus grand nombre des granulations, même celles qui sont ramollies et afl‘aissées; la pression en fait toujours sourdre du liquide purulent, et isolées avec soin elles plongent au '. pleurale et bronchique fond de l'eau. » nière, et, d'autre part, la st en général plus consi- s de la surface acquérir Nous avons communiqué dans le temps à ces auteurs un fait intéressant, dans lequel le tissu pulmo- naire, tout autour, était également infiltré de pus : ce qui provenait probablement de ce que, par suite du travail suppuratif, les vésicules étaient rompues, et que l'll'lfldŒll‘lütl0ll était devenue plus diffuse. asie manque souvent, en Voici l'extrait de ma note : Les taches jaunes sont formées par une véritable infiltration pnrulente, dans :i tissu carnifié. ts paraissent être l'âge de te des dilatations lorsque rs de maladie. La consti- ie la faiblesse favorisàt la laquelle le microscope démontre des globules purulents a noyaux et des globules pyoi‘des sans noyaux. Cette infiltration pnrulente par semis, multiple, ne diffère de l'hépatisation grise que par l'aspect plus franchement purulent et par la dissémination des taches. Ces infiltrations purulentes partielles montrent, examinées à la loupe, la destruction des vésicules a leur niveau et la conservation du tissu cellulaire seulement. Des vaisseaux nombreux entourent ces infiltrations, mais on n'en voit plus au milieu d'elles. D'après les recherches des auteurs cités, on observe des pneumonies vésiculaires surtout dans le lobe a celle qui existe dans la isparaîlre plus ou moins uns disons plus ou moins supérieur ou dans la languette inférieure, et, à l'état d‘agglomération, a la languette cardiaque du lobe supérieur gauche, à la partie correspondante du poumon droit, et plus fréquemment a gauche qu'à uth pas pour rendre leur à tous les âges, chez l'adulte aussi bien que pendant l'enfance. Lorsque plusieurs vésicules se sont réunies par confluence, leur ensemble peut ressembler aux vésicules pulmonaires, qui résultent, comme nous l'avons vu plus haut, de la dilatation des terminaisons bronchiques. Nous ne pouvons partager ici l'opinion de M. Fauve], qui n'y voit qu'une simple dilatation bronchique. ni celle de Gairdner (2), qut Il décrit cette lésion sous le nom d'abcês bronchiques, et les feiit dériver d'une ulcération des bronches. nous que auteur, décrite. Cet regarde comme une pseudo-membrane la couche pnrulente que nous avons pour que aurons occasion de citer souvent dans le courant de ce travail, est un trop bon observateur _ , _ . une erreur. Il est _ purulentes . ' v collect . *ions‘ qtie les- petites probable nous voulions l'accuser d avon‘ commis '. . " . ' ' br onchi q ne terminaison une de la surface des poumons, que nous avons deja vues tuer le… Ot‘lgltlt, d " . hique. tion bronc dilatée ou d'une vésicule enflammée, peuv eut aussi naître quelquefois d'une ulcéra chronique, lorsqu il Nous arrivons à une autre altération bien fréquente dans le eatarrhe pulmonaire lobules du tissu pulmoa son siège dans les petites bronches. Nous voulons parler de la condensation de celui (l'/tut [lala], tantôt naire, affection décrite tantôt sous le nom de pneumonie labo/aire, tantôt sous /té :. / _ .\ es dernieres annees, na e tent éclairé la pathologie, nent autour des vésicules e nous avons déjà décrit les; nous voulons parler pneu- , à l'occasion de la lisée defois elle est généra elle est rface du poumon; hes aide des petites bronc n inat:ules. A un exame les sont jaunes. Les vésicu est lentille, et 1 eur forme ors il y 3 enfin comme carnfflcation lobnlaz'rc. Cet état, fort mal interprété jusqu'a C bien apprécié dans sa véritable nature Que par MM. Legendre (3) et mm:": et "0"5 POUVOÛS U) Op. cit., t. I, p. MT. Mot), p. 20. t‘-') On l/ze pat/mlogitul anatomy o/' liroxic/u'tis. Edinburgh, n" la7. 18116, Paris, l'en/‘unrfl. (l'a metal/us (5) "where/ms sur quelques ière; 59" q" "' -A.\‘AT. P.\'lll0L.-18‘ i.1vn. d" "C q n'avec .,-.. , que les bronches ou le igu. » sont la conséquence dela ÂAAA AF‘aflnfif‘pa‘AA'4‘ ‘ e la dilatation aiguë soit droite. Chez les enfants de l'âge de trois à neufans, on en voit le plus d'exemples; toutefois je les ai vues |