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Show =x.-&u>.+n'n+.…+.f .'M M. N- ." _. Il suffit de se rappeler ce que :her1e, pour êt re frappé de la produit artific iellement chez qu'à la limite à laquelle elle fautement nette; la crépitation ailleurs un caract ère moins lesquels les vésicules emphv. qui m'ont toujours paru ne se e ces accumulations de pus ou MALADIES DES BRONCHES. 635 q ne l'on. obser,ve chez ladulte, 'et dont les malades font si souvent remonter le début jusqu'à l'enfance ? Certes Il y a d autres causes d'emphysème que celles '- ' -- ‘ que 'e Siûnale- "e n'in 's , , S' te pas &… ce pornt, malt ' J a ' elle des antecédents de beaucoup de m alades ne conduit- létude . pas a" pouvorr ' ' rattacher dans certaine ' s crrconstances, l'emphysème de l'adulte à celui de l'enfant" ' Démontrerait-on que l es lésrons ' ' de lemph "‘ ' ' e dts' ararssen ' " ' ' " " infantil )seme dé Plusblà blles rattach er à ce q ne l' ou vert' c"h ez 1 ' adulte; mars' il ' y a-t-il raison p plus 'deavec ' age.pour penser certes " " yque au"… de se m a es . '. '} . . sordres doneut etre raremen t de nature a‘ s'effacer, et que sur le nombre d'enfants dont ils ne déterminent p as la mort , ,1' peut y en . chez lesquels des désordres . ' nombre . ' . un cer. tarn , aveu d'une {?Â:Ï'$Ëyîèîî"ñäîfiîä;Zîäî‘ïï-ä Îî;äjtÇlfiïê-tls ajorspersisterpendant toute la durée de la vie, et ces uestions ] .j , .£ ' . que a premiere periode de l cmpbyseme de l'adulte. . … dq_ . , Ur/l apprecrces encore, ont cependant un certain intérêt. Les maladies des différents ‘ nee de l'air au-dessous dela ‘äeAA."flaeA‘ ttes par des affections propres orvent etre ecla1rees les unes par les autres; ailleurs, comme en cette questi0n, en apparence étrorte, la pathologie de l'enfance dénote souvent a l'avance les conditions morbides de l'âge mûr. Que äe fers elles se sont pqeserttées\êr mon esprit en relisant des ouvrages de M. Louis, de M. Jackson et « ages n‘t pas que, par le fait de sa oudaire sur la superficie des traversées par des nerfs, des faisant uniquement attention aux observations précédentes, il résultera de cette appréciation] qu'on est parfaitement autorisé à admettre l'opinion de Laënnec: la production de l'emphysème par le seul fait de la toux de la coqueluche en particulier (opinion contestée et cependant incontestable). Non-seulement alors l'air peut soulever la plévre, mais encore il peut passer au delà et pénétrer ant renfermer autre chose que jusque dans le tissu cellulaire, soit de la poitrine, soit du tronc ou des membres. Ces détails ne sont mg. Ces nouvelles apparences, point connus ou le sont peu; ils méritent d'être remarqués. tique des lésions, nesontautre ris le moment où l'emphysème A A‘ ,.K . autres encore, sur lemphyseme. Sans s'attacher, au surplus, a ces considérations générales, et en : l'air a pénétré dans le tissu Cliniquement parlant, ils doivent augmenter la gravité d'une affection déjà sérieuse en nombre de circonstances; mais sont-ils de nature, lorsqu'on en constate l'existence par le relief et la crépitation des téguments, à faire perdre tout espoir de guérison? Je ne le crois pas, car je cite un exemple où le les, soulevées par l'air, peut malade est parfaitement rétabli. M. le docteur Campaignac m'a communiqué un autre cas de guérison tux ou d'exsudation, le sang analogue à celui que je rapporte, dont il a été témoin; il en existe très probablement d'autres encore. Un fait qui vient tout à fait à l'appui des opinions émises par M. Guillot est celui-ci : que, chez les chevaux, l'emphysème survient souvent subitement à la suite d'un grand effort. M. Cruveilhier (l) a vu un emphysème se montrer tout a coup au cou d'un asthmatique. Il crut que cela tenait à la rupture ; se présentent sous l'aspect ns colorées en rouge vineux, foyers sanguins ne sont pas pus dont je parle ne sont de une origine particulière. L'un celui-ci : Ces lésions sont-elles ù les observations précédentes ent queluche, ait été parfaitem l'air plusieurs de ce 5 malades, voir ce qui se pr oduisatt ale de l'air sorti e ceux chez lesquels essous des sa présence au-d as trop oser nble que ce n'estp nt-elles être es lésions peme En retranchant eur du corps? s ne pourrait sème des enfant une, et cest »t l'opinion comm de quelques vésicules pulmonaires par suite des grands efforts de respiration. L'emphysème s'étendait en avant jusqu'à l'abdomen, en arrière tout le long du rachis, jusqu'au sacrum. Mais à l'autopsie on trouva que les poumons étaient sains; il existait une inflammation gangréneuse du rnédiastin antérieur avec épanchement fétide dans la plèvre droite. Parmi les caractères anatomiques importants et tout extérieurs, nous signalerons l'ampliation du thorax, si bien décrite par M. Louis, ou partielle et bornée à l'un des côtés de la poitrine, ou manifeste des deux côtés. Le siège de prédilection de la saillie locale est entre la clavicule et le mamelon, elle est plus fré- quente à gauche qu'à droite; il est plus rare d'en trouver une analogue en arrière. Nous avons également constaté souvent l'existence de la saillie sous-claviculaire, ordinairement bornée à un seul côté, à gauche plus souvent qu'à droite. Dans des cas d' iiipliysèrne très prononcé, enfin, la poitrine est uniformément vingt bombée, globuleuse, offrant une apparence plus courte etplus convexe qu‘àl'état normal. Pendant ans tous les observateurs ont confirmé les observations de M. Louis; cependant, dans ces derniers temps, de la poitrine aux M. Gairdner a attaqué cette manière de voir, et il attribue les déformations légères A!" .Ap'f" aisir et les comprendre. '" ÂÂA fréquemment pour avoir la conséquences de la bronchite pendant l'enfant: e et à l'affaissement partiel et tlissérniné des pou…0nS- En antéro-supérieure même temps, dit-il, la respiration est altérée par la bronchite, et c'est surtout la partie donc point de défor- qui est le siège d'une respiration plus forte. D'après lui l'ernphysèrne ne pr oduirait respiratoires mation de la poitrine, mais celle-ci serait l'etl'e t de la bronchite antérieure, des mouvements affection et de la respiration exagérée, qui devient très nécessaire pour surmonter altérés par cette pour ite. Un a déjà pu voir combien je professe d estime l'âfl'aissement pulmonaire consécutif à la bronch (l) Bulletins du la Société anatomique, t. XVI]. p. 1112. y..,...-Au ...<i--«.--.. L.-. .. [A, .' .1" |" J. "‘/\A on re la mêmelésl euvent-ils êt |