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Show sus. De grands obstacles :nmation dans les parties ypérémie initiale et son La grenouille est devenue physiologie. ces, il n‘y a pas d'animal la se rapprocher davan- entère de jeunes mammi- inconvénients, la prépa- .érations, dè51844, dans :un avantage sur l'étude ré bon parti, et Wharton 15 belles expériences (2). es, dans des parties non des expériences récentes ouilles offrent l'avantage t de fournir des résultats irritation de la cornée et es changements primitifs ide. r ce dernier point, nous iflammation (3). Ce phy- 3l'inflammation, non sur les vaisseaux de la partie nent très vif. ii" les vaisseaux capillaires mentation sur les artères istriction et la dilatation la largeur normale, sous à 20 centigrammes pour DE L'HYPlËRÊMIE ET lili l.'lNFI.ANHIA'l'lU N 35 veines. Dans les radicules veineuses et les capillaires, il survi ent alors facilement une congestion qui peut aller jusqu'à la stagnation et a l'exsudation consécutive. Lorsqu'o n coupe une veine, il y a constriction; la circulation, au lieu de devenir plus active au-desSiis de la section, pren d plutôt la direction des vais- seaux collatéraux au-dessous; il survient rarement de la stagnation dans les parties ainsi lésées, a cause des larges anaslomoses entre les radieules veineuses. Les capillaires étant coupés, il y a d'abord constriction de l'artère la plus voisine, causée probablement par l'imitation des tissus aiiibiants du c Cité de l'arlére; ily a d'abord stagnation, puis rétablissement graduel de la circulation; du côté de la veine, la stagnation est plus durable. Dans les expériences de Paget, sur le même sujet, nous trouvons ce fait intéressant que, lorsqu'on avait, en irritant avec une aiguille une artère et une veine. produit une contraction graduelle, suivie de dilatation, une irritation plus forte, la chaleur, par exemple, 1"n'oi'oq uait ensuite une contraction bien plus permanente. Pendantque la constriction a lieu, le sang coule plus lentement ; lorsqu'elle cesse, il y a accélération du mouvement circulatoire, puis retour a la vitesse normale. Dans le mémoire cité de Prévost, nous trouvons également la contraction des vaisse aux indiquée sous l'influence de l'application de la teinture d'aconit; mais l'auteur n'a point. spécifié si c'étaient des artères, des veines ou des capil- laires. Nous trouvons encore dans Wharton Jones des remarque s ii'itéressantes sur l'action de la solution de chlorure de sodium , action qui diffère selon le degré de concentration. line solution faible accélcre la circulation, tandis qu'une solution plus forte la ralentit, et | ironique bientôt la stagnation, qui commence par les capillaires et s'étend ensuite aux veines et aux ar téres. L'accumulation du sang dans les vaisseaux sanguins est surtout visible a l'endroit des bifurcations vasculaires. D'après Puget, une dilatation prompte des artères, sans contraction préalable, survient encore sous l'influence des stimulants suivants : acide acétique, teinture de capsicum, huile de térébenlhine, solutio n étllél‘Ôt‘ de cantharides. Nous n'entrerons pas dans trop de détails sur l'action des divers agents irritants, nous nous contente- rons de recommander aux expérimentateurs ceux qui nous ont se rvi dans de nombreux essais. ties agents sont: l'acide acétique, dont l'action diffère suiv ant qu'il est dilué ou concentré; l'illlllllOlllütlllC diluée (au dixième), car, concentrée, elle produit trop promptement la stase; l 'alcool étendu et de plus en plus concentré, l'action du froid, de la glace surtou t, de la chaleur transcurrente; l'action plus directe, le long des doigts, du fer chautîé à blanc; l'implant ation de petites parcelles métalliques ou l'irritation par un fil d'argent très mince, que l'on passe en forme de séton le long du bord des doigts. Rien enfin de plus intéressant que d'irriter les artères et les veines, sous le microseope, avec une aiguille à cataracte, en les piquant, en les comprimant, en les contondant, en les coupant. La plupart du temps, du reste, on obtient ainsi plutôt les phénomènes de l'irritabilité muscul ' r ,r : une des vaisseaux etceux de ] v hyperc nne qu un véritable travail phlegnmsique. . 3 du froid, par l'irritation . . r Nous arrivons à la descriptio n génerale des changements qu1. survi- ennent dans les vaiss ' . . » ' eaux dune partie enilammee. Nous admettons cependant, avec \11‘chovv, sinon la certitude, au moms la p10balnllle ' iit place à une dilatation (1 gramme sur 30), avec idium. La liqueur sédative vient promptement; il en , ‘ T' - . . V ' ' ' ' de changements simultanés ou antérieurs en dehors des vaisseaux. Lorsquel'agwt irritantintlannnato1re, (lit cet auteur (! ), frappe une partie, et produit des changements physiques et chimiques, il peut Cll résulter une modification dans l'attraction moléculaire du sang, un courant endosinotique ou exosino- tique, un changement dans la cohésion interne, et par cel a même une dissémination des globules du sang dans le courant, une attraction vers la paroi v asculaire, une accumulation ', les troubles cn'culato1res seront donc l'effet secondaire. ntement à une constriction )duite par l'attouchement l'après le même auteur et illiS côtés; la circulation est et la circulation se rétablit tère collatérale; en bas, il côté des capillaires et des tÎ|l.\Ntilî)ll-ÏN'I'S \lt'l ltll.li Il. \'\î-'tl'l.\llllî$ tt\.\'> l.'lNl"l,\U.\l‘i'liHÎ5. Nous supposons connues la structure, la contractilité et l'él asticité des vaisseaux, ainsi que le ralentissement normal du cours du sang dans les v aisseaux capillaires. Nous rappellerons seulement ce point important, a savoir, que dans ceux-ci la couche périphérique du sang qui charrie les globules bldllt'b' circule plus lentement que la couche centrale des globules rouges. (‘!) [laut/étui; l/t'/‘ x}:ccz't[{m I‘ut/go/oyù o…l 7'/,g…p/ç_ l‘îl‘itiim en, ISM, t. ], p. 37. |