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Show IALE. ANATOMIE l'A'l‘lIOIJXJIQUE SPÉC Ii38 . s les e [ vanchemcats 1 par rupture, .]' couleur de rouille. Dan" plus au tout re, d'oc e jaun d'un teinte es t-elle me une couche de gelée bonne par tie coagulée, qui cnto…œ, com '_y a une certaine quantité de sang, en " """ "' \ …". separe du Cdlll0[_ r . serum du sang peut alors etre en partie de grosexlle, la surface du cœur; le ôMMAMM Mes" assez rare. Elle a été plusieurs fois reconnue pendantla L'hydro-pneumopéricarde est une affe ction llement par les 111] mélange de gaz et de liquides agités continue vie par les signes physiques fournis par celui de la mm: d'upré 5 M. Bouillaud, un bruit qu'il compare à mouvements du cœur; ce qui produit, div ent être variés et se composer d'un mélange de bruit de d'un moulin (1), et dont les phénomènes peuv e là quelque de cré pitation et de tic-tac métallique. En général, il exist de e altération remarquable est, dans le plus petit nombr analogie avec les signes de pneumothorax. Cette et provi ent ordinairement d'une communication anormale, des cas, due a une pneumatose primitive, renfer me de l'air. Parmi les cas de pneumatose primitive, directe ou indirecte, avec quelque organe qui fait rapporté par Stokes (2). nous citons, comme un des plus eur ieux, un ardite aiguë avec cxsudatiou surtout plastique et bruit Il s'agit d'un jeune homme atteint de péric mmodé. Deux ou trois jours plus tard, il avait l'air de frottement bien marqué. Il paraissait peu inco extraorsse extrême et d'une insomnie causée par un bruit £lS‘Ç co frottement, de gargouillement, êti épuisé, et se plaignait surtout d'une faible du malade de dormir. Cc bruitétait un mélange dinairc dans sa poitrine, qui empêchait même la femme . / , . . et de Unternent metallique; la percussiony confus de frottement, de crépitation, de gargourllement ft‘:lé. Au bout de trois jours, ces symptômes donnait un son tympanique, semblable au lnuit de pot descence et a finalement guéri. avaient disparu, etle malade entra peu a peu en convt a un vieillard de soixante-treize ans, qui Fürster a résumé le cas observé par Horst (3), ayant trait pas encore les signes de la putréfaction; meurt dans un accès de dyspnée. A l'autopsie, on ne trouve tumeur remplie d'air, qui, ouverte, donne après avoir enlevé le steruum, il se présente une grande était rempli. issue a un courant de gaz. C 'était le périearde, normal du reste, qui en le est la cause de cette pneumaMais, nous l'avons dit, le plus souvent une (: ommuuication anorma de v ingt-cinq ans, chez laquelle tose. Graves a observé un cas de pneunmpéricardite chez une femme e avec l'estomac, et par une autre, à travers le dia- un abcès du foie communiquait par une ouvertur it, outre le gaz, de nombreux pln‘agme, avec le péricarde, qui était fortement enflammé, et renferma cès du foie, qui, par le second produits pscudo-membraneux. L'estomac avait d'abord fourni l'air a l'ab le mê me endroit un fait qui tt‘DJCL fistuleux, l'avait transmis au péricarde. Stokes cite ensuite dans appartient a Mac Dowel. signes d‘une perforation pulmonaire, Un gardien de police, âgé de vingt-quatre ans, meurt avec tous les . ' w r . \ . « . , : _ e, ollrant une ouverture hstuleuse qut et montre, a lautopsre, le pcrtcardO tres (listendu et enflamm les deux poumons étaient farcis de communique avec une fissure du lobe supérieur du poumon droit; l'air dans la trachée, on pouvait le Voir tubercules nnl1an‘es et enllannnés a la base. lin insutllant de penetrcr a travers le liquide contenu dans le pértcarde. CHAPITRE ll. .\l.\l..\t)lES un t..\ suusrixcu ('.tt.\lt\t ti ou (.o‘tfltt‘. % l. - Du poids et «les dimensions du cœur à l'état normal. coeur, il est nécessaire de donner Avant de décrire avec détail les maladies de la substance charme du pour qu'il soit possible de fixer une courte esquisse des dimensions des diverses parties de cet organe, vagues de coeur gros, de ventricule la limite entre l'état physiologique et l'état morbide. Les termes d'idées exactes des altérations corresÉpiiissi, de valvules rétractées, etc., ne donnent à coup sûr pas er. pondantes, et ne sont point 'a la hauteur de la précision de nos méthodes actuelles d'observ _ _ _ _ tl1lficulté de trouver pour l'homme un 000… l""I…" longtemps on a senti a la lois la necessite et la \' '- . . _ ' i \ . (l) lrut'ltî clinique «les maladies r/u ana)". l'.n is, 18h 1. <)\ lima/./æzluz '. . ' . (f(S , Ilecho, .. _ aux {lent l;nglzse/uuz - - t-, t'on Linzlu'm'nl. \\ ttl‘zl)\ll"", 1555. p. lt). _ . . <, , tl. : ', 'ôi [laudbue/ d…. " l"'"""'t/'-""" "'…1WW. l1"'l)ZIL-'. Wah, p. ÜûÜ. - Journal de médecine, par l'lttft'lüll HM Ÿ ! X. ( ' (_ w: ( € ‘ .‘t L ."{‘ë ,. ËÎ…5.» 4 | .; ‘ " °I‘"…"‘ |