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Show DE L‘HYPÊRÊSHE ET DE L'INFI.AM)IATION. 33 produisent, nous sommes a qui se passe à partir de ion et la généralisation, encore plus d'un rapport u). s et miasmatiques, nous ité de virus sypliilitique ltère si peu l'état général ible du poison qui peut ;i douloureuses, propor- plication ne survient pas, tt toxique introduit dans Et encore ces maladies, tOUS les comparons à ces x, farcineux et morveux. ladies, nous avons affaire / - _ r rougeole et (la sœrlatine, dont la manifestation locale est une inflammation de la peau, se rencontrent (l;1en plus frequemment chez l enfant que chez l'adulte. Parmi les inflammations il marche chronique, les l,îïÏi…fÎ5 de Ita facî elt (Ëu cu1fr chevelu prit également une prédilection pour le jeune âge, tandis que srpe e spon ane e a ace, rcquent p us tard, est rare à cette é )0( ue de la vie. Ch ** ' ' la diathèse inflammatoire est plus manifeste encore que chez l'adulte}, ei1 ce sens qu'absîfdcïibîîl'fhft'éhd'é la propagation directe, on observe une véritable tendance a l'apparition simultanée ou successive de phlegmasies, même éloignées les unes des autres, n'offrant d'autre rapport avec la première que cette disposition inflammatoire générale que nous cherchons à établir. La grande mortalité par les phlcgmasies aiguës des voies respiratoires chez les vieillards a frappé tous les patlwlogtstes; personne n'ignore la fréquence des phlegmasies chroniques des voies urinaires pendant la vieillesse. La marche insidieuse de tout travail inflammatoire, a cette époque dela vie, jette sur ces affections une obscurité que l'on ne pénètre qu'à force d'examiner les organes avec une grande attention Quant aux maladies cérébrales, si fréquentes pendant la vieillesse, nous les croyons rarement d'oriflné phlegmasique. U Nous citerons comme dernier exemple d'une physionomie particulière imprimée aux symptômes et à la marche de l'inflammation, celle qui survient pendant l'état puerpéral. Quelques-uns de ces caractères \ spec1al aux phenomenes spec:auxsont : une prédilection pour les organes du petit bassin, une disposition à l'extension et a la s‘appuration , une marche fort grave, une altération profonde de l'état général, lors même que les loca- les voies respiratoires ou roupe de maladies dans torbides qui, parce qu'ils lisations sontpeu étendues, la mort enfin dans quelques épidémies, par une affection puerpérale presque dernes. Telles sont pour 15 ne voyons-nous pas se te de celles qui sont la tuberculisation provoque deux. Beaucoup de can- use dans les voies respi- sans localisation. Nous venons d'établir l'influence modificatrice des conditions dans lesquelles une inflammation sur- vient. L'organe dans lequel l'inflammation se localise exerce également une influence marquée sur sa marche etses terminaisons. Nous nous contentons de signaler ici ce fait, que nous établirons ailleurs et d'une manière plus détaillée. ' Les remarques précédentes font entrevoir le point de vue auquel nous nous sommes placé. Abordons maintenant l'exposé des phénomènes locaux phlegmasiques. .\ RTICI.E PREMIER. u même fait, car nous ions nullement avec les phlegmasies se localiser, es glandes lymphatiques, DE , L.\ LOCALISATION l.\'Fl..\)l)l.\T0lltfi. . Les etudes expérimentales sur l'inflammation ont déjà fourni des résultats importants, et ont prouvé tom le P…" que la médeCine pouvait tirer de la pathologie expérimentale. Cependant, malgré les nom- breuses recherches entreprises dans cette direction, il reste encore beaucoup a faire, et c'est dans ces nt la localisation inflam- derniers temps seulement que nous avons appris a connaitre le véritable mécanisme de l'altération circu- nportantes à étudier, ce ge de prédilection selon lat01re dans linflammation. Nous croyons aussi, pour notre compte, avoir fait un pas dans l'expéri- mentatton en menant de front celle sur les parties diaphanes et celle sur les parties opaques. On peut suivre, dans les premières, etjusque dans leurs moindres détails, les changements initiaux que subissent ‘ rapport aux autres âges git de la première ou de daire, sont des maladies pneumonie est souvent Jassé la première année. la première que pendant les artères, les vaisseaux capillaires et les veines; mais, pour l'étude de l'exsudation et de la pyogénie, on chercherait vainement a les observer expérimentalement dans ces membranes minces et transparentes. En général, l'expérimentation seulea conduit a de nombreuses erreurs dansl'étude de l'inflammation. On ne peut éviter ces fausses interprétations qu'en combinant l'expérimentation avec l'anatomie patho- logique proprement dite, et en mettant l'une et l'autre en parallèle constant avec le résultat de l'observation au lit du malade. Dans l'expérimentation appliquée d'une manière isolée, on n'obtient des chan- gements circulatoires que par suite d'une irritation toute mécanique ou chimique, et dans cette derniére La broncho-pneumonie, lt le jeune âge; nous la action on a encore l'inconvénient de troubler l'action physiologique proprement dite. Quelle que soit la ver de nouveau chez les the de son travail sur le mation traumatique, tandis que l'étude de l'inflammation dite spontanée est indispensable pour ce…- prendre le travail phlegmasique dans toute sa portée. C'est ainsi, par exemple, que la stase que nous te maladie est bien plus voyons survenir si facilement dans les expériences sur la circulation n'est pas démontrée dans l'inflam- mt le monde sait que la sagacilé que l'on mette dans le choix de l'agent irritant, toujours est-il que l'on n'obtient que l'inflam- mation chez l'homme; je dirai plus, elle ne doit être que partielle et incomplète pour que les phénomènes AMT. l'A'lllttl..--l'° l.l\l‘.. " |