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Show confluence de [ délimitée de la lA LE. AN ATOM l E PATHOLOGIQUE SPËC 608 bronches (lil atées peut être sain, mais le plus ordinairement Enfin le tissu pulmonaire qui environne les cat n ifié, plus rarement hépattsé. il est malade et privé d'air, 0 est-a-dire congestionue ou du tissu environnant, » L'abondance de la sécrétion, la phlegmasie de la mu‘lueüse' l'imperméabilité treis se reumsseut le plus ence de la dilat ation des bronches. Toutes . . . \ . ' ' . - . ! ' sont les trois conditions d'exist is aucune d'elles n'est absolument nécessaire. La souvent et accompagnent l'altération du calibre, ma rméabilité du tissu, est la moms indispensable, mais première, celle qui manque le moins souvent, l'impe par quel mécanisme se produit la dila- peut suffire à elle seule. Quel est le r ôle de chacune d'elles, et d'une manière tonte physique par la tation? Comme nous le disions en 1838, elle peu t s'expliquer _ r . . puiiil cotes sans cesse poussées par les efforts sécrétion abondante et le séjour prolongé des mucos1tes .Aussi, lorsque la mort est survenue très inspirateurs des gros canaux bronchiques dans les plus petits avons recueillis nous ont confirmés rapidement, la dilatation est très rare. Les nouveaux faits que nous Fauvel. dans cette opinion, qui a été partagée par M.". Grisolle et suffit pour indiquer son influence p…» D'autre part, la fréquence de la phlegmasie de la muqueuse ance des tuyaux bronchiques, créatrice. Il est possible qu'elle favoris e la dilatation en diminuant la consist les muscles circulaires de Reissessen, et ou, suivant l'idée du docteur William Stokes, en paraly sant on. A cette action il faut joindre sans doute c elle qui résulte de l'affaissement surtout en activant la sécréti s pleurale et bronchique des vésicules pulmonaires. En se rétract ant, le tissu intermédiaire aux surface re, et, d'autre part, la tend à les rapprocher, et détermine ainsi, d'une p art, la dépression de la premiè latation est en général plus consi- dilatation dela bronche au niveau (les tissus condensés. En effet, la di de la surface acquérir dérable dans les tissus carnifiés, c'est même là que tions avons vu les bronches vait un épithéli mais on peut tt d'eau. On trou les préparation tout près des v. une hypérémie l'état normal. ' petits abcès d01 « Garçon de du lobe inférie des taches jaar affaissées, sont ne les a pas vi« présente, à l'e. parties violette afl‘aissées; la p fond de l'eau. Nous avons « naire, toutaul du travail sur la phlegmasie manque souvent, en plus d'un centimètre de circonf'érence. C'est dans ce cas aussi que dans un tissu cmmfie. sorte que la dilatation n'est pas rare sans inflammation de la muqueuse _ _ ‘ , _, -_ \ "A \ _ . . . . . . biOiitliés paiaissent etre luge de » Les autres conditions qui favorisent l augmentation du calibre «les s lorsun trois à cinq ans, et surtout la durée de la maladie. C'est a peine si l'on constate des dilatation Voici l‘extrait laquelle le mi Cette infiltrati maladie. La consti- la mort est arrivée après un septénaire, elles sont fréquentes après quinze jours de examinées à le seulement. De nt que la faiblesse favorisàt la tution de l'enfant paraît avoir moins d'influence, il serait possible cependa dilatation. dans la » Telle que nous venons de la décrire, cette lésion ne saurait être comparée a celle qui existe tre plus ou moins bronchite chronique. Elle est mécanique, aiguë, non permanente, et doit disparaî disons plus ou moins rapidement après la terminaison de la maladie qui lui a donné naissance. Nous leur rapidement, parce que l'insufflation pratiquée dans les tissus congestionnés ne suffit pas pour rendre la dilatation aiguë soit calibre normal à des bronches dilatées. Aussi est-il possible de concevoir que l'origine de la dilatation chronique dans certains cas où la lésion a été telle, que les bronches ou le parenchyme n'ont pu reprendre leurétat normal après la disparition de l'état aigu. » franchement p D'après les supérieur ou ( supérieur gau droite. Chez it a tous les âg réunies par ce nous l'avons \ l'opinion de ! ence de la Nous parlerons tout à l'heure d'une des altérations des plus fréquentes, qui sont la conséqu décrit cette lé ie, bronchite, et sur la nature de laquelle des travaux récents ont considérablement éclairé la patholog c'est-à-dire des altérations du tissu pulmonaire lui-même et de son affaissement autour des vésicules regarde comn et avec elles: mais il nous faut dire deux mots ici d'une altération que nous avons déjà décrite nous voulions en 1845 (l), et dont nous avons observé depuis un certain nombre d'exemples; nous voulons parler de l'inflammation isolée des vésicules pulmonaires. Nous verrons plus tard, à l'occasion dela pneu- de la surface dilatée ou d'i monie, que cette maladie se passe principalement dans les vésicules aussi; toutefois elle est généralisée aurons occasi Nous arriw et offre des particularités que nous ferons connaître en leur lieu. L'inflammation de vésicules pulmonaires isolées s'observe surtout à la surface du poumon; elle est a son siège (1; caractérisée par une exsudation plus franchement purulente que ne l'est le liquide des petites bronches, ce qui tient probablement à ce que la sécrétion muqueuse cesse dans les vésicules. A un examen inat- enfin comme tentif on confondrait facilement cette affection avec des tubercules miliaires jaunes. Les vésicules sont distendues et offrentjusqu'au volume d'un grain de chanvre ou d'une petite lentille, et leur forme est arrondie. Lorsque le volume est plus considérable, leur forme est plus irrégulière; c'est qu'alors il y a … Up. fil., i. "aire, uffecth bien apprécie/ l'-':' Un !/m pat/1 … Ift't‘/tt‘l't‘/tus .axA'r. l'.\'t (1) Physiologie pathologique, Paris, 18115, t. I, p. 127. |