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Show .\NATnniE l\\'l‘lth0tllQUE t".iä.\‘iäitAl.E. 68 , ts hémorrhagiquæ_ toucher la question de l o t-ganisatl0n des produi Avant d'aller plus loin, nous devons qu e les‘ caillots _ sanguins . _ _ pensé et pensent encore Beaucoup de physiologistes et de patholo gistes ont ' 7 t y 8V01r ion complete pouvai y penetre1, qu'une nutrit . I p0uvaient s'organiser, que des vaisseaux pouvaient tissu ou Oraa r un veritable d de . héiiiorrliagique c ne ‘ susceptible ait event ét lieu, qu'en un mot, le produit dérive… qui _ produ1ts de ' . nombre es, un tre 5 grand accidentel. Nous avons examiné, depuis bien des anne . ,cadlots. En cas la vasculansat10n_ des d'un épanchement sanguin, et rien ne nous autorise a admettre ui rs de diagnostic; pareil, il ya eu le plus souvent des erreu et . - [) ‘ \. ‘ 8 - I . , , des fausses membranes 1mb1bees de sang, des tout autre structure, ont ete Prises tumeurs qui avaient l'apparence de caillots, mais qui ofÏraient une formation d'un caillot en cellules de pour des caillots organisés. Nous n'admettons pas davantage la trans " du les globules blancs ou rouges diverse nature. Les matières solides d'un caillot peuvent se ramollir, tr gt] la matiere colo-sang peuvent ainsi être mis en liberté, des globules hématiques peuvent se former avec blanœ rante, les globules sanguins entiers peuvent s'agglomérer et s'entourer de membranes, les globules peuvent se distendre par imbibition ou subir l'infiltration gianale-graisseuse avec augmentation de pa rien ne volume, fait que nous avons plusieurs fois observé dans des anciens sacs anévrysmaux; mais [18 (lL preuve, dans l'état actuel de la science, qu'un caillot puisse donner naissance a une formation cellulaire nouvelle, à un tissu nouveau bien organisé. Quant a la transformation cellulo-fibreuse, si fréquente dans des caillots intra et extra-vasculaires, loin d'y voir un phénomène d'organisation, nous n'y voyous, au contraire, qu'une décomposition, en ce sens que tout ce qui peut se résorber disparaît, et qu'il ne reste qu'un résidu fibrineux a l'état de condensation et de desséchement, pour ainsi dire. Avant de jeter un coup d'oeil sur la physionomie de l'hémorrhagie dans les diverses régions du corps, nous allons passer en revue rpœlques-unes de ses causes, en renvoyant pour de plus amples détails sur ce sujet aux traités de pathologie générale. La cause la plus générale est la polyémie, l'état de pléthore, dans lequel l'abondance proportionnelle du sang,[ prédispose tout naturellement a une trop grande plénitude locale, avec rupture facile d'un vais- seau; l'épistaxis, une menstruation habituellement très abondante, le flux hémorrhoïdal en sontlesrésut tats fréquents. L'liypéréiiiie locale donne lieu a des hémorrhagies qui, ordinairt ment, ne sont que capillaires et peu abondantes lorsque cet état a passé a l'hypérémie vraiment inflammatoire. Ces hémorrhagies capillaires ont surtout lieu alors, lorsquela plilegmasie occupe des régions vasculaires voisines d'une surface interne délicate, telles que les vésicules bronchiques dans la pneumonie ou la membrane muqueuse des intestins dans la dysentérie. L'hénmrrhagie est un peu plus abondante lorsque l'liypéréinie locale est constituée par une déviation du flux menstruel ou hémorrhoïdal, cas moins fréquents que les anciens ne le sup- posaient, parce qu'ils méconnaissaient souvent la cause organique, tuberculeuse ou autre, d'une perte sanguine, cause que cependant, en bonne observation clinique, on ne saurait révoquer en doute. L'hypérémie locale, enfin, devient la cause d'hémorrhagies difficiles à arrêter lorsqu'elle est causée par ce dé- veloppement vasculo-érectile qui, ordinairement, trouve sa source dans une augmentation locale des vais- seaux, avec dilatation et amincissement de leurs parois. La rupture alors a lieu par un afflux trop grand en proportion avec la petitesse des vaisseaux déférents_ Une locale h autre _ , altération 'b 1 | , des parois vasculaires, qui devient volontiers le point de départ de l'hé- morr ame : o ocre ra e , est e de tMM de 1)l‘)( ' (l[ues" d 'fabord fibiiiieuses avec des éléments gras qu1- constituent plus tard des plaques dures composé e" ' e branules Saints et de cholestérme et autour desquelles les pâ_ , l . . ascu anes s ati0phient. La pui [ton atroplnée se dechire alors facilement sousl'inf1uence d'une forte " l‘OlS \w ‘ . . ‘ < . . , . . ' _ , - pressmn sangutne. Une autre forme d'atrophie Vascul ' ' . .. r 0‘ . : . . \ I ane peut egalement donner lieu a des pertes sau- *, , ' laquelle -, foune . . . . bUuines:. c est celle dans Il' se des dllataltol]SfUSIf()1‘mes Ou latérales, des espèces d'anévrvS- . , _ _ mesrmsern 1 e Contient d ;. 1iisles_ pet1tsvaisseaux ausm bien que dans les grands, etdans lesquelles Virchow a nus hors de doute l'atrophie de l'élémen t musculaire des vaisseauv Tous les vaisseaux. d‘L iirauve' llc* ioim ' ‘ at10 ' ' n ayant des parms plus minc ' ' es que des vaisseaux plus " . , anciens, . , e,_ . , iOiiipi -'… a: se ‘3. ' p0scs <.ont pitdis de la la frequence de l'hénmrrhagie ans les prodmts vasculanses de 1 iiid llammatwu et dans les tumeurs très vasculai _ _ . . . -r es. aires s'altérer par vascul parois les VOIP de late plus €" " " , … ] ui e ( maladi suite d'une . | La a . .aque de dehors en dedans, telle qu'une inflammation propagée par liexlen_ J‘. -'.rii: ..,'- _À= . _ \_ " ' -N ' .« ' ,. ,: "' ‘4 vu 4 un, -4_.. +.,,, :w:…:v<-w:w:'.- - ' ".1_..‘;‘-Av:.æut.çuyt;-«'ugagæç>‘u_4-u__u‘îf-J,u4 - . ÿ -, »4-. l:4-A.t,4-A, 4.-_3 nc sit fo … (lt |