OCR Text |
Show . ;.3 us.-« ;, .*.".+..;. »»._ . 5 ne pouvons nous abstenirde >eaucoup plus de mé nagements les modifications de la sécrétion ; traits principaux pour la mu- ais nous préférons le terme de ':cent, la membrane muqueuse violet. Cette rongeur peut être deput neuf mors, chez lautre depurs deux ans; chez , . toutes deux elle etart caractérisée par les . . . symptomes suivants: La vorx étart complétement éteinte; quelque effort que fit l'enfant, il lui était impossible d'articuler aucun son; lexploratton de la gorge ne fournissait que des résultats négatrls, le larynx n'était le siège d'aucune douleur; la respiration était facile, sans sifflement. Cependant, chez l'une des deux malades, le stéthoscope, appliqué sur le larynx, faisait entendre un sifflement trés fort, , 7 - . . . - perceptible dans les deux temps : ce bruit était très rude, on aurait dit que l'air heurtait contre un obstacle placé sur son passage. Ces deux enfants passèrent plusieurs semaines à l'hôpital; c'est en vain qu'on employa les vésica- toires répétés, les sangsues, les frictions avec l'huile de croton, les fumigations aromatiq ues, etc., on ni, examiné à la loupe, montre n'obtint aucun soulagement; elles quittèrent les salles dans le même état qu'au moment de leur entrée. :lques petites ecchymoses pro- Nous avons trouvé darts l'ouvrage de MM. Trousseau et llclloc l'observation d'une jeune lille de quatorze ans, qui a la plus grande analogie avec celle que nous venons de citer, et chez laquelle les cautérisations laryngées, pratiquées par la méthode des auteurs, eurent un plein succés (2). En consultant les faits publiés dans les journaux de médecine, c'est a peine si l'on trouve trois ou quatre observations de laryugite chronique chez les enfants. Du reste, Frank avait déja fait cette remarque : « Si infantes phthisi larvngeæ verrereae affectos excipiam, fateri debeo omrres ;egrotos pubertatis » epocham superasse. » rn peu tuméfiée, un peu plus se détache. Lorsque l'inflam- 5 cordes vocales, la muqueuse diffuse, moins l'altération est agérée de mucus qui devient te forme les concrétions fibri- ation épithéliale persiste peu0 retour de la muqueuse à son â M!. -EN- En lan-_vngilc [memalu-unemhuuusueur-w. perficielles, quisiégent surtout Bien que le développement de la laryngite croupale soit beaucoup plus rapide que celui de la forme catarrhale, le début pour les phénomènes locaux est cependant à peu prés le méme. L'injection est . leur commissure, rarementà d'abord vive, et elle s'accompagne bientôt de petites ecchymoses. L'exsndation, qui survient de bonne une tendance à des altérations t d'abord à de simples fissures rr les bien voir. La muqueuse ords devenant plus saillants, lcérations catarrhales simples lue le catarrhe laryngé est la ‘he est consécutif à la rougeole heure, a lieu à la fois à la surface et dans le tissu sous-muqueux, qui s'infiltre de sérosité. L'exsudation de la surface forme avec le mucus des pellicules plus ou moins étendues, qui recouvrent d'abord le trajet des vaisseaux. La muqueuse s'épaissit et se ramollit, les flocons pseudo-membraneux se réunissent et forment des expansious plus étendues. Ces fausses membranes peuvent, dans les degrés moins intenses, renfermer une certaine quantité de mucus et (l'épithélium, et c'est la variété qucj'ai désignée, dans ma Physiologie pathologique, sous le nom de muco-fibrinettsc, pour les distinguer de celles plus franchement fibrineuses, plus coriaces, plus résistantes. tt, et dans des cas plus excep- reut aussi devenir chronique: t :ntôt d'un gris ardoisé, tantô Dans la première variété, la consistance est moins dense, moins élastique, plutôt gélatincuse, quelquefois difiluente sur ses bords. A mesure quela fausse membrane devient plus étendue, au moment où la muqueuse perd déjà de sa rongeur intense, elle se moule davantage sur les parties malades; les petits grains et plaques qui existent autourd'elle se joignent à la masse principale, qui, d'abord rubanée, prend : avec l'autre; elle e5t épa'SSle' bientôt la forme d'un cylindre et petit s'étendre alors au loin dans les ramifications bronchiques. |) apres equefois entouré d'un cercle . ou . . . rs aussi éparssr; quelquefo seeretrou e la muqueuse. La les relevés de MM. Billietet Barthez, la pseudo-membrane ne dépassait point la truchée dans 78 cas sur 120, tandis que 42 fois elle envahissait les grosses bronches. Il est trés rare de voir la fausse mem- brane dépasser les bronches de troisième et quatrième ordre; cependant, dans quelques cas, tout l arbre trouve, )ituelle y a lieu, et l'on respiratoire peut en être revêtu, mais ordinairement la bronchite pseudo-mernbraneuse est une allectron savant[ as épithéliales detachée peuvt:jfl ulcérations variées tro éra us \! l'occasion des ulc rentes du catarrhe tout 'a fait indépendante du Group laryugo-trachéal. La teinte des fausses membranes muco-purulentes _ _ mélee , de , sang. _ ._ , \ pc on y reconnait est d'un jaune . ‘ une- sub: pâle, quelquefois - tance ,,"élaltltttîtlstb Au rnrcro>co f'1) 'Il'[rilédés‘maladies des enfants, ‘." édition. l‘arîs,1t‘-Sîl, t. !, p. 382. pulmotl aire ! -.=.r 3."v*z.:r ". . \ tement pure, Il ny matt aucun . . symptAome d'affection . tuberculeuse. La maladi. e existai t chez l'une 'S -‘ y' ‘ . (2) 7rartcpr-rzquuc de[rrp/r1/rrsrcltu'yrrgec. Parra, 1<\,..7, obs. X.\.\IV, p. .$-l. ANAT. r.…ror..- 17' mrc. ": "ha-_ ples. La comb inaison de l'état de dire que des lésions aussi ment du domain e de l'hygiène, A ans 1 a circulatio n, et il peutse .3s5 et se propage de là aux ramific etions bronchiques. La larmgite catarr halo chronique est assez fréquente aussi chez l'adulte, surtout chez des personnes qui oirt be aucoup fatigué leur voix. Le plus ordi- nairement on l'observe chez les tuberculeux. P endant l‘enfance, la laryngite chronique essentielle est très rare; MM. Billiet et Barthez (l) 9 n en ont observé que deux exemples. Voici ce qu'ils disent à ce SUJ€t: « Dans un de ces deux cas, la mal adre avart succede a une laryngite aiguë; dans l'autre, elle était survenue spontanément. Ces deux e nfants étaient deux jeunes filles âgées de treize ans; elles / ; r . étaient bien constituées, leur_ santer genera ; . . le etait bonne, leur appéti t excellent, la resprr atron parfai. - - ' ' y.' ...-.Aæñ. nt à l'hypertrophie . D' autres MALADlES DL' LAItYNX ET llE L,»\ TltAtllllîl*l. BAÂ\ ÂÂvÂA,'AAAA/"Ï mais aussi sa tranre est hyper itôt par des dépôts cellulaires y prendre naissance. Le tissu ve |