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Show -'., v…= r-Vnh_ÿ-,n+…r.-br ,.. », - …… ‘. >."< ; "‘ . rsr‘ . ., e différence moin s e, a existé dans les nes communiquées , .* plus fréquemmen t age, on & divisé la dion nette entre ces ] variée. La division 3 l'engouement, de té ceux de ramollis- servons quelquefois semblance entre le conlocutions et des a bientôt embanas ncipal est dans les ,; >, ">; .' MALADIES DES BRONCIIES GAS membraneuses plus étendues. Il n'es t pas rare de trouver, dans la cavité pleurale correspondante, un épanchement sérenx. La teinte du poumon hépatisé est d'un ronge-brun ou couleur d'acajou, marbrée de points jaunes ou d'un jaune gl'l5âll'eê Il OSl parsemé en outre de tache s noirâtres qui, àla surface sur tout, circonscrivent quelquefois les polygones pulmonaires élargis. Si l'on recher che à la surface pulmonaire, recouverte seulement de la plèvre normale, l'état des vésicules, (… …)… e celles-ci sous forme de granulations jaunâtres, du volume d'un grain de chênevis , réunies par petits groupes formant même des grappes, qui occupent toutes les vésicules d'un lobnle. C'est alors que pour l'observateur attentif la resse mblanc e du poumon avec la structure glandulaire est bien manifeste. Les intersections lobulaires sont plutôt effacées que nettement visibles. Le tissu pulmonaire hépatisé est plus compact, plus pesant, mais il a de plus en plus perdu son élasticité et se laisse encore plus facilement pénétrer par le doigt qu'à l'état d'engouement: aussi M. Andral nous paraît-il pleinement autorisé à désigner cet état comme un ramollissement ; seulement le terme de ramollissement rouge nous paraît moins heureux. Si l'on tenait à désigner sous un nom spécial cet aspect, nous lui donnerions plutôt le nom de ramollissement granité ou marbré. Dans cet état le poumon n'est pas insufilable et va rapidement au fond de l'eau; mais lorsqu'on soumet un morceau à une pression douce et prolongée entre les doigts, ou peut presque le vider complétement, et l'on en est aussi bien inter- lastique environnant 1dral, Louis et liasse , et Bokitansky n'a Sur une coupe fraîche, ce tissu offre une hypérémie notable de toute la partie vasculaire : de là son fond rouge, couleur d'acajou; et l'on trouve en outre l'élément caractéristique de l'hépatisalion vraie du poumon, de la véritable exsudation vésicnlaire, savoir, une multitude de granulations dont tout le tissu pulmonaire est parsemé, et dont le volume varie entre celui d'une tête d'épingle et celui d'une graine de lin. Les granulations les plus petites sont arrondies, sphériques, saillantes, et si l'on avait besoin pale, en introduisant encore de chercher aujourd'hui des arguments contre la confusion inextricable que M. Bourgery a : notre nomenclature introduite dans la description du poumon, la saillie des granulations closes de toute part sur une coupe de poumon hépatisé serait une preuve irrécusable de l'existence et de la délimitation des »nie, on rencontreà vésicules. Les granulations, plus volumineuses, ont des contours moins réguliers et tirent proba- le tissu pulmonaire blement leur origine de groupes Vésiculaires rapprochés ou primitivement ou par suite du travail exsu- un rouge plus foncé, datif et de la destruction de quelques cloisons. Ces granulations ont une couleur jaunâtre, tirant : sérosité rougeâtre. des petites ruptures sur le gris, et ne sont nullement rouges lorsqu'on les a bien abstergées au moyen d'un filet d'eau. Lorsqu'on les pique avec la pointe d'une épingle et qu'on les comprime ensuite, on en fait sortir un es. Cette espèce de i dans la pneumonie petitbourbillon semi-liquide, jaunâtre, et l'on voit alors que la paroi des vésicules reste rigideret béante. Si l'on passe le dos du scalpel sur la coupe fraiche, en appuyant un peu fortement, on fait eclater une rolongée. multitude de vésicules, et on enlève aussi des granulations isolées ou disposées en grappe, q… paraissent quelquefois comme implantées autour d'un corps cylindrique. Délayés dans l'eau, ces élénients'res‘lent ci se trouve dans les igidité, ainsi que le lcoup plus granuleux matière exsudative; taire, a en partie son la trame fibreuse des , s'accompagne tout ne des parties restées Ces parties malades ent l'impression des rdinairement rouge, dans ases; la plèvre, , ou recouverte déjà nsrous >rmer des expa séparés, et l'on peut facilement se convaincre, au moyen de l'examen microscopique, fl" '] 5 agit la de véritables moules internes broncho-vésiculaires. courb 65 une't s ' des o i"eaux encore de ce fait, ' ' en prenant avec On peut avorr ' ' une preuve plus directe _ , . tranche de la substance granuleuse du poumon hépattsé; ,. en létendant sur une lamcfd (3 verre d ; on vor es _ ., _ de vesrc , - ules. en 0 rme e g ra PP , parfaitement les vésicules, et, par places, les petites bronches entourees remplies d'une substance à demi concrète. cette lIldll ' ‘ ' . ' ' ] d . ex . bu(latl0n (] ' ' ' . ' llh€llutfi llellls llll(l]thslîH p ] q "es , de plus ft)I‘is % rt)sslbsel J X & \"lmcl]l€u d () l | [, l El l )iUpflI‘t des Cellules f)nt ("| L l OU \ 8 Sllbl une l mins … ' ' pa r un mela * ' est forme granuleuse abondante. Le reste de cette substance lnfillratlOn ' ' q , sang P"Fulentes des mieux caractérisées, d'un liquid e granuleux à demi concret et de globules ' ndues en ete par places, constituent de petits épanchements capillaires. Lorsqu'on soumet les tranches, deux verres, . . entre couches minces, à l'action de l'acide acétiqne, qu'on laisse pénétrer par. capillarité il 1 este de nombreux on reconnaît mieux les petites terminaisons bronchites entourées de vésrcules, et n0yaux des cellules purulentes. 162 ANAT. rn'rnoL.-19" LIVR. '\/\' ns les cas les plus de l'expectoralion. fait sortir des granulations et des vermisseaux qui sont le moule intérieur, pour ainsi dire, des vésicule s et des bronches capillaires. Jr-JO\ lies; elle devient de |