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Show n»'"MÂÂ&EMAA' 'Y' \""l". '1‘ 'i'.t.‘ * mas rxuxs1rns \‘iët‘.iäT.\ix ET x.\‘iiixin. 399 partie palmaire du carpe; on les trouve en outre sur divers points des mains, des bras, des pieds, du par le fond thorax et des organes génitaux de l'homme. Le siège des sillons est dans les parties profondes de l'épi- derme; le derme, cependant, est intact. Un y trouve, entre l'acarus femelle adulte, quelques œufs, parfois et dans des fèces, et exceptimmellmnent des acarus jeunes et iiiC0iiipléteineiit développés, ll n‘_v a pas (l'éruption . comme avoir in- spécifique de la gale, et toutes celles si variées que l'on observe dans cette maladie sont dues en partie a l'irritation mécanique produite par les sarcoptes, et en partie a celle que déterminent les démangeaisons le .\l. de et les coups d'ongles qui s'ensuivent. " Déjà en l8i6 .\i. Eichstedt (l) avait indiqué l'acarus mâle de la gale comme étant très petit et ne se mineuse trouvant engagé sous la peau que comme un très petit point blanc recouvert seulement d‘une couche iade. les extrêmement mince d'épiderme. Ce n'est que dans ces derniers temps qu'un élève externe attaché au -même : service de M. Cazenave, M. l.anquetin (2), a trouvé d'une manière plus certaine l'acarus mâle de la 35 qui se en et du gale humaine. Il est extrêmement petit, et son dos, dépourvu d'épines, l'empêche par cela même de i remar- animaux. qui sont du domaine de la zoologie bien plutôt que de celui de la pathologie. Nous ne pouvons le cinq a cependant quitter ce sujet sans citer un fait remarquable qui nous a été communiqué par M. Baeren- vivement sprung (de Halle), et qui nous a été confirmé par le professeur Huss (de Stockholm), lequel a eu l'obli- .es sur le geance de nous remettre une préparation fort bien faite sur ce sujet. Voici en deux mots l'observation : .*… . Avi-" M. le professeur Boeck (de Christiania) a observé, dans son service d'hôpital, une jeune personne .AAA":;AAAA A',\ creuser des sillons. Nous n'entrons pas dans plus de détails sur l'anatomie et le développement de ces L des fol- grisâtre, de plusieurs lignes d'épaisseur. Avant et pendant son séjour à l'hôpital, la malade avait donné la gale a toutes les personnes qui l'avaient soignée, elle était ellemême en proie à des démangeaisons idié dans Renucci, très vives et très dél)ilitée, tant au physique qu'au moral. L'examen de ces croûtes nous les a montrées bliés dès cellules épidermiques. Il n'y avait nulle part de sillons. La malade, du reste, aété guérie par des frictions , et ceux sulfureuses. 2° L'acarus du follicule pileux a été découvert en 1842 par M. Gustave Simon, de Berlin. C'est lui au moins qui en a donné la première description complète; il l'a rencontré surtout dans les follicules pileux et sébacés de la tête. Déjà antérieurement M. Henle en avait signalé l'existence, mais d'une manière âment de parasite s pileux, ulte, tout … reconll existe ace inféconiques mgues et ts et arti- ;re pattes peu précise, surtout quant a la description du parasite. Ce petit animal est plus allongé que l'acarus de la gale, il & jusqu'à 1/3 de millimètre de longueur sur 1/16" à 1/20" de largeur: la tête est. composée de deux palpes à deux articulations, et d'une trompe allongée triangulaire garnie de pointes et de soies. La partie du corps qui porte les huit pattes occupe a peu près un quart de toute la longueur; les pattes sont terminées par des petits onglets; des stries transversales existent le long de cette partie du corps. La partie postérieure de l'abdomen est à peu prés trois fois plus longue que l'a-Mérieure, et présente de distance en distance des étranglements. Quelquefois ces animaux sont moins longs, mais c'est surtout le post-abdomen qui a subi ce raccourcissement. Chez quelques individus, il n'y a que six pattes, mais le post-abdomen, alors, est lisse. Il parait qu'il s'agit là seulement de divers degrés de développement. Parmi les divers noms que l'on a donnés à ce petit animal, les deux qui sont le plus en usage sont celui d'Acarus folliculorzmz (Simon), et celui de _‘llacrogastm‘ plu!ypus (Miescher). Un peut obtenir cet animal sur le vivant en faisant sortir le contenu de l'acne srbucm (r."Ulll/JJUIŒS), et en étalant ce contenu sous le microscope. Sur le cadavre il est assez facile aussi d'obtenir ces animaux en pratiquant des coupes verticales minces dans la région où on les rencontre sur le vivant. D'après M. Simon, sur dix personnes . r \ \) gèrement bien portantes a peu près il v en a une ou deux qui ont ce parasite. Leur frequence parait meme plus . les cadavres lorsqu'on i. . . e (ions . _ ' encm les trouve-bon plus souvent ; au moms grande que ne le pense M. Simon - ) r'i..5 ‘\)* gi v - (|…' ont … is e,: hui tits la- peau ' ' Il faut les rechercher surtout chez les personnes . les decouvrir. sait' bien [] devient aux_1oues, dans le conduit siège de prédilection est dans la peau de la face, au nez, aux lèvres, au front, '2à1 ceu- trémités, altère la "? auditif externe, et derrière l'oreille; on trouve quelquefois deux a quatre animaux dans un seul follicule, si qu'à la ( ll ( 2) F7'(H‘iêp'N .\bt[:en, 18!i6, Bd, XXXIX, S. 267. de la peau, d‘après les Leçons cliniques de Gazette des hôpitaux, 18 octobre 1851. - Cliausit, Traité élémentaire des iiialütllres‘ M- A. Cazenave, Paris, 1853, p. 386. «……__ ) comme A _-_,\A\ ice. «- té l'objet toutes entièrement composées d'acarus, ainsi que de leurs œufs et de leurs excréments, le tout mêlé de 'ÂflÂA A!!.Afiyfiffi de soin … couverte de croûtes à la tête, à la plante des pieds et dans la paume de la main, croûtes d'un blanc "'.‘Y‘ _.J actes soit - "t‘ de ces ‘-,4‘.\ l'.' ‘ 2' fente Sphé. |