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Show I-'/ delà d'une seule sa'mn * , '- nous nhes1 o ée de /r 00 a-‘ 000 ' ' 'tons pas non plus, dans grammes, mais des cas exceptionnels, à pratiquer trois ou quatre saignées coup sur coup. Nous donnons le tartre stibié à la dose de 30 centigrammes dans 180 ->c: '.v _1 i.' MALADIES DES BRUNCIIES. 653 saignée, et nous la remplaçons souv ont Pfll‘ les ventouses scarifiécs. En thèse générale, nous ordonnons rarement au PaS que les vomissements soient nécessaîÏsmîes- d'lîau 'dans 1? "illgt-qua'l'e'h'îmes' et "°_us ne pensons des malade parfai qu'on nouss suppor apporttent e presqu u'd')mamen e tement mo…n…bien te…t,unet 51""nous t : c,e1 me efTet' défalq A 1h09… de cas uons" les l……" de pneum la pluPa" oniet 87 ' lasse pauvre que chez urnes et vers la fin de . générales, un travail iidissements répétés, e est donc loin d'être ant, outre les causes . ( 5 al hôpital, nous ne perdons pas, en moyenne, un malade sur vingt, bien entendu dans la pneumonie lobail‘e bien caractérisée. Lorsque les malades présentent les signes d'un catarrhe gastrique inflammatoire ou une diarrhée prolongée, lorsque la pneumonie sprv1ent dans le courant de la fièvre typho'ide on de la variol e, nous remplaçons le tartre stibié par linfus10n d1pecacuanha. Dans la pneumonie typhoïde, nous assoc ions le quinquina au tartre stibié, et nous traitons les pneumonies secondaires chez des individus débilités par de larges vésicatoires et ,. . ,. _ , _ _ ] infus10n d 1pécacuanha. Ce serait depasser les limites réser vées aux remarques thérapeutiques dans cet :sur le fait que, chez ouvrage, que de vouloir entrer plus avant d ans les questions thérapeutiques. Nous tenions cependant à protester contre le nihilisme exagéré de plusieurs écoles modernes, dont les effets fâcheux sur le it comme cause prin- véritable progrès de la science ne sont plus douteux aujourd'hui pour les médecins qui ont à cœur de des refroidissements soulager ou de guérir les malades, et qui, dans ce but, puisent leur instruction thérapeutique aux 085 premiers comme meilleures sources anciennes et modernes dont dispose notre science. c saurions néanmoins CHAPITRE V. ie comme une fièvre ; anciennes, n'est pas DE L'OEDÈME, DE L'APOPLEXIE ET DE LA GANGRÈNE DES POUMONS. n'est que provisoire, tion même qu'on ne iir a l'essentialité des »lus ici de regarder la ou est aussi peu une Nous réunissons en un seul chapitre ces trois états tout à fait différents entre eux, pour ne pas trop multiplier les divisions en chapitres dans cette partie de notre travail; mais loin de nousla pensée de vouloir établir entre eux des liens intimes et artificiels. ë ]. - Dc l'œllèmc pulmonaire. encore à rechercher. Nous ne regardons pas l'œdème pulmonaire comme une maladie idiopathique; c'est un symptôme des maladies locales ou générales les plus diverses, et dont l'état anatomique est quelquefois encore exagéré par l'hypostase et une agonie prolongée. On peut le rencontrer dans toutes les parties du e Bright, l'aliénation poumon, mais ordinairement il est plus prononcé dans la partie postérieure, aussi bien dans le lobe e sur le des favorisent supérieur que dans le lobe inférieur. Le tissu infiltré offre à la coupe un liquide écumeux extrêmement abondant, qui a aussi bien son siège dans les vésicules bronchiques et les bronches capillaires que dans le tissu interstitiel. On l'observe rarement d'une manière aiguë. Les exemples les plus remarquables de paratif entre les sym)nique est entièrement que l'hypérémie seule élange de l'air avec le aires. Par conséquent, onsidérablemeut, et la t parfaitement justifiée ce genre que j'aie observés se sont rencontrés dans la maladie de Bright à l'état aigu, surtout chez les individus doués d'une forte constitution. Ces malades présentaient alors tous les signes d'une bronchite suffocante. J'ai vu un cas fort grave de ce genre se dissiper promptement sous l'influence de saignées répétées et du tartre stibié à haute dose. Ce fait prouve qu'il n'est nullement irrationnel de distingucrun œdème actif, congestif, exsudatif d'un côté, et d'un autre côté un œdème passif, souvent d'origine mécanique. . Le poumon atteint d'œdeme est d'une fermeté élastique, plus rouge qu a letat nomta], quelquefois même violacé. Cette injection et cette hypérémie se rencontrentaussi dans les divisions broncl , nques, ' _ " 7/ ‘ ‘ pi- es bien aussi la res _ivorise la consonnancc avec le ont en rapport ière t varié d'une man lc ] paru de beaucoup , pneumonies négligces itement. ) de notre tra pas la 5 ne pratiquons et les surtout lorsque l'œdème est récent et plutôt congestif, tandis que, dans les hydropisies prolongees états de marasme ayant eu une certaine durée, le poumon est plutôt mou, anémique, fr1able, et la serogarder 1 em- sité qui l'infiltre est plus décolorée. Toutefois je n'ai guère vu les poumons hydrop1ques que le preinte du doigt, comme c'est le cas pour l'œdème des parties superficielles du corps, a moms ] d-e ] ' , . Poumon ne fût comprimé par un épanchement pleural abondant. et danslÎ ,Ëa Îi<lie On observe l'œdème aigu et congestif du poumon autour des parties hepatrsées prononce, tandis que dans 1) re} aiguë de Bright, avec caractère inflammatoire et congestif iGà ANAT. rarnoc.- 19° LIVIt. && "'AÂAÂÂPH état fébrile et toute 5 ce sens qu'agissent affections chroniques |