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Show ÉRALE. ANATOMIE PATlIOI.OGIQUE GÉN de CHAPITRE VIII. br l'APILLAIItES. ltjl'ES… llÏl'l'l‘llÉhlAhlîfi' l‘l'l‘ DES 'l‘lïlllil'lts‘ lÎl‘IltlilHl Y ‘ la occ uper est, sans contredit, une des plus dilficilœà La partie des tumeurs dont nous allons nous t haute importance et doit en meme temps bien souven analyser; la classification anatomique y est d‘une ' ‘ . s ' r . « s ' ' . pssion des phenomenes secondaires apres le develo être subordonnée a la marche clinique eta la succe i‘%.fi ., .,. qut la romptst nt ln effet, anatomi- pement primitif d'une des productions ep1théhales ou paprllane: e et le cancrmde le plus envahissant; quement, on trouve tous les passages intermédiaires entre la verru é de prendre les verrues pour une affecti0n mais il ne viendrait à l'esprit d'aucun pathologiste éclair . b)lhr ‘ d"‘ " classe de produits «".°ron bemgn cette ° une alfect dans est (. e. ' " pour levres des o1de cancr le grave, non plus que ues sarl a bcmgmte ou la mallgmté des tumeurs morbides que nous voyons a quel point les idées trop absol c e que pour ceux de la pratique. Dire que le CâllCl‘oïde ont été funestes, tant pour les progrès de la scien les ganglions de l'aime, qu'il peut re pulluler et infecter même du gland est un véritable cancer parce ettre une faute de Pratique; qui sont différentes, mats comm c'est nou-seulement confondre deux maladies verauce, car on agira avec hardiesse, on poursuivra le mal avec persé du moment que l'on aura reconnu cancer, sur une diathèse générale, tandis qu'on qu'il est local et ne repose point, comme le véritable ome. Nous allons donc, avant tout, serait découragé par les récidives, s'il s'agissait d'un véritable carcin épitlcrmiques, épitliéliales et papillaires, et, Chemin décrire les caractères physiques des productions caractères pathologiques, sa valeur cli- faisant, nous indiquerons, dans chaque groupe, ses principaux que établi la connexion intime entre la texture anatomi nique, son degré de cui-abilité. Nous aurons ainsi les affections de cette division qui sont les et le traitement médico-dtirurgical. Nous commencerons par bénignes. plus strictement localisées, et, par cela même, les plus auatomo-patli0l0giqU€ des productions épi. Nous faisons remarquer, à cette occasion, que le groupe iner la valeur d'un produit morbide que d'après théliales prouve combien il est peu rationnel de ne déterm par leurs caracteres cliniques le sont sa structure seulement, et que si réellement des produits différents sareome fibre-plastique, le cancroïde souvent aussi par leur structure anatomique, tels que le cancer, le t la thèse contraire en lui, épithélial, d'un autre côté on s'éloigne complètement de la vérité en érigean des tumeurs fibro- savoir, l'identité de gravité pour les produits de str ucture identique. Tout le groupe assertion et pour faire plastiques et épidermoïdales est la pour prouver le peu de fondement d'une pareille d'après l'enressortir la supériorité de la méthode d'histoire naturelle, qui ne permet de juger que semble des caractères. @ l. - Iles productions épilhéliales non cancruïcles. Nous avons déjà parlé, a l'occasion de l'hypertrophie de la couche épidermique de la peau, d'un premier groupe, des callosités et des cors cutanés, dans lesquels nous n'avons démontré qu'un tassement dense d'épiderme se rapprochant déjà un peu de la cornification. qui tantôt Un second groupe bien plus curieux encore est celui des véritables cornes de la peau, prennent leur origine dans la couche épidermique qui revêt la face interne d'un follicule cutané, et tantôt naissent spontanément à la surface épidermique. Elles forment d'abord des petites élévationS coniques qui bientôt deviennent cylindriques, et qui, à. mesure qu'elles grandissent, s'allongent, se COH- entre tournent en forme de spirales, et prennent ainsi l'aspect des cornes de certains animaux, des béliers autres. On reconnaît toujours des couches et des stries longitudinales qui suiventles contours des spires; leur coloration varie entre le jaune grisàtre et le brun plus ou moins foncé. Quelques malades coupent ces un cas saillies cornées a mesure qu'ils les voient grandir, d'autres les abandonnent à elles-mêmes; dans que j'ai observé, ces cornes tombaient de temps en temps, lorsqu'elles avaient acquis une certaine longueur, et se reproduisaient ensuite. Nous trouvons de fort bons détails sur les cornes de la peau, chez l'homme et chez les animaux, dans d'examiner ique de la peau. Cet auteur a eu occasion l'ouvrage de 5imOn (l), sur l'anatomie patholog (1) ])fr lluu[À‘rmtÀ/wf/rw «law-h uunlmm'scheu I'ntersuc/tungvn wrlrmzztez'l. Berlin, 1851, p. 226 a "231. '..-fs ""' : : 'w: " N'w=‘ * " "& *-‘."+-"w …. +--e-+di=+J_*s+-Ln4«u.+…n‘£"«ttæfiv"!.+:4œ,+-»e+e}æ+.wu «ma-w… + " …_……1 '+3- +1. "'91» * |