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Show ‘e ci:xtänxt.e. xxxrouua rx'ruotocigt (l't‘ ad fra I. CHAPITRE XVII lll( S MORDIDES. DES PRODUCTION n sur trois le travail remarquable de notre ami Ch. Robi Nous donnons comme un chapitre spécial Craignant d'affaiblir par un court extrait les excel- productions morbides non décrites dans les tumeurs. travail. oduisons integralement tout ce lentes descriptions de l'auteur, nous repr de leurs caracteres extéétablies d'apres la seule connaissance Les classifications des produits morbides tissus ou des liquides de natures très différentes. rieurs, conduisent à ranger dans les mêmes groupes des générale. trée tous lesjours p ar les progrès de l'anatomie _ , , . . La justesse de cette affirmation est _ démon e. nta1r eleme n sitio compo leur er ment désign seule s Par nature des tissus ou des liquid es, nous voulon aura qu'on selon de nature nerveuse ou musculaire, C'est ainsi, par exemple, qu'un organe sera reconnu nts nerveux, ou de fibres dites musculaires; que des bien constaté qu'il se compose de tubes ou éléme lipomateuse, tuberculeuse ou cancéreuse, selon tumeurs seront dites de nature épidermique, fibreuse. tuées par des cellules épithéliales, des fibres du qu'on aura bien vu qu'elles sont principalement consti tuberculeux ou des noyaux et cellules hétérotissu cellulaire, des vésicules adipeuses, des corpuscules chiqu'on détermine la nature d'un composé morphes, dites cellules c ancéreuses. En un mot, de même des tissus doit être déterminée par l'examen mique parla recherche de ses éléments, de m éme aussi celle la même méthode appliquée à des des parties élémentaires qui les composen t. C'est et la description par la plu 5 grande complication de ces corps. Le corps d'ordre différent, avec les modifications exigées pourtant moin dre que celui des éléments chinombre des éléments anatomiques est considérable, mais espèces de ceux qui entrent dans la compomiques. On peut dire qu'à peu de chose près, le nombre des dits hétéromorphes, parce sition des tissus normaux est connu. D'autre part, le nombre des éléments seulement dans diverses circonstances morbidœ, qu'ils ne se rencontrent nulle part 'a l'état normal, mais et le pus sont les seuls qu'on ait rencontrés et est comparativement très petit; le tubercule, le cancer les seuls qui existent, car il est certain décrits. Cependant il ne faudrait point affirmer que ce soient rien préciser à cet qu'avant d'avoir étudié un nombre fort considérable de produits, il sera impossible de pourront nous guider dans égard. Ce nombre ne saurait être deviné, et l'expéri ence, l'examen seuls énoncés ne doivent être et cette appréciation. En un mot, ou ne peut ici rien juger à priori, et les faits exacte. Enfin, ne sont, dans nos recherches, que l'expression de résultats fournis par l'observation ou non, lorsqu'on a quelque rares que soient certaines espèces d'éléments anatomiques, hétéromorphes il importe de les faire bien constaté les différences qui les séparent des autres éléments anatomiques, se trouvent l'observateur connaître, car cette rareté peut ne résulter que des conditions dans lesquelles . . . ou les etres afiectes par les produits que cel…-c1examme. ' A ‘ ' corps que nous Or les descriptions suivantes ne laissent aucun doute sur la nature toute spé ciale des certain allons faire connaître. Bien que différant les uns des autres en plusieurs points, ils offrent un en rien aux espèces nombre de caracteres communs. Du reste, et c'est là le fait essentiel, ils ne ressemblent 77 - .- d eléments normaux ou morb1dcs déja connus et décrits. " l'iteumu rm. - Le 16 décembre 1852, on apporta a M. Ch. Robin des fragments d‘une tumeur opérée par M. le professeur Nélm°"' pour être t.ctteturneur avait son siège dans le sinus de l'os maxillaire supérieur; elle fut enlevée par fragments. Ceux qui furent envoyés ils ne quatre, de nombre Au endroits. d'autres dans dcmi-opalins blancs, et places, par demi-transparents étaient soumis a l'examen depassa1ent pas chacun le volume d‘un pois ou d'un haricot; tous étaient friablcs, bien que de consistance lardacée. Aucun ne dOlmait dc suc a la pression; l'écra5ement les réduisait en de nouveaux petits fragments plutôt qu'en pulpe. ""lsCîîîimen de la structure de ces corps est, sans aucun doute, le point le plus intéressant de leur histoire. Le tissu pris en masse était peu … . *e. 1 Les vaisseaux qu‘ils renfermaient étaient tous des capillairrs de la première ou de la deuxième variété, c‘est-à-dire à une ou deux [UllltlllCS: Ils etaient très transparents, offrant d'espace en espace des dilatations ampullaires ovo'ides mais ne renfermant pas trace de granulahons graisseuscs. ' . , . _ .,, ,,,-,,},12'iàîîïilg'3.ii…dâgâ;CÎ).,'…',.SS" et pomme partie la plus abondante, sinon quant a la muse, au moins quant au nombre, des n0ymŒ ,01 de nnlltuiette, larges de 0,00.) a 0,006, a bords nets, a masse assez claire, peu granulcuse. La PlUP… a 1 :: |