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Show Llû . A N.\Tmlllî P;\'l'llt tl.0G lQI'E ClÏNlËl‘..-\ 190 et l'on pratique la cautérisation. Au re 18 50, on fait l'ablation de l a tumeur demi-fluctuante. En novemb llb'"0-plastique_ enlevé est de nature . … ait d'une manière non douteuse que le tissu , 0" "C"" . mlCl""C0P€ place même; ines, il y a re production de la maladie dans la Cependant, à peine au bout de quelques sema i laire inférieur, qui se trouve profondément envah n. Ce malade quitte l'hôpital, retourne dans encore du tissu fibre-plastique sur les limites de l'opératio s des ressources de l'art, on nel… oppose aucun secours son pavs, à Montreuil, oùjvigeant le mal au-dessu M. Chassaignac a bien voulu me donner, finit par Sucactif, e t le sujet, d'après les renseignements que t andis qu'il aurait probablement fini par se gUérirà comber de cette affection, incomplétement combattue, ssim iler fa ç0n les a 3… Le second ce lSal, mois d'août âge .: d'un homme le jarre t. Pendant enhardi M. Chassavgnac a des opérations l'hôpital Saint-Antoine, où la nature locale de la maladie aurait [et encore la nature (lillose de la maladie a ete cause plutôt de la continuation de plus en plus (‘ tendues. survient une , car nous ne saurions qualifier de récidive de la maladie après l'opération que d'une véritable récidive ète. Nous verrons du reste, qu'une reproduction séparée de la maladie première par une guérison compl rs fibre-plastiques. tout à l'heure, que celle-ci peut très bien avoir lieu dans les tumeu cas est, heureuse: 30 Le troisième . - . ' l / duite sur place, et comme ces 5" Nous avons, dans nos notes, une récidive d'une épulis qui s'est repro AA flv‘\ ,4« :fäôfiooa "AA :aneof. t-*Ê'. t:}: maxil M. Chassaignac fait alors l'ablation partielle du montre au du canal dentaire. L'examen de la pièce nive u'au jusq de par le tissu morbide, et mala u- ur ou a lieu auto r ement. T d'enmrg n e n'ont récidives u la marcl toucher, 'autorise un mot, n paraît probable que la tumeurs proviennent des parties périostales profondes de l'alvéole, il nous allirmatif que pour première opération a été incomplète, quoique, a ce sujet, nous soyons bien moins les cas précédents. 6" Une femme, jeune encore, subit l'extraction de polypes des fosses nasales. Cependant son mal se reproduit promptement ets'étend dans la nn‘tchoire supérieure a tel point, que son ablation devient nécessaire. L'opération est pratiquée dans une vaste étendue et d'une façon aussi complète que possible par M. Cusco, qui faisait alors le service de M. Ph. Boyer, a l'Hôtel-Dieu. Je fis l'examen de la tumeur avec M. Broca, et bien que le résultat fùt douteux, nous ne constat-âmes point cependant la présence d'éléments cancéreux. Déjà, après l'opération, M. Cusco nous fit part de ses craintes sur l'extension tout a faitditfuse de cette maladie, qui paraissait exister déjà dans l'antre maxillaire et vers la base du crâne. En effet, l'alté- ration ne tarda point à se reproduire ou plutôt à continuer d'avancer, et en mars 1851, M. Maisonneuve, récid ter survient une in culinaire. C'est <"?- Uu homme a‘t<__fé [h dans la région du mière opération « avait le volume « dans sa substanu vasculaire, montt structure libro-p ll. Botrel, alors i mou, très vaseul jamaisété fait, la dont la santé est dans le service duquel se trouve le malade, est obligé de faire l'ablation du second maxillaire et de poursuivre le mal jusqu'à la base du crâne. L'examen de la pièce de cette seconde opération ne montre pas davantage d'éléments cancéreux, mais me fait constater une hypertrophie fibre-plastique extrèmement diffuse de la mâchoire supérieure et de tout son entourage. Aussi, malgré cette opération pratiquée avec autant (l'habileté que de hardiesse, et que l'on ne pouvait se dispenser de faire, l'affection continue à la cicatrice est r marcher, et la malade succombe. A l'autopsie, on eut la preuve que la maladie était toutelocale, qu'elle eugorgement. Qi niâtreté, n'est et i" l'ai connu s'étendait jusqu'aux os de la base du crâne, mais que nulle part, dans tout le reste de l'économie, il n'existait de tumeur semblable. Voilà donc encore un fait d'une malignité non douteuse dont les efforts les plus intelligents et les mieux dirigés de l'art ne purent triompher, et qui, cependant, n'étaitpas moins pour cela une maladie essentiellement locale, fâcheuse, surtout par son caractère diffus et par celui aussi du tissu périostal qui en a été le point de départ. 37° Si nous continuons l'analyse des récidives, nous arrivons a un cas pour nous fort douteux, celui d une tumeur fibre-plastiquehvpertrophique énorme du sein, chez une femme à laquelle, trois ans aupa- une petite tumet une nouvelle exc satisfaisant. qu'i l'aisselle, régi… tftl cessé d'être cuisse, et qui. ;q neulaus. Le vo malgré la tendu llllt‘u-plasllqttt'. ravant, une opératiop semblable avait été pratiquée, et nous sommes a nous demander si, a cette époque- volumineuses bi la, Il ne s est peut-etre pas agi d'une hypertrophie partielle libro-gélatiueuse, et si, plus tard, tout le reste de la mamelle n'a pas subi ce même travail hvpertrophique. 5° Le Clltqui( trois ans api-(r, | 8n Un Inut1eme cas de récidive est celui d'une tumeur axillaire chez une femme à laquelle, trois ans quparqvant,/une tumeur semblable avait été extirpée; tunis, d'après le mode d'être de toute cette tumeur, ce que la mal… dans lesquelles- ë;äîï;Ïîäïäî îî:äî:?;ïÿèäîïgîïî'l'l'lêlîgîÏ'î'Îiis""l"""""e de cette tumeur, en sorte qu'il est probable nombre…" ,… " nous reste cetenda t A ‘» . t/ . un autre paquet glandulan-e. incomplètes, P " 0110019 Ci…] cas de rectdvve tranche, nette, non expliquée par des opérations nous sont pl‘oh "rehovv \l‘ miné les pièces 1" Le' premier est celui _ , d'une . . kéloïde de la cuis se Chez une femme de treat eetunans (tn dansles acc " ' ' . rs eu de deux ans, a eu trors rectdtves, le pelles, lprcS mlC, 0thl"pdtwn Chaque lots .. complète, ont toujou SU»°‘i‘ ' ' ' p ;: . _ .} . .«vu..u +"\ÎÀ:" " w ..f.,,, " ‘+'.‘-4- ,>v+-.u+- ,4 ,,__. , |