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Show , le un { cvs vil tt Fn sonnu' ÉRALE. ANATOMIE mruommoun GÉN \ …» llt'l>t‘t' ll‘lli l'itll _ » .il .- …]‘lfllil ill's‘ \ si' \( ne t‘llilffl' t‘ll .) naissant. (Pl. XXIV, fig. 13-17 LXXIlI. -- P/tlébolit/tes à l'état eux phlébolithes déjà visibles bé dans le service de M. Bayer renfermaient de nombr Les veines ovariques d'une femme qui avait succom : até const avons disséquaut avec M. Leudet, nous volume (] un gros pois. a travers l es veines intactes. En les ur d'une tête d‘ épingle jusqu ati-dessus du grosse la de . partir a sions dimen les s toute t° Qu'il v en avait de ent générale dans les pliéholithes c et la dureté picrrcusc. Cette dernière, souv consistance variait entre la mollesseé lastiqti e aaeaenaann_aeeac 2" Que leur que partiell les yeux , dans les plus durs, elle n et… la plupart de ceux que nous avons sous anciens, était bien peu considérable dans et centrale. .) incolore, d'un et dans un bon nombre, une partie de la tumeuretmt La coloration variait entre le blanc homogène et le rouge-cerise, foncé violacé. blancjaunàtre. tandis qu‘une autre partie était d'un rouge allongée, 0v oide, à base étroite dans quelques autres; dans plusieurs, s-unes, quelrme dans e arrondi ement parfait était li" Leur forme le milieu. dans ent rendem enfin, il y avait un souuuetet une base étroite avec un |,.S de ces plllél)0lilllCS. et, sous ce rapport, nous avons observé place sur position la 5° Le point évidemme nt le plus important était plilébolitlics: variétés suivantes, indépendantes, du reste, du volume des eà s, étaient entourées d'une membrane mince qui formait un pédicul (1. Des petites concrétions molles, globuleuses ou un peu allongér de la veine. la base et se continuait directement avec la membrane interne libres en majeure partie, mais intimement adhérentes par leur pédiculeà étaient all01'lgf‘CS, mais molles, semblables, végétations Des b. ! .- l'ilii‘ll . . u . p..s p …l ti? tl ul.. …" \!. |l"t. t‘r', , . "| , Il \ lL|l llt‘ lilll l: "t‘ t.. i"ilfl ( iîlth : npth " ) l" ll tt ll. li ,]-,.l'ot;iivix _ r,:lllll' lui'rS ll"'-‘ l uw‘ lltllll . "l rrs ranurltrrä mes lrm . bord lila" erlrs la iotiS >t lt': t‘y: uuulili4'.!l …, ,..…,,' 1 'l"".tlui " lourlu. ui<. ' tu.: e a: tim- et tl'ut, dan un .…_ (;iillllTli'l lan< "!" "'" l lili __ s ‘tttlill: ‘ t'il"«" feuillutü qiii l i!l‘__lli‘lll'y … en l "lt llh tlr =Ct face mtr pu addition a sa la paroi interne (le la veine variqueux, d'une veine principale. r-. Adhérence générale dans une espèce de cul-de-s ac collatéral, comme de la circonférencepartie une par veineuse paroi la a corps petits (!. Simple accolement de ces très dilatée autour de ces corps, bien plus volumineux était souvent qui veine, la de calibre le dans 0. Situation libre de toutes parts, que la largeur de la veine. 6° En pratiquant des coupes à travers ces phlébolithes, de t'orme et de consistance diverses, on reconnait partout une couche lamelleuse homogène par un caillot. La membrane la plus extéet concentrique, même dans les parties qui paraissent être constituées d'une façon avons compté jusqu'à quinze et vingt de ces lames Nous luisante. et lisse rieure, celle qui délimite ces petits corps, est parfaitement que la coilcré tion, dure au centre, prend une pois, petit d'un volume le déjà ont qui corps les concentriques. Ce n'est que dans plus en plus superficielles. certaine consistance, et devient nou-seulement pierreuse, mais envahit, de dedans rn dehors, les lamelles, de s et des su-ies, et, 7° L'examen microscopique montre, dans toutes les lamelles, une structure fibroide granulcuse avec des plissement par places, on voit comme des fibres épaisses et indépendantes, mais pâles, ayant (le l'analogie avec celles du tissu élastique; il y a absence dans ces corps par de toute formation cellulaire. La coloration rouge paraît essentiellement due a la matière coloraute du sang entrée des grains pigmenlamelles, les dans trouvé, avons-nous aussi caillots; véritables de l'inclusion imbibition de dehors en dedans, et non à la peine l/‘200' de e, dépassant rhomboidal s forme de lièui.itiqur cristaux petits très de et brun, ou rouge doré, jaune taires irréguliers, d'un millimètre; mais offrant (les angles et des faces nettement délimités, et qui étaient connue incriisttäs dans les lamelles. 8° La masse dure des concrétions offre les divers degrés de consistance gruiucleiisC, cireuse et pirrrcuse. Les acides concentrés les dissolvent en grande partie, etj'ai surtout été frappé de l'action de l‘acide sulfurique, qui. a un moment de son action, 3‘ provoquait une fort belle coloration rose, laquelle, ensuite, tirait sur le rouge de cuivre et disparaissait plus tard. En même temps, toute la masse se transformait en un nid de cristaux en forme d'aiguilles qui avaient une tendance au groupement en croix ou en étoiles; c'était probable- ment quelque sel sullaté de chaux ou de sonde. Ou constata l'effervescence avec tous les acides concentrés; peu d'action par l'acide acetrque, qm, par contre, rend les lamelles plus pâles et plus transparentes. . Nulle part le microscope ne m'a montré, dans ces coucrétions non traitées avec les réactifs, de véritables cristaux, outre les petits cristaux ltlî>' l'llÙlll'tÏTlÛNfi Les tumeurs fibre maladie qui, dans C' quences les plus gi'iii ul les conditions de productions avec le (la peut admettre pronostic et de la il loire; 2" l'hypertror Dans le groupe tlt dont les unes se rap cmabrés des lamelles. végétalions de la î‘ÿl?fl‘:fl"îî‘:êi‘gï;Zî'î‘èîï‘î îîïl*‘ä$useqqupisw dans notre opinion, que les plilébolithes ne sont, dans le principe, que des . , se ( ctachent, qui ont une tendance prononcée à la calcificatiou, partant du centre, et dans , , lesquelles le sang existe essentiellement à l'état d'imbibition. marche clinique diff La définition des qui existe a l‘etat in tement développé et LXMV. -- Tumeur fibrensc du testicule d'un chien. (Pl. XXIV, fig. 18.) unes de ses I‘m-mc: À(lctest1cule, extu‘pé sur un chien de taille moyenne, a le volume d'un gros œuf de dinde, il est d'une dureté élastique‘ coupé nu le grinéraliser dans l'é milieu, il se montre composé de plusieurs tumeurs variant entre le volume d'un gros œuf de pigeon et celui d'un pois. L'epididvinfe et la tete de lorgane ont atteint le volume d'un marron. Le tissu de cette tumeur est d'unjauue rosé tout à fait homogène, peti vasculaire, locales dans le priur avec des intersections nombreuses de tissu connectif. Nous y trouvons assez généralement une structure fibrcuse dans laquelle cependant Quant a la divisir les faisceaux ne sont pas distincts; il n'existe aucune trace de canaux séminilbres. Par la pression ou ne fait sortir | ' ‘ t' " ‘ t' a. Des tumeurs " en un mot, ce tissu offre les caractères des tumeurs librcuses. En examinan ‘ '. ‘ " 4 ' - ' ' ( q ' un Duc "'"Sl'a'e" ' iv. lies tumeurs pl . fi…………ŒÜËËŒïÉÏËËÆÆÊόˌÆÊŒËÏTŒmewffiW""…"""…""W""M…" . dans les petites tumeurs de dla.re homogène. Les elements cellulaires se rencontrent surtout bien l'épidid )'llle , e t ])1' és entent les CafflCl è I' @ S (les " 3 ' . . '' ‘ ' ‘ (} p . ball " 5 i " L.\XV. -- Alle'ration du tissu podop/zyllcnæ du cheval. (Pl. XXIV, fig. 19 et 20.) A1 \ . BOUl9y a présenté . ., (l'dÏlS la St‘‘anc et ] | 2° f('\ n. ) 'l'lAti] "! l‘ S y ( il ' ' ' ( ' tf\' \ (] ' 0 ' . llf, ' ' ll .S\‘U p , « d OClUÎ.C (lC blOlOcle une 'il 3 ‘ .( ) ce que l on appelle lî\ lourbure chronique. ' ‘ "1 du n d " \ 0d0ph. "‘ \ du h . " "' ont "‘ ' L (". ÎlSSll feuilleté (ll) .Qill.) OL ! (Ul ‘ ]]a ly se (.' 0 ml) t)S(3 . il ] ]plilllltltË.‘5 \'t‘l'llkf( 1 l en t'il (l () l 8 ! les ‘ ll)l' (}) ç ps . ‘‘ l "etat ]] ) " f ' 7 '! : [ ma (1( ( (‘. | ( 0 {\ \l\€ll [lx \] 0 lit (le \ 1 0 € [ (€ l) l( l (‘ \ "0 - p ;] p ll 65 11 "| , …; (l |] ' On] (se \* ( ll Ill ("Qt , . 115 l ("Il .\ , l lt l 0 110 , "' lt‘ p'l'l 9 )S '. e , 8 S f, dans cette € [, 1111 " ; S l ) (}(5[ ( liet€lll d lille f0'" de la chair; r. Des tumeurs d constituée par une tal‘iété libro-gélatin linjetaul un con] la surface, a ce gr. rutauéqu'Alibcrt a leur reproduction lL iNii. rvi‘iioi. .-t" ,.-+ 4u4.…u4.).i.4.,3…. \54.-,-:4- »… _. |