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Show 1-&-w.«h‘no. +.‘ ». » ..v….ç. u;ÿ..y._+ t'.Ni_j«Ni:n__vj_.t_. '-=€; rl‘ _4 ,. MALADIES DES BRONCHES. !‘ M.\ Piéd agnel, qui a rendu : verte bres. l)es ab cès du foie \ 3, des‘ ulce\ res ch roniquesd ' . ' \' .i iiigi' ex pectorer des alim e ents " 4 ' ,\ _,he: a ete pi es ente en 1851 , _! I ' la sav ante compag nie. ' n‘ \ ' 629 ' acces neweux d Oppl‘essmn, et qu'en général il ne fa… 1335 trop négliger l'action du système nerveux dans toutes ces maladies, dans les"Welles on a aujourd'hui une certaine tendance " ' ' d ne v01r qu une ' altération toute mécanique. Il estl‘dlautaut plus important que le médecin connaisse d'une manière approfondie tout ce qui a rapport " emphpse…e pulmonaire, que c'est une affection que l'on rencontre quelquefois dès l'enfance dans les cas de disposition héréditaire, etjusqu'à l'époque la plus avancée de l développer tantôt spontanément tantôt ' ' - ' 'il ' & Vtel €SSe- On le V0" se Nous rencontrons ,ÎÊÆÎÊZËÎTO tdq)catalrrhe pulmonaire. comme acco'mpaanaïmfïî aussi a "u yercu isation pulmonaire. Qu on ne dise : ff . . 1 , ‘ est plus que l'emphysème donc l'emphysème , le parenchyme pulmonai re nasses, nous nous aperçùmes . , ) . . . . unis, auquel nous sommes redevables des plus importantes recherches qui exxstent sur cette matière. Nous avons vu, pour notre compte, mourir déjà bon nombre d ipdividus, par les conséquences seules de l'emphysème pulmonaire, qui conduit presque fatalement,\apres une longue durée, à une affection organique du cœur, a l'hydropisie, à une dyspnée cr01ssante,e un etat cacheeüque général, dans lequel le marasme est souvent masqué par l'hydropisie, et en dernier lieu a une mort à coup sûr plus rapide qu'elle n'eût été si l'on avait dû s'en rapporter aux tosées sans ordre comme sans chances naturelles de longévité du malade. nassos dures qui ressemble nt lermeres ramifications bron - mme pierreuse, la dissection C'est donc là une affection des plus importantes à connaitre. A l'utilité pratique de sa connaissance rc infini de filaments osseux, ient une série de rendements. vient encore s'ajouter un intérêt scientifique tout particulier. Peu de maladies ont donné lieu, dans ces vingt dernières années, a autant de théories, d'explications plus ou moins hasardées, et comme aucune )ntinuait dans leurs ditisions, d'elles ne nous paraît satisfaisante dans l'état actuel de la science, il est d'autant plus essentiel de décrire n'étaient ces filaments? Nous les parois s‘étaient ossifiées. d'une manière rigoureusement exacte tout ce qui a rapport a cette affection, pour que, dans l'avenir, ces matériaux puissent servir à établir des doctrines plus généralement satisfaisantes sur ce sujet. t parsemé d'un grand nombre On a divisé l'emphysètne pulmonaire en vésiculaire et interlobulaire. Mais le premier est, a coup sûr, ent osseuses. Je me suis assuré l'affection dominante, principale, primitive, dont le second n'est qu'une des conséquences possibles. Nous ne pouvons partager l'opinion de R. Prus (l) et de M. Piédagnel (2), qui vont trop loin en envisageant la rupture des toute espèce d'emphysème comme d'emblée interlobulaire, c'est-à-dire produit par crois qu'on est vésicules, état que je préfère, du reste, désigner désormais sous le nom d'interstitiel. Je par une distension bien plus dans le vrai en envisageant l'emphysème comme produit, dans le principe, que l'emphysème peut vésiculaire, à laquelle succède plus tard la rupture vésiculaire, et c'est alors un grand nombre de cas. Nous devenir interstitiel, tubulaire, interlobulaire, même sous-pleural dans des beaux travaux récents sur ce reviendrons plus loin encore sur l'emphysèmc interstitiel &. l'occasion I‘CS ramifications bronchiques la membrane muqueuse des au tuberculcux parait déposé ms ce dernier cas on trouve, autre chose que la bronche nous sommes parfaitement de : ramollissemcnt central de la 1 dépôt tuberculeux, ordinaiar disparaître, et les bronches tokitansky. Toutes ces parti- ies euse s'emparent de ces part AvanllUl aënnec sur ce sujet. n les maladies de dénominatio romq ue, les c de catarrhc ch les maladies ii un mot, toutes e. Toutefois taient de l'asthm senon sassez essentiel, et nous en ut con sister ‘ cmphyse‘ mc pe sujet de M. Guillot. e par celle du siège, de l'aspect du Nous commencerons notre description anatomique d e l'emphysèm tissu pulmonaire et de l'état des vésicules. tel, que l'on rencontr e à la suite de Si l'on fait abstraction de l'emphysème léger, peu étendu, acciden ysème pour ne tenir compte que de l'emph beaucoup de maladies des voies circulatoires et respiratoires , degrés atteints àla fois, quoique a des bien prononcé, on peut dire qu'en général les deux poumon s sont et cependant touj ours a la partie antérieure divers et dans une étendue variable. Le maximum se trouve cette de ; aux bords inférieurs de ces lobes supérieure du poumon, da ns les lobes supérieur et moyen, se faire de préférence dans leur parüe façon le développement des poumons emphy sémateux parait la cavité souvent remplissant complètement antérieure, et a l'ouverture du cadavre on les trouve à leur les vest iges de l'impression des côtes thoracique, et, malgr é leur mollesse élastique, on trouve languettes les plus vert en entier, et cela par les surface antérieure. Le cœur se tr ouve souvent recou ez nombreuses exceptions Toutefois nous avons observé d'ass s. malade parties es uses.d éinate emphys ou par les traces adhérences pleurales supéro-postérieures lorsque les poumons étaient fixés par des aire. général et uniforme du tissu pulmon d'une ancienne pleurési e qui empêchait le développement qu a ions, cœur atteindre de telles dimens nous avons vu l'hypertrophie générale du Dans quelques cas, poumon. Comme les portions emphysémateuses du son tour le cœur avait écarté, refoulé même 18113, (. .\, p. bon). de l‘Académie de médecine, l'ai is, déré comme cause de mort t.llémofres 453 (1) De l'empltysème pulmonaire consi Paris, 1829. sur l'enq;/zysênm du poumon. @) Rav/terclzes anatomiques et physiologiques ANAT. union.-18" nivo. "‘"…A malades, Opinion vers laquelle ;2îÇËG ercntèprpe äîlllîle,.Î1Ul n abrégé pas de beaucoup l'existence des "aaaAa _)lllt de représenter, suivant |