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Show saignée, et no .\N.\'l‘tl.\l ] l‘) l‘.\'l'lltll.Utilt3llli SPEClALIC. (iL-"2 lle 3 (& mois a .‘i ans ........ 3 1 5 il … fill-* ----------mam….…………. Report. . . | [16 22 De lit) a b.") uns. . . . . . . [,5à50;;|]5,__...... 7 . . 5 50 a i5 ans.. . . . . . 455120 ans ........... ‘J 35 à 60 ans. . 3 123 . . . . 20 a 25 ans ........... uoàu5ans….….... 55 à 70 ans _________ 1 25à30ans ........... 30 à 35 ans .......... 12 35àh0ans....…….… 3 TOTAL. . . 87 3 . . . I"rement au d des cas excep ;, la dose de 3. pîls' que les vc des malades s ".; qu'on nous : A reporter. . . 116 la classe pauvre que chez La pneumonie est une maladie que l'on observe beaucoup plus souvent dans les hommes et vers la fin de les riches, et cette circonstance, comparée à la fréquence plus grande chez débilitantes générales, un travail l'hiver qu'au printemps, rend probable cette opinion, que des influences des refroidissements répétés, pénible et assidu, une hygiène insuffisante pour la dépense des forces, vingt, bien e signes d'un survient dans l'infusion d'il et nous trait( dite idiopalhique est donc loin d'être exercent une certaine influence sur sa production. L'inflammation l'infusion d'il ouvrage, que outre les causes un signe d'une maladie sthénique; aussi faut-il admettre pour son développement, à protester c M. Grisolle sur le fait que, chez indiquées, une prédisposition individuelle. Nous sommes d'accord avec ssement comme cause prin- un quart à peine des individus atteints de pneumonie, on trouve un refroidi véritable pro.; des refroidissements cipale. Toutefois il nous paraît important d'établir une différence entre l'action ces premiers comme répétés et celle d'un seul et unique. En thèse générale, on observe plus souvent meilleures so soulager on cause prédisposante de la maladie, que ces derniers comme cause efficiente. néanmoins Tout en tenant compte de l'état général et des influences hygiéniques, nous ne saurions ie comme une fièvre revenir, avec M. Marotte, aux idées des anciens, qui désignaient la pneumon anciennes, n'est pas essentielle. Cette tendance du jour de témoigner une piété exagérée pour des idées n'est que provisoire, moins une exagération que l'organicisme exclusif. Toute notre pathologie générale la déclaration même qu'on ne personne plus que moi ne sent sa fragilité; mais mieux vaut le doute, multiplier les al'essentialité des saurait attacher un sens bien précis à une entité inflammatoire, que de revenir établir entre Nous réun plus ici de regarder la lièvres, dont la négation constitue un progrès en ce sens qu'on ne se contente est aussi peu une chaleur et l'accélération du pouls comme une maladie. Pour nous, l'inflammation encore à rechercher. maladie essentielle que la fièvre, et la dernière cause de l'une et de l'autre reste et toute Quant aux pneumonies dites seœndaires, M. Grisolle a démontré que tout état fébrile qu'agissent maladie chronique débilitante pouvait prédisposer a la pneumonie. C'est dans ce sens Nous ne r des maladies s chroniques pendant l'enfance les maladies éruptives, la fièvre typho'ide, et chez l'adulte les affection l'aliénation des intestins et du foie, les maladies tuberculeuses et cancéreuses, la maladie de Bright, exagéré par t mentale, surtout celle à forme paralytique, etc. L'hypostase et la position prolongée sur le dos favorisen la production de cette maladie. supérieur qu Il est a peine nécessaire d'ajouter a ces remarques étiologiques un exposé comparatif entre les sym- ptômes et les lésions. Tout ce que nous avons dit plus haut sur l'exsudation pneumonique est entièrement le tissu inte1 d'accord avec les phénomènes de la percussion et de l'auscultation. On conçoit que l'hypérémie seule ne produise ni matité ni râle, et que le râle crépitant soit la conséquence du mélange de l'air avec le individus de muco-pus exsudé, tant que celui-ci n'obstrue pas les terminaisons broncho-vésiculaires. Par conséquent, on doit le rencontrer au début de l'hépatisation et lorsque celle-ci diminue considérablement, et la répétées et d œdème actif distinction de Laënnec en râle crépitant du début et râle crépitant de retour est par‘faitementjustiliée par l'anatomie pathologique aussi bien que par l'étude clinique. On conçoit très bien aussi la respi- mécanique. Le poumc ration bronchique etla bronchophonie dès que l'obstruction broncho-vésicnlaire favorise la consonnancc même violae des rameaux bronchiques. La condensation du tissu pulmonaire est nécessairement en rapport avec le surtout lorsq degré de matité et d'élévation du son. états de mat Nous avons vu que les doctrines sur le traitement de la pneumonie avaient varié d'une manière déplorable depuis quinze et vingt ans. Le traitement proposé par Laënnec nous a paru de beaucoup le sité qui l'inf plus efficace. Des saignées modérées et que l'on doit souvent pratiquer dans les pneumonies négligées, poumon ne 1 après un certain temps de durée, le tartre stibié à haute dose, constituent la base de notre traitement. On obsen Chez les individus faibles et dans les cas où la dyspnée est peu considérable, nous ne pratiquons pas la aiguë de Br poumon, ma abondant, (p ce genre que suffocante. J preinte du d AN,\1‘_ … |