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Show 1t, alcalin, homogène et met: de quinze jours, sept ait et était enlevée, était ibstance {ibrz'nogênc, et la ) tardive, ou brudy/ibrine, die. 11'exsudation séreuse non ce, terme dont nous nous ibriue pure ou même me- ; forme simplement pelli- l'1ll]€ structure fibroïde et ; fausse membrane réduite ; car il existe une certaine lll;' l.'llYl'lflilfilllli l'j'l' lll'j l.lNl*'l..\\lll.\'lltl.\. 'ifâ inflammatoire. (Je liqtlidé peut olTrir un caractére plus visqueux et tenir en suspension une certaine quantité de corpuscules. . ‘ » l . - .2'. » !. ‘ e:r.sml - . ' alzou conge/«Mz, se ' ' ' compose ' (l " une ' paille parlat te1henl liquid e et. tl ' un ra:llot . La premi"ere presente les caracteres de l exsudation séreuse. reumt d une maniere immediate les levres d une plaie recent e appartient a cette exsudahon. Lorsth elle renferme peu de hqunh, et peu dc toipiiscules, mais, par contre, une cer-lame quantite d'une matiere gelatlnetœe, elle présente les caracteres de l exsudat ,ton dite qe/alnlcuse. Dans l‘exsudation diphtliéritiqtœ, ordinairement sous-épithéliale, siégeant sur les membranes inti- < 1dés. Cependant pour que rmi les diverses formes de )s qu'elles renferment peu isotilaire sont. l'exsudation de décrire plus loin. Quant elle n'est pas commune et lus tard, constitueront une ' ' no-corpusculaires que l on 5 cellules du pus avec leurs Nous préférons cependant :omme ne préjugeant ni la nent. , ne constituent que deux )lG dans une petite quantité nrc, le principe coagulablc .is dans les caillots et dans e difficile par une structure 35 surfaces libres des mem- 3nt très facilement à. l'exsu- t dire, sans trop généraliser ation ressemble a la partie e et les corpuscules tendent rait trop long d'indiquer ici a différence des conditions ème et l'aspect des produits ant un rôle important. C'est ses abondantes. :'ormes des produits exsudés et de différence. 'érence dans l'inflammation 5 sacs herniaires, lorsque la ansle pempbigus, etc., c'est coagulable par la chaleur et d'infiltration, dansl'œdème La partie (‘tniunlée oll're d'abord les caractères de il rouenne inflammatoire, gonllee par la sérosité. Plus tard. ce caillot se contracte et présen , a .'veu , te, peu . l aspect memlnatn tu. la debut oula rencontre, surtout sur le tr:qet des vaisseaux, dans l iullamnnit1on des memluanes séreuses. .\u iiiiCi'oscope on y voit une substance libroide striée , renfermant beaucoup de granules. C'est cette exsudation qui forme les adhérence s elutine ust‘s des membranes séreuses. Han.- la pericarilite, ou la constate avec ses principaux types, et l'on _v trouve, en outre, beaucoup de cellules epitheliales q… ont subi l alterahon granuleuse. L alterahon granulo -gla1s‘seuse prompte des ep1thehum.s des parties enllammees fait le passage, pour ainsi dire, a l'exsud atiou paremrhvmatease. Le liquide qui ,x - ' - \ . ' \ \ \ - -‘ '- ' « " A ' ' ' ' qucuses, on trouve également un produit peu humide, qui offre quelque ressemblance avec la mortilication; on l'observe de préférence chez des malades qui se trouvent dans de mauvaises conditio ns générales. 3' l"f""«"'"["[f"" "°".']uluMc etClil‘]nlst'llltt[re se rencontre dans des circonstam:es variées : dans l'intérieur des foyers purulents, :. la surface des bourgeons charnus, dans la fausse membrane eroapale, dans cer- taines formes (l'épancheinents des membranes séreuses. Un v trouve du sérum, des cellules, et une substance coagulable qui emprisoune un grand nombre de celles-ci. le sérum de cette e\sudalion ne différe point de celui des épanehements séreux en général. Toutefois ce sérum, sans avoir des propriétés physiques dilférentes, peut avoir des propriétés pathogéuiques bien variées. C'est ainsi que le pas de la s)pllilis et celui de la morve ressemblent, sous le microscope, au pus phleemo nenx; cepend;nit leur partie séreuse pénétre dans l'économie a travers l'épiderme intact, et produit le s accidents terribles de ces deux maladies, et, par conséquent, leur qualité toxique doit résider dans le sérum, bien que d'une façon latente par rapport a nos sens. _\\' III. - I)u pus. Parmi les éléments eorpusculaires de l'exsudation pblegmasique, les cellules du pu.- méritent avant tout l'attention des observateurs. Leur spécificité n'est pas absolue, en ce sens que les globules blancs du san«___r leur ressemblent, et que, de plus, des kystes renferment «prelquelbis des corpuscules qui leur sont semblables. Certaines formes de jeunes cellules épilliélialOs peuvent également offrir le même aspect que celles du pus, mais ce n'est pas la pour nous la question. Voici comment nous vrmdrions qu'elle fût posée : la nature intime des cellules nous étant encore aujourd'hui inconnue, peut-on établir des (lillé- rences morphologiques entre les éléments de l'evsudation inflammatoire et ceux de l'e\stidzitioii nou inflammatoire? lin un mot, la nmrpholoeie vient-elle confirmer les dill'érences cliniques et physiologiques, ou donne-t- elle, comme la chimie organique, des résultats trop vannes pour entrer en liguede compte"! La question ainsi posée, voici notre réponse : Il y a pour nous des types corpusculaires fixes qui font reconnaitre l'exsudation phleumasiqne comme dillérente de l'exsudation tuberculeuse, cancéreuse ou autre. Mais, de même que dans l'organisme vivant nous ne trouvons pas la représentation des régnes organiques de la nature avec leurs classes, leurs genres et l rurs espèces, de même aussi, dans les produits morbides, nous n'avons pas des délimitatious spéci- fiques absolues. Nous possédons des types iucontestablement dill'érentiels, qui, dans leur pureté, vien- nent confirmer les ditlérences cliniques et physiologiques. D'un autre côté, cependant, bien des raison.\ peuvent troubler le résultat de l'observatirm microscopique. Les cellules peuvent étre incomplétement développées ou en état (l'altération rétrograde, ou modiliées par imbibition. lin un mot, les caracteres particuliers de ces types peuvent être obscurris et devenir méconnaissaliles sans que se trouve détruite, en aucune façon, la loi de la dilférence des types cellulaires de l'exsudation, tandis que leur unité absolue n'est qu'une apparence trompeuse. |