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Show i‘..'Ù'"'pLl‘iM\!wl:tltav7tl'i.-l -'r-ÿ; .1r-‘r ; _,_._ ._*,__A ents graves du côté : des sujets at teints un est tout au pl us vous été frappé du it fermes, décolorés, 5 fois petit et mon, races de péricardite, eux du larynx, avec une de nos malades ne cirrhose avancée. ne fois accompagné MALADIES DES BRONCIIES. d'une hydrocéphalie chronique. Chez trois autres malades, il exista itdes affections gastro-intestinales graves, deux fois une entérite chronique et une fois de nombreux polype s du gros intestin, depuis la valvule . , , i _ _ . ileo-cæcale _1usqu au 1ectum. Deux de nos malades, enfin, se trouvaient dans un état de débilitation extrême, une fois sans cause appreciable et une fois à la suite de pertes sangui nes considérables. Nous pourrions ajouter a ces analyses un cas mentionné ailleurs, dans lequel la g angrène pulmonaire était survenue consécutivement à la gangrè ne des membres inférieurs. Chez les enfants, les maladies aiguës, surtout eruptives et typhoïdes, paraissent exercer une certaine influence sur le développement de cette maladie; viennent ensuite la tuberculisation aiguë ou chronique et les affections chr uniques des intestins. Voici les maladies antérieures observées par MM. Rilliet et Barthez : Rougeole avec ou sans pneumonie. . . . . Variole suivie de scarlatineanormalc. . . Scarletine suivie de varioloi‘de et de rou- geule terminale . . . . . . . . . . . Entél‘il0 typboïdc . . . . . . . . . . . . . Tuberculisation aiguë avec celite . . . . . !. Rilliet et Barthez, ident beaucoup plus rve' ces deux compli10naire est survenue, Dans nos 24 faits, e n'est pas indiqué. ipt, depuis l'enfance cinq ans, indiquerait dant vu, d'après les mgrène pulmonaire; e tableau ne montre le deux ans et demi , qui se complètent mblance qui existent Gti! maladie est survenue chez des aliénés chez lesquels, en général, la gangrène pulmonaire n'est pas . . rare; , . . . une iOIS chez un ep1lept1que, une fûts dans un cas de ramollisse ment cérébral, et une fois dans le cours 3 1 1 1 1 'l‘nberculisation générale ou partielle avec ou sans pneumonie . . . . . . . . . . . Colite et dépérisscment général . . . . . . Méningite chronique ............ Fièvre typlioide .............. Bronchite probable . . . . . . . . . . . . Neuro-pneumonie ............. ‘2 1 1 '1 1 Nous venons de voir que, dans un grand nombre de cas, des maladies antérieures disposaient à la gangrène pulmonaire, il en est de même des circonstances hygiéniques mauvaises, etj'ai surtout été frappé de l'influence qu'elles pouvaient exercer sur la production des diverses formes de gangrène, soit de la bouche, soit de la vulve, soit des poumons, chez les enfants de la classe pauvre, que l'on a en occasion d'observer dans les hôpitaux de Paris. Même pour l'observateur le plus attentif, la gangrène pulmonaire est souvent une maladie latente, dont on ne découvre l'existence qu'à l'autopsie; en outre elle peut simuler d'autres maladies, surtout la phthisie pulmonaire, %) cause des crachements de sang abondants et répétés; et plus tard même les signes physiques des cavernes peuvent exister, lorsque des foyers purulents ont remplacé les foyers solides de gangrène. Ni la toux, ni les douleurs thoraciques, ni la dyspnée, ni les signes stélhoscopiques, ne constituent donc des signes caractéristiques. La fétidité de l'haleine et des crachats existe aussi, comme nous l'avons vu, dans la dilatation des bronches; cependant elle est bien plus prononcée, et aux. cette odeur est beaucoup plus putride dans la gangrène, de même que l'expectoratipn de fragments 0 mois . . . . . . ...... 1 du tissu pulmonaire est également caractéristique, lorsque ceux-ei sont d'un brun n01ralre ou verdatre, ‘2 2 fétides, friables. Il n'est pas rare que ces sujets répandent autour d eux une odeur tellement cadavre- 1 reuse, qu'on est obligé de les séparer des autres malades. L'examen microscopique de lexpectoraûon ‘2 peut montrer du tissu pulmonaire par petits morceaux, avec des cristaux gras et un pigment d un vert 2 plus éten dus. Aussi , en g énéral , ces crachats , ' de sequesties - pulmonaires -' ' sans qu'il' existe n01ratre, " 2 ' * une coloration douteuse et sale. La fievre , quel que son' leur mélange avec du sang, ofl‘t - ent touyours chez ces malades, présente, lorsque la marche est rapide, un caractère typhoïde et adynamique pro-' ' 1 '1 TOTAL. . . '16 e, dans beaucoup de ts les poumons étaient la poitrine, la toux, à une apoplexie pululmonaire à marche fois une pneumonie ion d'une tuberculisat ne itu Pigné, il exista me naires avec pyohei fou la angrène, deux ax noncé. Des vomisseme nts et de la diarrhée surviennent souvent vers la fin. Les Signes de pneumothor ont été observés plusieurs fois. Dans un cas rapporté par M. Chavignez, il s'était fait une perforation a correspondante des téguments. travers l'un des espaces intercostaux, avec soul èvement de la portion avait même provoqué une perforation cutanée, Dans un de nos cas, un accidentsemblable était arrivé et et plu" tard un pneumothorax par une seconde perforation, située beaucoup plus bas, qui s etait opeœe D AL": - ...... \ de dehors en dedans. 'ifluë ,, se la maladi' e.' une, plus ab Nous pouvons distinguer deux formes, quant a' la marche de jours; et. une autre a marche lente, (] une duree, . terminant par la mort, dans l'espace de hu1t a quinze . . . . , de ‘ et une. tms meme . cmq, six, sept mms, quatre, tr01s, de s, semaine six de d'après nos observations, . que _ cett e gangrèn avons n nous s ,i . 'loutefm . /_ e. pouvait guérir. dix-huit mois. Nous avons vu plus haut au551 .; nsi dire, idiopathique, et que maladie_ etait, pour Obs \" terminaiso n heureuse que lorsque la _, . . . u" l'influence de mauvaises conditions hygiéniques, ni sous celle de er e cette les malades n'avaient vécu ni se 3 maladies chroniques débilitantes et graves. AMT. rxi‘ii0i..--19' Ll\'R. M ‘A 2 _a-» ______ |