OCR Text |
Show LE. ranes épaisses; le lobe supérieur est le siég,;,1v… gauche iuontœ«iç tu…- des tubercules. Le punition DE L'IlYPEHTROPHIE. 85 l'une noisette. Un petit nombre de tubercules étiii ;emés de tubercules; la muqueuse brouehiquœia entricule gauche qui est de 2 CClllitllt‘ll‘cs; tlllllslc êtres de longueur sur 6 de largeur et 3 d'épaisseur ;eur et 22 d'épaisseur ', sa surface est l0blllég; j, |à CHAPITRE V. tourés de beaucoup de graisse-, leur cons…… et DE L'HYl'lfiltTllOl'lllE l‘].\' GÉNÉRAL, lfi'l' l)l‘j L'llYl'lîlt'l‘lttll‘ll llfi til..\NllLl..-\llllfi li\ l';\lt'l'ltl[Lllill. se. Les canaux urinif‘eres dela partie COl‘licaleûm ranules albuminoi‘des et de petites vésicules grais- .\lt'l‘ltîl.li l'ltli\lllill. ; en sont intiltrées. Le bassinet rénal est co…-…. tdr aille. nr: L'…rr-‘.u'rnotutllä r:.\ un.\iï.n\t.. ont dans le grand cul-de-sac et près du lit-|…… aqueuse, avec quelques ecchvmoses et un fort (lévr- usque dans le rectum, d'abord du ……UHiw…… vrds taillés à pic et épaississement du tissu cellulaire ; ila 27 centimètres de largeur, 23 de haut…-dam l est oblité1-ee, elle renferme une bile tlécoloréeuhlt ;ns le tissu cellulaire tout autour. Les conduits d…: Nous arrivons à l'exposé d'un ordre de faits qui domine, pour ainsi dire, une grande partie de la pathologie, et qui, journellement, réclame le secours de la médecine et de la chirurgie. Aussi les doctrines relatives aux produits hypertrophiques ont-elles non-seulement une grande importan ce physiologique, mais aussi l'influence la plus directe sur la pratique. Nous observons, pour le volume et les dimensions des organes, des oscillations telles, qu'il n'est pas "sal, sont dilatés. La veine porte est saine; p…… toujours aisé de dire où cesse l'état physiologique et où commence la maladie; sous ce rapport même elques plaques laiteuses dans l'arachuorde. livra… cristaux hématiques dans les ovaires. les dimensions seules n'ont qu'une valeur restreinte. Les muscles du mouvement volontair e peuvent acquérir des dimensions considérables, sans qu'il en résulte rien de fâcheux, tandis qu'un épaississ ement , tig. '1 et 2.) toujours présenté une faiblesse intellectuelle l'Olllîtt- des parois musculaires du cœur, de quelques millimètres seulement, peut troubler profondément les fonc- tions circulatoires. L'hypertropbie de la tunique musculaire de l'estomac, dans une grande étendue de l'organe, peut rester sans portée morbide, tandis que l'hypertrophie du pylore produira un rétrécissement ignoré son âge. Les sentiments affectueux ont tt: , 8 fé"…- 1852. la malade meurt après tltlccourt r le haut. Le lobe supérieur du poumon gaticlietstlr tres sont très dilatées et épaissies. La surface dthtt‘lll‘ 1étrie frappant, elle est dépriméeà gauche, bombe )tubér'ance occipitalc interne, est de ta centimètre Guerr_v. Le diamètre transversal entre les basesde irconférence du crâne est de près de M centimètre, qui fera périr le malade avec les signes d'une affection cancéreuse. L'hyperlrophie peut être définie : l'augmentation des molécules constituantes essentielles d'un tissu ou d'un organe, un véritable accroissement de la nutrition avec excès de ses matériaux. Nous élaguons, par conséquent, de cette définition, ce que l'on a décrit sous le nom de fausse hypertrophie, laquelle n'est en effet qu'une simple augmentation de volume produite par les causes les plus diverses : infiltration séreuse ou inflammation, simple accumulation de sang veineux par cause mécanique, développement d'un pro-- duit accidentel, etc. Il nous importe constamment de placer les caractères physiologiques au-dessus des caractères physiques. lati; ses circonvolutions sont resserrées, surtout ia tt contout'nées et offrent des bosselures séparéespa distance de l'extrémité postérieure du cerveau et t tee interne de l'hémisphère gauche et a la ptttllt et situées derrière et au-dessous du corps calleav. au d'étre arrondie. La protubérauce annulaire, leco- re la paroi calcitiéc au côté externe de l‘ovaire doit nscrvé. On observe l'hypertrophie a des degrés bien variés. Au plus simple degré, on a affaire a I'liypci'li'o|_iliic d'un tissu; celle de plusieurs tissus, d'une partie d'un organe, est déjà plus complexe; un organe entier peut s'hypertrophier, et enfin tout un système peut devenir le siège de cet accroissement nutritif, comme par exemple l'hypertrophie multiple des glandes lymphatiqucs, l'hypertrophie névrilémateuse répandue sur un grand nombre de points du système nerveux. L'hypertrophie partielle, soit d'un seul tissu, soit de plusieurs tissus d'un organe, provoque souvent une atrophie des autres éléments, mais alors il ne faut décrire cet état connue hypertrophie que lorsqu'on a bien pu établir quelle était l'affection essentielle, tandis que l'atrophie n'était que secondaire. L'hypertrophie des organes creux, soit à cavité close, soit ;. cavité ouverte, offre encore quelques parti- cularités, comparée avec celle des organes compactes. C'est tantôt une hypertrophie avec dilatation, tantôt une hypertrophie concentrique sans dilatation. La première est, dans le cœur, bien plus fréquente que la seconde. Dans l'estomac, la cavité se dilate souvent en même temps que la tunique musculaire devient plus épaisse, tandis qu'au pylore, l‘épaississement est a peu prés toujours concentrique. Dans la vessie, on observe, dans l'hypertrophie, ou une conservation, ou une diminution dela capacité naturelle. En analysant les caractères physiques de l'hypertrophie, nous arrivons, avant tout, à une difficulté, c'est l'absence d'une bonne détermination du volume et des dimensions des organes à l'état de santé, aux divers âges, et selon les dimensions du corps en général. Nous possédons bien quelques données positives a ce sujet, telles sont celles que renferme l'excellent travail de Bizot sur les maladies des artères (l), les indications de Huschke sur les organes splanchniqu€s (2), et enfin les nombreuses évaluations du poids des organes dans ICI/lus d‘anatomie pathologique de Gluge. Mais il reste, sous ce rapport, encore bien des 'il lle/noires de [a Soviet/" mr!rlif'u/n (l'uhsw;put/r….l'aris. 1837, t. l_ p. "162 (-t suiv. '-'i‘ 7'1""'"'(/" «"/J/"""/…U/Hyltu trad. par .-\.-.l.-l_. Jourdan. Paris. IMS. AN_\'I. l'.-\THttl . - Iî‘ llHt. |